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RAT d’Halloween 2024

Nos 2 sorcières coorganisatrices, Hilde et Lou ont prévu du 4 au 6 octobre 2024 un RAT (un marathon de lectures mais pas que) dans le cadre de leur challenge Halloween 2024. Pour l’occasion, je ferai un journal de bord de ce read-a-thon halloweenesque tout en continuant de mettre à jour régulièrement mon billet de suivi. Côté lectures, je n’ai pas eu le temps de préparer une PAL pour l’occasion, alors je vais piocher dans nos étagères côté jeunesse et dans ma liseuse.

Pour d’autres idées halloweenesques (lectures, recettes et autres activités), les autres participantes: Lou, Hilde, Fondant, Audrey, L’Orouge, Chicky Poo, Typhania, Nathalie, Touloulou, Chroniques littéraires

Vendredi 4 octobre 2024

J’ai commencé par rédiger ce billet qui ne s’est pas publié… et fais des passages sur les réseaux sociaux et blogs des autres participantes, Lou avec le tome 1 de Creepy Cat que j’ai déjà vu passer et qui me tente bien.

Je n’ai pu commencer à lire que le soir, une fois que mon mini sorcier a lu avec moi (ou plutôt dévoré) les chapitres du le tome 1 d’Amélia Fang, Amélia Fang et le bal barbare de Laura Ellen Anderson (éd. Casterman, octobre 2018, 224 pages). On est déjà au chapitre 16. Je suis ravie de lui faire découvrir et que cela lui plaise autant. Heureusement, j’ai le tome suivant jusqu’au 4. Il me réclame déjà le tome 5! Dommage que les deux derniers tomes n’aient pas été traduits en français.

De mon côté, j’ai commencé à lire les premiers chapitres du tome 1, Mon ex & autres complications d’Erin Sterling (éd. Good Mood Dealer by Exergue, octobre 2023, 300 pages), une romance parmi les sorciers d’une petite vile de Géorgie, Graven Glen, aux États-Unis, Vivienne Jones ayant 9 ans auparavant, après sa rupture, jeté une malédiction sur son ex petit-ami Rhys Penhallow, avec sa cousine Gwyn. Pourquoi n’a-t-elle pas suivi le conseil de sa tante Elaine, ne pas mélanger sorcellerie et vodka? Pour le moment, j’apprécie le ton donné par le prologue, avec des personnages principaux qui approchent la trentaine.

Bon week-end à tous!

Samedi 5 octobre 2024

En fin de matinée, je publie enfin mon billet pour le RAT et fais un passage chez les autres participantes, Chichy Poo nous ayant rejointes avec 2 livres dans sa PAL qui me tente bien: Fangs crocs et l’adaptation en BD d’Or et d’oreillers.

Pour l’histoire du soir, mon mini sorcier a fini de lire le tome 1 d’Amélia Fang et a attaqué le tome 2, avec le premier chapitre: Amélia Fang et les seigneurs licornes de Laura Ellen Anderson (éd. Casterman, février 2019, 240 pages), la vampirette et ses amis partant enquêter sur la disparition de la mère de Tangine à Pailletteville.

En soirée, j’ai fini de lire Mon ex et autres complications mais j’ai été déçue de ma lecture, ayant eu du mal avec les dialogues et pensées des personnages qui m’ont paru bien peu matures, tout comme l’absence d’explications sur la raison initiale de la malédiction, l’autrice ne revenant à aucun moment sur le départ précipité de Rhys au pays de Galles auprès de sa promise. Je ne m’attendais pas à une histoire si young adult et avec une enquête pour mettre fin à la malédiction qui passe au second plan par rapport à la romance spicy et qui n’est guère « enemies to lovers » comme je l’avais cru à la lecture de la 4e de couverture qui m’avait pensé au film Les ensorceleuses, Vivienne et Rhys retombant quasiment immédiatement amoureux l’un de l’autre. Même l’arrière-fond halloweenesque est guère développé, l’histoire se déroulant à Halloween. Je ne pense pas lire le tome suivant, Un baiser maudit.

Dimanche 6 octobre 2024

Dans l’après-midi, j’ai sorti de nos étagères et bacs à livres, des albums jeunesse halloweenesques que nous avons relus avec mon mini sorcier et dont certains, je me rends compte, n’ont pas encore été chroniqués sur le blog.

En soirée, j’ai commencé à lire le tome 1 de Thé et de sang, Un thé avant la tempête de Hafsah Faisal (éd. De Saxus, juin 2024, 387 pages), une romantasy young adult, Arthie Casimir étant la propriétaire d’un salon de thé, le Spindrift qui devient, à la nuit tombée, un bar à sang illégal pour les vampires.

Petit bilan de ce read-a-thon: Malgré un temps automnal propice à la lecture et au read-a-thon, je n’ai pas pu participer comme je l’aurai voulu et vous remercie pour tout vos passages et commentaires. Très belle semaine à tous!

RAT gourmand des Contes et légendes d’Inde 2024

Comme les années précédentes avec l’arrivée de l’été, Hilde, Bidib et Fondant coorganisent à partir de ce vendredi 28 juin matin jusqu’à dimanche 30 juin minuit, un read-a-thon gourmand avec une escale gourmande de contes et légendes en Inde en lien avec leurs challenges respectifs Les Étapes Indiennes, Des livres (et des écrans en cuisine) et Contes et Légendes.

L’objectif de ce RAT? Lire au moins une lecture en rapport avec des contes et légendes d’Inde. Ce sera l’occasion de relever des passages gourmands dans nos lectures, de s’évader livresquement en Inde et de cuisiner avec la Brigade des Marmitonnes d’Isabelle. Encore de chouettes moments de lecture et d’échange au fil du week-end à venir avec les autres participantes!

Alors que vais-je lire pendant ce RAT? J’avais prévu pour ce week-end de relire La panthère de minuit de de Poonam Mistry que j’avais repéré chez Hilde mais ce n’était plus possible de l’emprunter à ma médiathèque malheureusement.  En revanche, j’ai pu réserver la deuxième enquête de du capitaine Samuel « Sam » Wyndham, Les Princes de Sambalpur d’Abir Mukherjee. J’avais d’ailleurs lu le premier tome lors du RAT indien précédent: L’attaque du Calcutta-Darjeeling d’Abir Mukherjee (éd. Liana Levi, octobre 2019, 464 pages), un roman policier historique se déroulant à Calcutta, en avril 1919, au temps du Raj britannique.

Si cela vous intéresse, l’ayant déjà lu il y a peu, il est encore temps de se plonger dans la lecture commune du mois de juin des Étapes Indiennes: La photographe du maharadjah de Dinah Jefferies (éd. Hauteville, avril 2023, 424 pages), une romance historique se déroulant en 1930, dans le Raj britannique.

Pour d’autres idées gourmandes et indiennes, les autres participantes: Hilde, Bidib, Fondant, Katell, Isabelle, L’Orouge (IG), Claude, Lou (IG)…

Vendredi 28 juin 2024

Me revoilà en début de soirée, la journée ne s’étant pas déroulée comme je l’avais prévu. Je passe d’abord chez les autres participantes, L’Orouge s’étant installée au soleil pour lire, Isabelle en pleine lecture de Mère Teresa, L’assoiffée de Dieu de Charlotte Grossetête, Hilde plongée dans ses révisions mais avec quelques échappées indiennes, Bidib ayant pioché dans ses bibliothèques avec un premier conte, Le prince et le tapis volant.

J’ai prévu de commencer ce soir Les Princes de Sambalpur d’Abir Mukherjee (éd. Liana Levi, octobre 2020, 362 pages), un roman policier historique se déroulant en juin 1920, le quatrième de couverture mentionnant une enquête au cœur du royaume de l’Orissa, avec des omelettes trop pimentées pour les papilles anglaises et le culte de l’étrange dieu Jagannath.

Mais avant, notre repas a également été indien puisque nous avons mangé du poulet tandoori (déjà tout préparé) accompagné de riz basmati.

Samedi 29 juin 2024

Je continue de lire, ce matin, dès 7h, Les Princes de Sambalpur. Pour le moment, je trouve ce deuxième tome meilleur que le premier, appréciant de retrouver l’humour anglo-indien déjà présent dans la première enquête et le duo Sam/Sat qui après avoir échoué à sauver la vie du prince héritier de Sambalpur, se rend dans le royaume de l’Orissa. Complot politique ou geste désespéré d’un fanatique religieux?

A midi, le déjeuner n’était pas indien puisque nous avons mangé des crêpes salées avec des frites, un plat qui nous accompagne très souvent lors des marathons de lecture. 

Cet après-midi, j’ai finalement préféré continuer de lire plutôt que de sortir chercher des livres à la médiathèque. Je ferai avec ceux que j’ai déjà. Et du côté des participantes? Petit tour sur les réseaux sociaux et les blogs: L’Orouge a commencé Le livre de la jungle de Rudyard Kipling, Isabelle a continué Mère Teresa, L’assoiffée de Dieu tandis que Hilde avait ce matin une formation Premier Secours, Bidib a lu un autre conte: L’élève qui en remontra à son maître… Fondant nous a également rejointes.

En soirée, j’ai fini de lire Les Princes de Sambalpur, ayant passé un bon moment de lecture avec cette deuxième enquête menée difficilement par un capitaine en manque d’opium où il est question du culte dieu Jagannath, une des représentations de Vishnou, de purdah, de complots politiques avec un maharajah âgé et souffrant dont le fils aîné vient d’être assassiné, de convoitise britannique sur les mines de diamants, de la disparition d’un comptable anglais qui pourrait être lié au décès du prince héritier, d’inégalités sociales et de racisme à l’égard des Indiens, des relations mixtes, du mouvement indépendantiste… J’ai étonné des différences quant à la pratique du purdah qui était bien plus restrictive dans la deuxième enquête de Perveen Mistry, La malédiction de Satapur de Sujata Massey (éd. Charleston, juin 2021, 485 pages). J’en reparle très vite dans un billet dédié.

Dimanche 30 juin 2024

Ce matin, j’ai pioché des contes et légendes dans des recueils en e-book:

  • Le tigre, le brahmane et le chacal, le seul conte indien dans Jolis contes du monde entier de Raffaela, Eric Puybaret et Caroline Attia-Larivière (éd. Fleurus, octobre 2017, 74 pages), un album jeunesse. Il était une fois un brahmane qui fit sortir d’une cage un tigre qui est prêt à le dévorer alors qu’il l’a délivré. Est-ce bien juste? Ils demandent l’avis aux quatre premières personnes rencontrées: un vieux buffle, un aigle, un crocodile et un petit chacal. Les trois premiers sont d’avis que le tigre mange le brahmane, au vu de la cruauté humaine. Et si le petit chacal en décidait autrement?
  • Contes et légendes des pays de l’Inde de Maurice Coyaud et Alice Lefort (éd. Flies France, avril 2015, 208 pages), un recueil à partir de 12 ans et qui parle de cosmogonie hindoue où il est question de l’apparition de la Terre, des hommes, de certains animaux… Certains passages sont quand même assez ardus avec une multitude de divinités
  • et Contes de Sagesse de l’Inde de Ruchika Belwal (éd. juin 2022, 31 pages), le recueil dont j’ai le moins apprécié les illustrations avec des histoires d’Akbar, empereur monghol du XVIe siècle et son conseiller et commandant principal de l’armée, Birbal.

A l’heure du déjeuner et avant d’aller voter, j’ai préparé un curry indien comme Syl qui en a fait un végétarien tandis que Claude a concocté un upma (semoule à l’indienne). Pour me mettre en appétit, j’ai feuilleté également un livre de recettes indiennes.

Pour le goûter, Isabelle a bu un lassi. Côté lecture, elle a lu Châli, une nouvelle de Guy de Maupassant de 1884 qui l’a choquée, ce que je peux comprendre puisqu’il est question d’une relation pédophile entre un jeune lieutenant de vaisseau avec une petite fille indienne de 8 ans offerte en cadeau par le rajah. Je ne vois pas trop la finalité de cette nouvelle, bien trop complaisante à l’égard d’un acte criminel et qui ne peut se lire comme une dénonciation de la politique coloniale française. On est bien loin de Bel-Ami ou du Horla. Bidib non plus n’a pas apprécié le conte choisi ce dimanche, Le berger, l’archer, le cavalier et le brahmane qui ne s’entendaient pas dans Contes d’une grand-mère d’Asie tout en propos sexistes. L’Orouge a laissé de côté sa lecture du Livre de la jungle, même si elle a bien avancé pour une autre lecture.

Participation # Les Étapes Indiennes 2024 de Hilde #RAT

Participation # Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2024 de Bidib et Fondant #Cuisine indienne

RAT du Mois au Japon 2024

Nous finissons cette première semaine d’avril avec un read-a-thon du 5 avril au 7 avril 2024 minuit, ce marathon de lectures (mais pas que) étant coorganisé par Hilde et Lou dans le cadre de leur challenge Un Mois au Japon 2024. Ce sera l’occasion d’une escale livresque au Japon et de cuisiner avec la Brigade des Marmitonnes d’Isabelle.

Alors que vais-je lire pendant ce RAT?Je suis déjà passée à la médiathèque mardi après-midi et ai récupéré quelques titres japonais que ce soit en jeunesse ou en adulte, même si j’ai cherché en vain dans les rayonnages le tome 3 des Carnets de l’Apothicaire. J’ai également quelques titres dans ma liseuse. 

Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du marathon et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes.

Pour d’autres idées autour du Japon (lectures, recettes et autres activités), les autres participantes: Hilde, Lou, Nathalie (IG), Tiphanya (stories IG), Pativore

Vendredi 5 avril 2024

En fin d’après-midi, je commence ce read-a-thon par un passage chez les copinautes et réseaux sociaux. Lou et Hilde ont déjà commencé des activités et lectures. Ce soir pour le repas, j’ai prévu des gyozas.

En fin d’après-midi, je lis Japorama de Marco Reggiani et Sabrina Ferrero (éd. Casterman Jeunesse, octobre 2019, 224 pages), un documentaire jeunesse à partir de 11 ans, entre guide pratique et carnet de voyage. Intrigué, mon mini lutin a voulu que je lise à voix haute tout en regardant les jolies illustrations. Une bien jolie plongée dans la culture japonaise qui donne envie de faire nos bagages!

Puis après un repas de gyozas, j’avais prévu au départ de lire, en soirée, Contes merveilleux du printemps. Mais finalement, j’ai surfé sur Internet pour en savoir plus sur Tsukimi, la fête de la pleine lune et la légende japonaise selon laquelle la lune est habitée par un lapin. Cela m’a d’ailleurs fait penser à une estampe japonaise de Toshiyuki Enoki que Kiona a partagée sur le groupe FB. J’ai en particulier lu cet article fort intéressant sur cette fête: ici. J’ai ainsi repéré quelques prochaines lectures comme par exemple Le garçon de la Lune de Lee Young-Lou (éd. Clair de Lune, décembre 2009, 174 pages), un manga classé à partir de 12 ans par ma médiathèque.

Samedi 6 avril 2024

Ce n’est que ce matin que je lis Contes merveilleux du printemps de Monday Recover, d’après l’œuvre originale de Shuang-tsu Yang  (éd. Maho, mai 2022), un manga à partir de 10 ans selon l’éditeur mais je dirai, vu les thèmes abordés, à partir de 16 ans, certaines librairies le classant en mature shôjo. Contrairement à ce que je m’attendais en lisant le titre, le résumé de 4e couverture et l’illustration très colorée, joyeuse et printanière du manga, les 4 nouvelles sont bien plus sombres et abordent, avec une grande part surnaturelle, des romances lesbiennes à travers des femmes de la famille Lin, des expatriés chinois à Taïwan, qui ont le don de pouvoir voir les fantômes. Les 3 premières se passent en 1936 et la dernière, plus légère, à notre époque.

Il est temps d’aller préparer le déjeuner. Ce sera des crêpes accompagnées de frites et de cidre (du jus d’orange bien sûr pour le mini lutin). Puis je suis allée à la médiathèque avec ma petite liste de lectures sélectionnées hier soir, suite à notre lecture de Joparama et des idées lecture repérées chez les autres participantes comme par exemple le livre d’art des éditions Hazan chez Hilde.

A mon retour, après un goûter de crêpes sucrées, j’ai pioché dans les documentaires, estampes japonaises et récits du folklore japonais mettant en avant les fleurs de cerisiers. J’ai d’ailleurs pris une photo de cet instant livresque « Sakura« . Parmi ces derniers ouvrages empruntés, il y a des extraits suivants:

  • du coffret La lune par les grands maîtres de l’estampe japonaise d’Anne Sefrioui (éd. Hazan, octobre 2021, 186 pages), un livre accordéon aux magnifiques estampes ayant pour thème commun la lune et accompagné d’un livret en noir et blanc des estampes imprimées. Un magnifique livre d’art que j’ai déroulé délicatement!
  • Esprits & créatures du Japon de Lafcasio Hearn et Benjamin Lacombe (éd. du Soleil, coll. Métamorphose, décembre 2020, 172 pages), un recueil de nouvelles magnifiquement illustré et que j’avais déjà eu le plaisir d’emprunter, comme par exemple Le cerisier du seizième jour que j’ai relu.
  • Cerisiers du Japon et autres Prunus d’ornement de Franck Sadrin (éd. Ulmer, mars 2014, 224 pages), un documentaire avec des photographies de nombreuses variétés de cerisiers du Japon.
  • L’estampe japonaise de Gabriele Fahr-Becker (éd. Taschen, septembre 1994, 180 pages), un documentaire regroupant une sélection d’estampes japonaises.

Pendant ce temps-là, mon mini lutin a lu un des autres livres empruntés: L’enfant et le bonsaï de José Campanari et Luciano Lozano (éd. Belin Jeunesse, octobre 2016, 48 pages), un album jeunesse pour les 3/5 ans selon l’éditeur et qui a été classé parmi les albums illustrés du rayon « adolescents » à ma médiathèque. Une jolie histoire sur le fait de grandir avec Yoshi, un petit garçon qui était aussi petit qu’un bonsaï et qui apprend être autonome.

Puis j’ai commencé à lire le début d’un essai sur l’art japonais, Le Jeu de l’éternel et de l’éphémère de Nelly Delay.

Pour l’histoire du soir, mon mini lutin après avoir relu une partie d’un tome de Mortelle Adèle, a voulu relire avec moi Caroline au carnaval de Pierre Probst (éd. Hachette Jeunesse, 1992, rééd. novembre 2011, 32 pages), un album jeunesse que j’avais emprunté, à  nouveau, cette année pour le carnaval et que je n’ai pas encore rendu à la médiathèque. Un classique de mon enfance qui est toujours aussi rigolo avec les pitreries et facéties des amis de Caroline!

Dimanche 7 avril 2024

Au programme aujourd’hui, j’ai prévu de lire Nipponia Nippon d’Abe Kazushige (éd. Philippe Picquier, mai 2016, 143 pages), un court roman paru pour la première en 2004 au Japon et de commencer à lire Tant de nuances de pluie d’Asha Lemmie (éd. HarperCollins, octobre 2023, 534 pages), le premier roman de l’autrice se déroulant dans le Japon de l’après-guerre.

Finalement, je me replonge plus longuement qu’hier dans les estampes japonaises et l’histoire de l’ukiyo-e qui apparaît au XVIIe siècle, à Edo (désormais Kyoto) avec L’estampe japonaise de Gabriele Fahr-Becker (éd. Taschen, septembre 1994, 180 pages), chaque illustration étant accompagné d’un texte explicatif comme par exemple les estampes de comédiens, « maisons de thés » /maisons closes du quartier des plaisirs d’Edo ou courtisanes… J’ai trouvé ce livre d’art très intéressant.

En fin de matinée, après un petit tour chez les autres participantes et les réseaux sociaux, je fais un point sur leur lecture du moment: Ikiro chez Hilde et Lou, des mangas chez Pativore, Tant que le café est encore chaud chez Nathalie, les 3 premiers tomes d’un manga, Shy chez Tiphanya. C’est aussi cuisine japonaise chez les marmitonnes: cheesecake japonais chez Isabelle, chirashi saumon avocat chez Eimelle, des onigiris œufs brouillés chez Hilde ou bien encore un billet spécial thé chez Claude. Cela donne faim de regarder tous ces plats! Il est temps d’aller déjeuner.

Cet après-midi, j’ai lu Nipponia Nippon d’Abe Kazushige (éd. Philippe Picquier, mai 2016, 143 pages), un court roman qui suit Haruo Tôya, un adolescent de 17 ans qui a un projet lié à l’ibis japonais, oiseau en voie d’extinction et symbole de la Nation japonaise, les derniers spécimens ayant été réintroduits grâce à la coopération du Japon avec la Chine, sur l’île de Sadô, centre de sauvegarde. Son projet est-il de les libérer ou de les tuer? Reclus seul dans un appartement de Tokyo, loin de sa famille et sans travail comme peut l’être un hikikomori, il prépare mois après mois son projet, grâce à de nombreuses recherches et achats sur Internet. Ce récit a une certaine « étrangeté » que j’ai pu constater dans d’autres livres d’auteurs japonais, entretenant une part de malaise, les pensées de Haruo étant troublantes, agressives voire dérangeantes, ce dernier, pathologiquement instable, liant son destin à celui des ibis qui l’obsèdent comme une adolescente Sakura dont il est épris et dont il a été séparé. Il y est ainsi question du poids de la solitude, du passage à l’âge adulte, de l’éveil à la sexualité, de harcèlement scolaire, de la condition de la jeunesse dans la société japonaise… 

En soirée, j’ai lu le tome 1 du Garçon de la Lune de Lee Young-Lou (éd. Clair de Lune, décembre 2009, 174 pages), un manga qui suit l’histoire de deux lycéens Myung-Ee et Yu-Da, des lapins ayant fui la Lune pour la Terre et dont les ennemis sont les renards de la Lune. 

Petit bilan de ce read-a-thon: étant retournée à la médiathèque samedi après-midi, j’ai un peu dévié de ma PAL prévue pour ce week-end. Je lirai lundi Tant de nuances de pluie d’Asha Lemmie. J’ai validé au passage la plupart des suggestions de la check-list: des femmes, un chat, les éditions Philippe Picquier,  manga, lecture gourmande, art et fantastique. Encore merci à Hilde et Lou d’avoir organisé ce RAT! Il ne me restera à trouver le temps pour écrire mes billets sur ces lectures.

Participation # Un mois au Japon 2024 de Hilde et Lou #RAT

RAT indien gourmand des 15 au 17 mars 2024

Comme désormais depuis quelques années, à l’approche du printemps et de la fête hindoue Holi qui a lieu cette année le 25 mars prochain, Hilde, Bidib et Fondant coorganisent à partir de ce 15 mars jusqu’à dimanche minuit, un read-a-thon gourmand avec une escale en Inde en lien avec leurs challenges respectifs Les Étapes Indiennes, Des livres (et des écrans en cuisine) et Le tour du monde en 80 livres.

Ce sera l’occasion de relever des passages gourmands dans nos lectures, de s’évader livresquement en Inde et de cuisiner avec la Brigade des Marmitonnes d’Isabelle. Dimanche dernier, c’était le Tandoori à l’honneur. Avec un peu de retard, j’en ferai ce week-end.

Pour d’autres idées gourmandes et indiennes, les autres participantes: Hilde, Bidib, Fondant (malgré son week-end chargé), L’Orouge, Marielle, Nathalie (IG), Chicky Poo, Touloulou

Vendredi 15 mars 2024

Alors que vais-je lire pendant ce RAT? Comme Bidib, il est temps de préparer une petite PAL spécial pour cette escale gourmande en Inde. Passage express en médiathèque ce début d’après-midi pour emprunter des livres que j’avais notés pour l’occasion! Finalement, je suis revenue avec d’autres livres, le seul empruntable de ma liste étant La Colère des aubergines de Bulbul Sharma.

J’ai également emprunté deux albums jeunesse: La poupée de bois tendre de Claude Clément et Isabelle Forestier (l’illustration de couverture me faisant penser à une inspiration hindoue) et Siddhima, L’enfant-déesse d’Amélie Sarn et Carole Gourrat. Côté adulte, j’ai emprunté Balades indiennes, un recueil de 4 nouvelles de Chitra Benerjee Divakaruni, Anita Nair et Bulbul Sharma.

Je pensais pouvoir trouver un des livres de Rabrindranath Ragore pour la lecture commune de mars 2024 d’un classique indien, Témoin de la nuit de Kishwar Desai (repéré chez Hilde) ou emprunter à nouveau La panthère de minuit de Poonam Mistry…

De retour de médiathèque, je pensais avoir le temps d’écrire ce billet de suivi avant d’aller récupérer mon mini lutin mais finalement je le reprends après et avant la pause goûter. Accompagnée d’un café, je fais un tour chez les copinautes, L’Orouge ayant une soirée resto en amoureux, Hilde se préparant pour une chouette animation jeunesse sur le thème de la jungle à sa médiathèque et Bidib qui ne s’est pas encore sur un choix de lecture précis.

De mon côté, je pense commencer par Balades indiennes (éd. France Loisirs, août 2004, 173 pages), un recueil de 4 nouvelles L’échographie et Une liaison de Chitra Benerjee Divakaruni, À flot d’Anita Nair et En sandwich! de Bulbul Sharma.

Pour le repas, ce sera indien demain mais ce soir je prépare des hamburgers frites.

Pour la lecture du soir, mon mini lutin a une nouvelle fois jeté son dévolu, sans surprise, sur des pages de Mortelle Adèle. Je lui avais d’ailleurs acheté cet après-midi non une BD mais un roman (le 4e paru) dont le titre est éponyme à l’une des 4 chansons qui viennent de paraître et qu’il écoute en boucle: V.I.B., Very Important Bizarres de Mr Tan et Diane Le Freyer (éd. Mr Tan & Co, juin 2023, 96 pages).

Puis en soirée, j’ai lu les deux premières nouvelles de Balades Indiennes, toutes deux écrites par Chitra Benerjee Divakaruni: L’échographie où il est question de la grossesse de deux cousines, l’une vivant aux États-Unis et l’autre en Inde, l’échographie permettant de connaître le sexe de l’enfant à naître ayant des répercussions bien différentes puis Une liaison où il est également question de mariage arrangé,  de la condition de la femme mariée, du droit au bonheur ou bien encore d’émancipation féminine… J’ai bien apprécié ces deux nouvelles avec l’histoire de ces femmes qui sont à un tournant de leur vie.

Samedi 16 mars 2024

Après le petit déjeuner, je fais un tour sur les réseaux sociaux, en particulier Instagram ainsi que chez les autres participantes, Chicky Poo et Touloulou nous ayant rejointes. Puis je lis les deux dernières nouvelles de Balades Indiennes. Dans À flot d’Anita Nair, une jeune quadragénaire souhaite reprendre sa vie en main en apprenant à nager, cet apprentissage faisant écho à sa soif d’émancipation. Il y est une nouvelle fois question de la condition de la femme indienne, de ses désirs et droit au bonheur, entre modernité et traditions familiales suite à un mariage arrangé. J’ai également bien apprécié cette nouvelle. Puis j’ai fini sur une note rigolote mais pas si légère que cela, avec En sandwich! de Bulbul Sharma, une très courte nouvelle (11 pages):  du point de vue du mari, tiraillé entre sa femme et sa mère qui se dispute son amour.

Dans ce recueil de nouvelles, j’ai relevé de nombreux passages gourmands comme les plats préparés par Abha, journaliste de recettes de cuisine mais moins ceux ratés de Nirmala et de sa belle-mère. Il est temps de passer en cuisine pour préparer un plat indien à mon tour.

J’ai suivi la recette toute simple que je suis depuis quelques années: du poulet coupé en morceaux que je fais revenir et dorer avec des oignons. Puis je rajoute du lait de coco avec un sachet d’épices Tandoori. Puis au cours de la cuisson, je rajoute des noix de cajou non salées et commence à faire chauffer l’eau pour du riz basmati. Une fois le riz cuit, je rajoute des noix de cajou et des raisins blancs pour apporter une touche sucrée salée. Puis il est temps de passer à table!

Après un déjeuner tardif et des courses alimentaires, j’ai commencé une nouvelle lecture. Il s’agit d’un autre recueil de nouvelles de Bulbul Sharma, La colère des aubergines et qui contient de nombreuses recettes indiennes, entre les nouvelles. J’y retrouve une nouvelle déjà lue ce matin: En sandwich. Cela donne bien faim. Il y est question de tranches de vie, de condition de la femme, de gourmandises et de questionnement sur le mariage (arrangé ou non), la maternité, sur la société indienne…

Puis avant le repas du soir, je fais un tour chez les autres participantes, n’ayant pas eu le temps avant: Fondant avec sa lecture du jour m’a rappelée que j’avais aussi dans ma PAL L’étoile du soir de Siècle Vaëlban avec Jyothi d’Elsa Simone tandis que L’Orouge a lu un recueil de poésie, Lait et miel de Rupi Kaur. Chacune a eu un samedi bien remplie, avec une petite pensée pour le marathon, même si leur occupation n’était pas forcément pile dans le thème indien. Peut-être que leur soirée le sera? 

Après les histoires du soir (Mortelle Adèle), mon mini lutin, au lieu de s’endormir, a décidé qu’il était l’heure de réciter sa poésie dont il a seulement le début à apprendre pour lundi. Il m’a donc récité le poème entier: Le pélican de Robert Desnos, un poème surréaliste sur les pélicans de Jonathan.

En soirée, je commence à lire un roman policier historique se déroulant à Calcutta, en avril 1919, à l’époque des Indes Britanniques: L’attaque du Calcutta-Darjeeling d’Abir Mukherjee (éd. Liana Levi, 2019, pages), la première enquête du capitaine Sam Wyndham, fraîchement débarqué de Londres à Calcutta, après avoir perdu sa femme de la grippe espagnole et été traumatisé par la Grande Guerre, ancien inspecteur de Scotland Yard. Désormais capitaine dans la police impériale et dépendant des drogues (morphine et opium), il se voit confier sa première enquête, assisté par le sergent indien Banerjee. Cela fait un moment que je voulais le lire, n’ayant pu l’emprunter à temps pour la lecture commune de février 2022, une lecture se déroulant dans l’après-guerre et qui rentre également dans le cadre du challenge Pages de la Grande Guerre.

Dimanche 17 mars 2024

Ce matin, après le petit déjeuner, je reprends ma lecture de L’attaque du Calcutta-Darjeeling d’Abir Mukherjee. Le capitaine Wyndham doit désormais enquêter sur une autre affaire, un meurtre commis dans le train Calcutta-Darjeeling alors même que sa première enquête, politiquement sensible, n’avance guère. Je me doute bien que les deux enquêtes sont liées, sous fond de protestation à l’encontre des lois Rowlatt de mars 1919 et du mouvement indépendantiste mené par Gandhi. Les courts chapitres s’enchaînent, le lecteur découvrant en même temps que le capitaine Calcutta à l’époque du Raj britannique. J’ai relevé quelques plats anglo-indiens (riz pilaf aux poissons, tourte à la viande et du whisky) même si ce sont ceux ratés de la logeuse du capitaine.

Il est d’ailleurs temps d’aller préparer le déjeuner, le coup de canon venant de sonner. Ce sera un plat rapide: de la purée et de la viande (steak à la sauce au poivre pour l’un de nous 3 et côtes d’agneau pour les autres).

Je retourne à ma lecture après le déjeuner, après un petit tour par les réseaux sociaux et blogs des autres participantes. Puis l’appel du goûter se fait ressentir et je vais préparer de la pâte à grosses gaufres. J’avais pourtant noté pour ce week-end une recette de sablés indiens à la cardamone mais j’ai oublié d’acheter l’épice dans mes courses hier.

Pendant que la pâte monte, je profite de mettre à jour mon billet et de passer, avec l’ordinateur, sur les blogs des autres participantes: Hilde, bien qu’enrhumée est passée en cuisine faire une nouvelle fournée de ladoos, Bidib en train de poursuivre sa lecture du tome 6 des Détectives du Yorkshire, après une journée potager/jardin hier, Chicky Poo ayant fini Mythes & Meufs de Blanche Sabbah (avec un passage indien puisqu’on y parle de Shéhérazade dans les Mille et une Nuits), Nathalie toujours plongée dans son mois « BD historique », Touloulou avec For Tibet, with love : a beginner’s guide to changing the world d’Isabel Losada… Et du côté des Marmitonnes? Tout un tas de saveurs gourmandes et variées que vous pouvez retrouver chez Isabelle.

Puis je retournerai finir L‘attaque du Calcutta-Darjeeling d’Abir Mukherjee avant de préparer le repas de ce soir, des spaghettis aux pilons de poulet à la sauce tomate.

Finalement, à la pause goûter, j’ai lu un conte indien: Siddhima, L’enfant-déesse d’Amélie Sarn et Carole Gourrat (éd. Milan Jeunesse, octobre 2007, 43 pages), un album jeunesse à partir de 7/8 ans. Alors qu’il est sur le point de mourir, le père de Siddhima, une princesse indienne âgée de 13 ans lui révèle que son dieu protecteur est Shiva, dieu de la guerre et de la destruction. Mais est-ce une malédiction comme le pense Sidhhima? Son ami lui permettra-t-il de faire ouvrir les yeux à la jeune adolescente qui a laissé le royaume aux mains de son cupide oncle? Un conte dont j’ai bien apprécié les illustrations, l’histoire étant assez classique! J’ai noté un passage gourmand, même si endeuillée, Siddhima n’y touche pas: « un verre de lait parfumé à la cardamone, un bol de riz à la noix de coco et quelques galettes de pain naan ».

Je reviendrai demain pour un petit bilan. Bonne fin de week-end!

Participation # Les Étapes Indiennes 2024 de Hilde #RAT

Participation #4 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2024 de Bidib et Fondant #Cuisine indienne

RAT British Mysteries 2024

Nos deux détectives en chef, Hilde et Lou coorganisent un RAT (un marathon de lectures mais pas que) qui débute ce 1er mars 2024, 21h jusqu’à dimanche minuit dans le cadre de leur Challenge British Mysteries 2024. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur leurs blogs ou à rejoindre le groupe FB: ici.

Ce sera également l’occasion de partager des teatimes et des gourmandises comme dimanche avec la Brigade des Marmitonnes et bien sûr d’échanger avec les autres participantes.

Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du marathon et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes.

Pour d’autres idées de lectures avec des enquêtes en Angleterre, Écosse, Pays de Galles et Irlande et de gourmandises so british, les autres participantes du RAT (surtout sur Insta): Hilde, Lou (IG), Bidib (et Kio), L’Orouge, Nathalie (IG), Katell (IG), Estelle… Sans oublier les encouragements d’Isabelle!

Vendredi 1er mars 2024

Je n’ai fait mon billet de suivi et des posts FB et Insta qu’en fin d’après-midi, en préparant à la dernière minute une petite PAL. Mais depuis, mon compte Insta semble avoir été limité voire même bloqué sans trop comprendre pourquoi. J’espère que ça sera temporaire. Je passerai donc par le groupe FB et les billets de blog des autres participantes à défaut de pouvoir suivre le read-a-thon sur Insta.

J’ai prévu de lire des cosy mystery, en poursuivant des séries livresques en cours et qui sont dans ma PAL comme le tome 4 de Loveday & Ryder, Le secret de Briar’s Hall de Faith Martin et le tome 10 de Son espionne royale, Son espionne royale et le baron irlandais de Rhys Bowen. Si j’arrive à l’emprunter demain à la médiathèque, le tome 2 de Monk, Un deuil dangereux d’Anne Perry ou bien encore un recueil de nouvelles d’Agatha Christie, Effroyable printemps.

Après avoir relu avec mon mini lutin quelques bulles du tome 13 de Mortelle Adèle, Big Bisous Baveux! de Mr Tan et Diane Le Feyer (éd. Bayard Jeunesse, octobre 2017, 80 pages) pour les histoires du soir, j’ai commencé à lire, en soirée, le tome 2 des Cousins Garland, Insaisissable Violet d’Emily Larkin (éd. J’ai lu pour elle, coll. Aventures & Passions, n°13974, décembre 2023, 448 pages), une romance historique se déroulant à Londres, en 1802, sous fond d’enquête et avec un soupçon de gaslamp fantasy. Lady Violet Garland, fille de duc âgée de 25 ans a le pouvoir de voler et apporte son aide, bien malgré lui, à Perry Wintersmith, un officier de Bow Street, âgé de 26 ans et qui enquête discrètement parmi l’aristocratie sur des vols de pendules.

Samedi 2 mars 2024

Après le petit déjeuner, un peu de lectures (Mortelle Adèle avec mon mini), je passe mettre à jour ce billet et un petit tour chez les copinautes, Bidib et Hilde continuant, à des tomes différents, la série livresque que j’apprécie beaucoup (ayant déjà lu le tome 9, dernier paru en décembre dernier), des Détectives du Yorkshire, Nathalie ayant fini hier soir L’affaire William Smith de Patricia Wentworth, Lou lisant le tome 1 des Enquêtes de Rose Parker, Mort en coulisses de L.B. Hataway, L’Orouge Et vous passerez comme des vents fous de Clara Arnaud et Isabelle le tome 3 des Enquêtes de Lady Rose, Raison et châtiments de M.C. Beaton…

Puis j’ai continué  le tome 2 des Cousins Garland, Insaisissable Violet d’Emily Larkin.

Après le déjeuner, je suis partie faire des courses (on ne peut pas se nourrir que de mots!) et suis aussi allée dans une annexe de ma médiathèque avec pour objectif d’emprunter deux romans bien précis: La fin de Chéri de Colette, après ma lecture commune de Chéri avec Isabelle et Nathalie et le tome 2 de Monk, Un deuil dangereux d’Anne Perry. J’ai aussi emprunté le tome 4  des Quatre de Baker Street, Les orphelins de Londres de Jean-Blaise Djian, David Etien et Olivier Legrand d’après l’œuvre d’Arthur Conan Doyle, une BD jeunesse pour adolescents, Katell ayant publié il y a quelques jours son avis sur le tome 3.

Et du côté des participantes? A l’heure du goûter, Hilde et Bidib ont choisi de faire des scones. J’en prendrai bien un virtuel. Miam Miam! Chez nous, ce sera crêpes. Bon goûter et à plus tard!

Puis j’ai fini de lire, en fin d’après-midi, le tome 2 des Cousins Garland, Insaisissable Violet d’Emily Larkin. Une lecture plaisante, que j’ai d’ailleurs préféré au tome 1, ayant apprécié la relation qui se noue entre Lady Violet et Perry, les deux apprenant à se connaître et se faire mutuellement confiance et à s’apprécier, et même plus que cela, le temps d’une enquête. J’ai trouvé que le dosage entre romance et enquête était bien dosée, même si ça reste léger et la résolution de l’enquête assez simple, l’enquête étant plus un prétexte à faire avancer la romance.

Après la pause repas et le temps que mon mini fan de Mortelle Adèle et d’Ajax s’endorme, j’ai commencé, en soirée, à lire le tome 2 de Monk, Un deuil dangereux d’Anne Perry (éd. 10/18, coll. Grands Détectives, 1999, 476 pages), un roman policier se déroulant à Londres, dans les années 1850. Ce deuxième tome (sur 24) reprend quelques semaines après l’enquête du premier tome, les premiers chapitres faisant mention du procès du coupable (me permettant de faire la connaissance avec un nouveau personnage récurrent, l’avocat Oliver Rathbone). Cette fois, l’inspecteur Monk, toujours assisté du sergent Evan, est chargé d’enquêter sur le meurtre de la fille de Lord Moidore, qui a été poignardée, en pleine nuit, dans sa chambre, le coupable ne pouvant être qu’un des résidents dans la demeure de Queen Anne Street (membres de la famille ou domestiques) et non le fait d’un cambrioleur. Pour le moment, j’apprécie ma lecture tout autant que le tome précédent.

Comme pour le précédent roman lu, je suis toujours consternée sur le mépris hautain de la haute-aristocratie anglaise à l’égard des policiers qui sont assimilés à des moins que rien, au mieux au rang de domestique, quand on voit qu’une telle attitude serait désormais associée, à notre époque, à des outrages à l’égard d’une personne dépositaire de l’autorité publique ou rébellion, délits passibles de mois d’emprisonnement (même si on n’est peut-être tombé parfois dans l’effet inverse).

Dimanche 3 mars 2024

C’est encore une journée bien pluvieuse qui commence, idéale pour rester à la maison pour lire (cuisiner ou jouer à la console). Après le petit déjeuner et comme depuis le début des vacances, mon mini lutin a voulu lire avec moi une BD non de Mortelle Adèle mais d’Ajax cette fois. Nous avons donc relu le tome 1 d’Ajax, Chat va bien! (éd. Bayard Jeunesse, mars 2017, 64 pages), un tome où le « pôvre » chat est un peu trop maltraitée à mon goût, Adèle étant toujours mécontente d’avoir reçu de la part de ses parents un chaton et non un lion.

Puis j’ai repris, un peu en matinée, ma lecture du tome 2 de Monk, Un deuil dangereux d’Anne Perry. Comme dans l’enquête précédente, Monk est toujours amnésique depuis son accident de cab dont il a été victime 4 mois plus tôt. Il est ainsi à la fois confronté à l’image de son passé et à l’attitude méprisante de la famille Moidore.

Au moment du goûter (encore des crêpes), je suis allée voir les gourmandises du jour chez les Marmitonnes, plusieurs ayant opté pour du sucré, avec des scones chez Hilde, Bidib et Claude, une soupe anglaise chez Isabelle qui s’est révélée être une recette italienne, zuppa inglese mais aussi du salé avec une soupe Brighton chez Eimelle par exemple.

Pour les histoires du soir, avant que mon mini lutin ne fasse quelques pages de jeux de Mortelle Adèle, nous avons lu L’épouvantail au cœur de paille de Beth Ferry et The Fan Brothers (éd. Little Urban, avril 2020, 40 pages), un album jeunesse au format à l’italienne et à partir de 3/4 ans, joliment illustré, avec un texte en rimes et dont l’histoire rappelle celle de L’émouvantail de Renaud Dillies, une BD jeunesse à partir de 5 ans puisqu’il s’agit, ici, d’un épouvantail solitaire qui se lit d’amitié avec un corbeau, au fil des saisons. Puis nous avons lu également Chercher le bonheur de Peggy Nille (éd. Actes Sud Junior, septembre 2022, 32 pages), un album jeunesse au format à l’italienne à partir de 4/5 ans avec les questionnements poétiques et philosophiques d’un pingouin (en réalité un manchot empereur) sur le bonheur et qui peut être également au plus jeune, sous forme d’un cherche et trouve. De jolies lectures du soir!

Petit bilan du lundi 4 mars 2024

Finalement, je n’ai pas lu autant que je le souhaitais, ne reprenant ma lecture en cours qu’en fin d’après-midi puis en soirée jusqu’au chapitre IX (p.334). Une fois encore, Monk peut compter sur l’aide d’Esther qui se fait engager comme garde-malade auprès de Lady Moidore, habitant ainsi au cœur de la demeure où le crime a eu lieu, avec le risque de se faire démasquer par le coupable. Je ne manquerai pas de lire plus tard les livres que j’avais retenus pour ce week-end.

Kio et Estelle nous avait rejointes dimanche, Kio avec un Agatha Christie en VO, Murder On The Orient-Express et Estelle avec une lecture dans sa liseuse, le tome 5 de Son espionne royale et en audio, le tome 6 des Détectives du Yorkshire, sans oublier une participation gourmande avec un cake.

Bonne semaine à tous!

Participation #2 Challenge British Mysteries 2024 de Lou et Hilde #RAT

 

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