Ce week-end, du vendredi 22 mars 19h à dimanche minuit se déroule un week-end à mille. Il s’agit d’un défi livresque où l’objectif est de lire au moins 1000 pages, quel que soit le support ou genre (romans, albums illustrés, BD, romans graphiques, mangas, livres audio…). Mais ce nombre de pages à lire reste libre, chaque participant pouvant se fixer un objectif de lecture plus petit ou plus grand, en se constituant ou non une petite PAL pour l’occasion. Un thème facultatif a été prévu ce week-end: « la suite de sagas ». Pour plus d’infos, n’hésitez pas à y participer à votre tour et à rejoindre le groupe FB dédié: ici.
Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du week-end et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes comme Pativore, Audrey et Nathalie (IG)…
Vendredi 22 mars 2024
Même si j’ai un peu lu dans l’après-midi, je ne commencerai à comptabiliser les pages lues qu’après 19h, et ce sera même bien plus tard puisque nous sommes allés au restaurant vendredi soir.
En soirée, j’ai commencé à lire le tome 2 des Ailes de cendres, La dernière élite de Galli May (éd. Autoédition, mars 2024, 755 pages), une romance d’urban fantasy qui vient de paraître. J’ai pris plaisir à replonger dans les aventures de Lyrine et Azariel. Les pages s’enchaînent entre rebondissements, solidarité entre Nettoyeurs et trahisons.
Samedi 23 mars 2024
Peu de lecture aujourd’hui puisque nous avons prévu un pique-nique avec des amis dans une des calanques vers Agay. Mais la présence du vent nous a obligé d’aller à un autre endroit, moins venteux. Nous sommes ainsi allés au lac du Grenouillet, dans le Massif de l’Estérel, vers le pic de l’Ours, entre Saint-Raphaël et Agay. Bien que fraîche, les enfants se sont bien amusés avec l’eau du lac, sous le regard curieux des canards et le son des crapauds.
En soirée, je finis de lire le tome 2 des Ailes de cendres. Un très bon moment de lecture(+755 pages lues)! J’ai hâte de découvrir la suite mais il faudra attendre, le tome 3 ne paraîtra qu’en novembre prochain.
Dimanche 24 mars 2024
Ce n’est que ce matin que je mets à jour mon billet de suivi, Audrey et Nathalie participant également au marathon de lectures et que je fais un peu tour chez les autres participantes.
Dans la matinée, j’ai pioché dans ma PAL du mois prochain pour Un Mois au Japon 2024 en lisant le tome 2 des Carnets de l’Apothicaire de Natsu Hyuuga et Itsuki Nanao (éd. Ki-oon, mars 2021, 159 pages), un manga Seinen à partir de 15 ans, me laissant en plein suspense, la nouvelle tentative d’empoisonnement n’étant pas résolue et n’ayant pas pu emprunter le tome 3, peut-être la semaine prochaine et me donnant une idée sur la véritable identité de Jinshi. Dans ce deuxième tome, on en apprend un peu plus sur Mao Mao, désormais dame de compagnie et goûteuse de Gyokuyo qui, à la demande de l’Empereur, vient à soigner l’une de ses autres concubines, Lifa puis qui, 2 mois plus tard, participe au grand banquet du Printemps en l’honneur des 4 premières concubines (+159 pages). Je n’étais d’ailleurs pas la seule parmi les participantes à continuer cette série livresque, mais pas au même tome ni au même format (certaines lisant un des romans éponymes et dont le manga est une adaptation). J’ai d’ailleurs vu qu’il existait un anime dont la saison 2 a été annoncée pour courant 2025.
Dans l’après-midi, j’ai lu plusieurs BD avec d’abord la trilogie Yin et le dragon de Richard Marazano et Xu Yao (éd. Rue de Sèvres, janvier 2016 (T1, Créatures célestes), avril 2017 (T2, Les écailles d’or) et février 2019 (T3, Nos dragons éphémères)), une BD jeunesse à partir de 10/12 ans et que j’avais emprunté à l’occasion du Nouvel An Chinois mais que je n’avais pas eu le temps de lire depuis. Lors de l’invasion japonaise d’un quartier de pêcheurs de Shanghai en 1937, Yin, une jeune fille d’une dizaine d’années espiègle, têtue et courageuse réussit à convaincre son grand-père de soigner un dragon d’or blessé qu’il a pris dans ses filets. Est-il une menace pour Yin au même titre que les gamins des rues lui volant les poissons qu’elle vend et que les soldats japonais, comme le capitaine Utamaro à l’étrange comportement J’ai bien apprécié les illustrations et le mélange de folklore chinois et de petite histoire dans l’Histoire, même si l’horreur de celle-ci a été atténuée pour un lectorat jeunesse. L’histoire est plein de bons sentiments et d’espoir en l’Humanité face au grand dragon noir de la fin des temps (+3×64=192 pages lues).
J’ai ensuite lu Le dernier quai de Nicolas Delestret (éd. Bambou coll. Grand Angle, avril 2023, 160 pages), une BD fantastique que j’avais depuis un moment en version consultable en ligne sur Izneo mais que j’ai récemment pu aussi emprunter en version papier à ma médiathèque. A l’hôtel du dernier quai, Émile accueille, en hôte bienveillant et dans une routine bien établie, les clients qui viennent de mourir. Mais un matin, tout se dérègle, semant le trouble dans l’esprit d’Émile, lors de l’arrivée de 3 nouveaux clients qui ne se souviennent pas de leur passé. Comment pourra-t-il les aider? L’histoire m’a fait penser à celle de 669 Peony Street de Mélanie Launay (éd. Michel Lafon, janvier 2022, 238 pages), un roman fantastique se déroulant en Angleterre, à l’époque victorienne. Il y est ainsi question de mort et de résilience (+160 pages lues).
Puis j’ai fini l’après-midi en lisant Radium girls de Cy (éd. Glénat, coll. Karma, août 2020, 136 pages), une BD adulte à la couverture phosphorescente et que j’avais repérée depuis très longtemps mais que je n’avais pas pu encore emprunter à la médiathèque, trouvant très intéressant le sujet abordé mais moins le graphisme. Ma lecture a confirmé ma première impression. En 1918, New Jersey, des femmes travaillent comme ouvrières à l’United State Radium Corporation, une usine fabriquant des montres à cadran en utilisant de la peinture au radium. Insouciantes et non averties du danger mortel du radium, elles travaillent sans protection et s’amusent de son effet phosphorescent, surnommées alors les « Ghost Girls ». Mais bientôt la réalité les rattrape, lorsque certaines d’entre elles tombent malades et décèdent. Le radium était-il si inoffensif pour leur santé? J’ai apprécié l’histoire tirée de faits réels, moins les illustrations, qui m’a fait penser plus récemment au scandale de l’amiante (+136 pages lues).
Après les histoires du soir (des relectures du 4e roman de Mortelle Adèle, Very Important Bizarre de Mr Tan et Diane Le Freyer et de Hulotte et Léon de Juliette Lagrange), j’ai commencé à lire, en e-book, en soirée, jusqu’au chapitre 24, La jurée de Claire Jéhanno (éd. HarperCollins, avril 2023, 291 pages), un roman contemporain dans lequel on suit Anna Zeller, jurée le temps d’un procès d’assises d’un couple accusé d’empoisonnement et de meurtre et qui la renvoie à son propre passé, vingt ans auparavant lorsqu’elle était encore Anna Boulanger (+140 pages lues).
Petit bilan du lundi: Alors combien ai-je lu de pages ce week-end? 1.542 pages lues avec des lectures encore bien variées, sans compter celles partagées avec mon mini lutin. Le mois prochain, c’est une Semaine à 1000 qui est prévue, du lundi 15 au dimanche 21 avril 2024. Bonne semaine!
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