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Au fil des pages avec Jules et le renard

Nous lisons Jules et le renard de Joe Todd-Stanton (éd. L’école des loisirs, 2019, rééd. 2020), un album jeunesse à partir de 3 ans. Jules est un souriceau qui a appris à vivre seul dans la forêt et à éviter les dangers tant des profondeurs de la terre que de l’extérieur comme la fermière ou la chouette. Mais un jour, un renard affamé tente de dévorer Jules et se retrouve bloqué dans son terrier. Le souriceau finira-t-il en proie du renard?

De cet auteur, nous avions apprécié Le Secret du rocher noir, un album jeunesse pour les un peu plus grands (à partir de 6 ans). Dans Jules et le renard, il décrit une jolie amitié improbable entre un souriceau solitaire et un renard affamé. Les illustrations sont tout aussi magnifiques avec une mention spéciale pour retranscrire le comportement de chasse du renard. La mise en page alterne entre des petites cases dynamiques à la façon des BD et des double-pages. Je note aussi quelques passages gourmands pour le challenge Des livres en cuisine tant dans les échanges entre le souriceau et le renard que dans les scénettes des animaux vivant sous terre. Pour les plus jeunes lecteurs, ce peut être aussi l’occasion de prolonger la lecture en s’intéressant à la chaîne alimentaire des animaux de la forêt. Coup de cœur pour cet album jeunesse qui peut faire une adorable histoire du soir en cette période automnale!

Challenge Petit Bac d’Enna #14 Catégorie Prénom: « Jules »

Participation #22 au challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant

Des lanternes d’automne

Séance de rattrapage pour l’Atelier Bricolage de Syl de cette semaine puisque ce n’est pas mardi mais mercredi que nous avons pu faire notre petite activité automnale avec les enfants que j’avais repérée fin septembre par un post de Sous le feuillage sur son compte Instagram. Il s’agit de fabriquer des lanternes d’automne à effet vitrail à partir d’un kit clé en main Baker Ross avec du papier cartonné et des films colorés transparents de teintes différentes. Nous prévoyons en plus des ciseaux et de la colle. Nous découpons des morceaux de films transparents sur chaque partie choisie des animaux ou des feuilles de la lanterne puis les collons. Une fois les quatre face de trois lanternes terminées, nous les assemblons suivant le schéma fourni.

Et après patience et minutie, voici nos lanternes terminées, la première avec des écureuils, la deuxième avec des renards et la dernière avec des chouettes. Nous y mettons des bougies LED. Nous sommes ainsi prêts à veiller tard la nuit d’Halloween pour apercevoir quelques créatures halloweenesques voire même nous lier d’amitié avec elles.

Puis le 23 octobre 2020, nous faisons la dernière lanterne avec un cerf. Après avoir fait les premières mercredi, nous avons un peu de dextérité et de savoir-faire pour coller la dernière et changeons pour chaque motif de couleur de film transparent.

Pour d’autres idées de bricolage du 20 octobre 2020: une chouette sur le chapeau de Syl et une citrouille-lanterne chez Isabelle. Après Isabelle et Syl, j’ai bien envie de faire aussi des chouettes en feutrine. Réponse mardi prochain!

Challenge Halloween de Hilde et Lou #Loisirs créatifs

Mardi bricolage et couture chez Syl

Au fil des pages avec Wanted, Un crime insoutenable

Ce matin, nous relisons Wanted, Un crime insoutenable d’Olivier Dupin et Séverine Duchesne (éd. Frimousse, 2019), un album jeunesse à partir de 6 ans. Quel chouette album gagné début juin grâce à un concours organisé par Bidib du blog Ma petite médiathèque.

Je ne chronique que maintenant cet album jeunesse car je voulais le faire découvrir à la fois à mon fils et mes nièces au terme d’une chasse au trésor, ce que je n’ai pu faire que le week-end dernier. Alors qu’ils jouaient à cacher et trouver un trésor légo dans la maison, quelle ne fut pas leur surprise de découvrir à la place un « vrai » trésor avec des friandises et une affiche de l’album à retrouver dans la maison. Ni une ni deux, ils se sont précipités à l’étage à la recherche de l’album que je leur ai ensuite lu. Puis l’aînée de mes nièces, la seule – pour le moment – à savoir lire, a relu à plusieurs reprises le long de l’après-midi l’album aux deux plus jeunes. Que j’ai aimé les voir s’arrêter sur les illustrations pour en voir les petits détails ou se raconter l’histoire. Un grand succès! Merci encore Bidib!

Mais revenons-en à l’album sans trop en raconter pour ne pas vous gâcher la chute hilarante. Le shérif d’une petite ville du Grand Ouest, Bill Mac Dubois est appelé pour enquêter sur un crime insoutenable pour une souris qui vient d’être commis par le redoutable coyote Bernard Jackson. Mais quel est donc ce crime? Rien ne semble arrêter le shérif monté sur son fidèle Ouragan et qui part en plein territoire des Peaux Roux sur la trace du criminel.

Les auteurs revisitent pour notre plus grand plaisir les codes du western et en y intégrant de nombreuses références contemporaines. En le lisant, je pense aux westerns spaghettis et aux Lucky Luke. Les plus jeunes rigolent des répliques percutantes du shérif et son « idée de génie » pour capturer Jackson. Ils s’arrêtent par exemple pour rechercher les Peaux Roux cachés à l’approche du shérif. Les illustrations sont en effet très expressives et colorées. Un très bon moment de lecture partagée!

Pour un autre avis sur cette BD jeunesse: Bidib.

RAT

RAT gourmand de Fondant et de Bidib

Challenge Petit Bac d’Enna #8 Catégorie Crimes et Justice: « Crime »

Au fil des pages avec Qui a peur du Renard dans la nuit noire?

Nous empruntons à la médiathèque Qui a peur du Renard dans la nuit noire? d’Alison Green et Deborah Allwright (éd. Larousse, 2010), un album jeunesse à partir de 3 ans. Dans la nuit noire, Petit Lapin se dépêche de rentrer chez lui de peur d’être mangé par un renard. Il est très vite rejoint par d’autres animaux qui ont également peur du renard dans la nuit noire. Mais est-il aussi effrayant qu’il y paraît ce renard?

Les illustrations de Deborah Allwright sont magnifiques dès la couverture avec ces étoiles et ce titre phosphorescents. Coup de cœur pour cet album jeunesse qui permet de dédramatiser chez les plus jeunes lecteurs la peur du noir! Il y est aussi question de peur de l’autre, d’entraide et d’hospitalité, Petit Lapin accueillant chez lui d’autres animaux apeurés. La chute de l’histoire en est d’autant plus adorable.

Challenge Petit Bac d’Enna #8 Catégorie Couleur: « Noire »

Au fil des pages avec Le grand méchant renard

J’ai emprunté à la médiathèque Le grand méchant renard de Benjamin Renner (éd. Delcourt, coll. Shampooing, 2015), une BD jeunesse à partir de 6 ans (voire plus grand compte-tenu du langage familier employé). Un renard est bien incapable de croquer la moindre poule de la ferme voisine et doit se contenter de navets. Il s’associe au loup pour un plan infaillible : voler les œufs d’une poule, les couver pour ensuite mieux les dévorer. Mais les poussins prennent le renard pour leur mère. Et le renard finit par se prendre d’affection pour eux, la situation lui échappant une fois de plus.

Cette BD sans cases enchaîne les situations les plus loufoques et attendrissantes avec un renard qui se dit grand méchant mais qui est complètement dépassé autant dans son rôle de prédateur que de parent improvisé. Sans oublier les autres animaux de la ferme comme une poule à la tête du Club d’extermination des renards et un chien de garde fainéant. Coup de cœur pour cette BD jeunesse hilarante qui s’amuse avec la parentalité et le déterminisme biologique et social! Il ne me reste plus qu’à voir son adaptation en dessin animé…

Challenge Petit Bac d’Enna #8 Catégorie Animal: « Renard »

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