Étiquette : oiseau (Page 6 of 9)

Au fil des pages avec le tome 3 de L’émouvantail

Nous empruntons à la médiathèque le tome 3 de L’émouvantail, Un, deux, trois… Soleil! de Renaud Dillies (éd. de la Gouttière, 2020), une BD jeunesse à partir de 5 ans. Accompagné de son ami Petit Oiseau, l’émouvantail découvre le cycle des saisons. Il est émerveillé devant les couleurs prises par les feuilles de l’automne. Mais les feuilles sont vite remplacées par les premiers flocons et le froid qui les accompagnent. L’émouvantail part alors à la recherche d’un abri avec Petit Oiseau. Mais les deux amis se perdent et sont séparés. L’émouvantail arrivera-t-il à survivre à l’hiver?

Les illustrations de ce conte sont toujours aussi magnifiques. Après l’été des deux tomes précédents, place aux autres saisons, en particulier l’hiver.  Dans ce tome, il y a plus de tension et d’inquiétudes pour le jeune héros candide et touchant qui découvre pour la première fois l’hiver, la nature pouvant être aussi belle que dangereuse (intempéries, animaux prédateurs…).  Heureusement, il pourra une nouvelle fois compter sur son ami, Petit Oiseau. Un très bon moment de lecture avec cette BD jeunesse toujours très poétique et qui se finit bien!

Participation #11 au Challenge Contes & Légendes 2021 de Bidib #conte moderne

Challenge Petit Bac d’Enna #4 Catégorie Météo: « Soleil »

Au fil des pages avec Quel bruit!

En septembre 2020, nous avions emprunté à la médiathèque Quel bruit! de Claude K. Dubois et Pélagie Lamenthe (éd. L’école des loisirs, coll. Pastel, 2014), un album jeunesse à partir de 3 ans, après avoir reconnu sur la couverture le petit oiseau Télio de Ma feuille! du même duo autrice/illustratrice. Au printemps, Télio déménage en ville. Mais que de bruits dans le voisinage! Il va alors à la rencontre de ses voisins. Se fera-t-il à sa nouvelle maison? Les illustrations sont aussi adorables que la précédente histoire que nous avions lu de Télio. Un bon moment de lecture avec cette histoire toute mignonne!

Challenge Petit Bac d’Enna #13 Catégorie Son: « Bruit »

Participation #30 au challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant

Au fil des pages avec Occupé

Depuis plusieurs jours, nous lisons beaucoup un de nos derniers emprunts à la médiathèque, Occupé de Matthieu Maudet (éd. L’école des loisirs, coll. Loulou & Cie, 2020), un album jeunesse cartonné pour les tout-petits. Dans la forêt, le Petit Chaperon a très envie de faire pipi. Mais les toilettes mixtes sont occupées. D’autres personnages arrivent, les trois petits cochons et aussi le petit oiseau de J’y vais! (personnage d’un album précédent de l’auteur). Mais l’occupant des toilettes ne semble pas pressé de sortir. Qui peut-il bien être?

L’histoire construite en conte-randonnée aborde avec beaucoup d’humour la propreté et le plaisir de la lecture. Elle reprend également une comptine très célèbre qui est souvent chantée avec les enfants pour jouer à cache-cache mais je n’en dirai pas plus pour ne pas trop en dévoiler. La chute finale nous a fait beaucoup rire. Coup de cœur pour cet album jeunesse qui change des autres livres pour parler de propreté aux tout-petits et dont nous nous amusons à rejouer l’histoire!

challenge halloween 2020

Challenge Halloween de Hilde et Lou #Contes et légendes

Participation #56 Contes & Légendes 2020 de Bidib

Au fil des pages avec Là où chantent les écrevisses

J’ai lu, lors du Mois Américain 2020, Là où chantent les écrevisses de Delia Owens (éd. du Seuil, janvier 2020, 480 pages), un premier roman que j’avais déjà repéré dans les sorties littéraires de 2020 pour sa couverture et son titre intrigant. L’histoire débute par le décès mystérieux d’un jeune homme, Chase Andrews, en 1969 au pied d’une tour de guet dans les marais, à côté de la petite ville ségrégationniste de Barkley Cove, en Caroline du Nord. Puis retour dans le passé, en 1952 avec l’histoire d’une jeune enfant de 6 ans, Kya abandonnée par sa mère Ma et laissée à son père Pa, un homme alcoolique et violent, avec Jordie, l’un de ses frères un peu plus âgé qu’elle et qui ne s’est pas encore enfui, dans une cabane insalubre au fonds des marais. 

Les années passent et à 10 ans, Kya se retrouve définitivement seule, après le départ de son père, trouvant ses seules ressources en elle-même et dans les marais. Petit à petit, grâce à sa rencontre avec un  garçon un peu plus âgé qu’elle, Tate qui lui apprend à lire et à écrire, elle arrive à trouver sa place dans les marais. Elle apprend ainsi les sciences et à percer les mystères de la faune et de la flore des marais, ramassant des plumes par exemple, répertoriant les coquillages ou champignons, observant et notant les comportements des animaux et/ou en faisant des croquis ou des aquarelles, etc.

Mais la solitude continue de lui peser, année après année, avec son lot d’abandons comme lorsque Tate part à l’université pour ses études de biologiste et malgré la présence maternante à sa façon du couple de Noirs, Jumping et Mabel qui a veillé sur elle, d’autant que Kya reste pour la communauté blanche de Barkley Cove, la Fille des marais, cette sauvageonne pauvre et analphabète.

Devenue une jeune femme, Kya cherche, malgré ses peurs et sa timidité, à rompre cette solitude en se laissant alors séduire par Chase, leurs deux vies s’entremêlant irrémédiablement. Y a-t-il un lien entre cette toute jeune fille abandonnée dans les marais et ce décès survenu des années plus tard et qui a tout l’air d’être un meurtre?

L’autrice alterne entre des chapitres suivant le déroulement de l’enquête sur le décès de Chase et ceux consacrés à la vie de Kya dans les marais sur une vingtaine d’années. Je me laisse plongée dans l’atmosphère si particulière des marais, dans cette Nature tour à tour hostile et bienveillante. Kya est une héroïne très attachante, très forte malgré son jeune âge et sa solitude et qui fait preuve d’incroyables capacités d’adaptation en arrivant à trouver des moyens de survivre et de manger, son père lui ayant laissé un moyen de locomotion indispensable, une petite barque à moteur. Kya arrivera-t-elle à avoir ce petit bout de bonheur malgré tout? Coup de cœur pour ce roman mélangeant roman policier, roman initiatique, romance avec un trio amoureux et roman naturaliste! J’aurai pu le choisir tant pour les journées « Nature » que « First Ladies » ou encore « Roman policier », voire même « Désir » de ce Mois Américain.

Pour d’autres avis sur ce roman: Eva, Sabrina et Carine

america

Le Mois Américain de Titine #roman policier

Challenge Petit Bac d’Enna #10 Catégorie Animal: « Écrevisses »

Au fil des pages avec Pierre et le loup

Nous empruntons pendant l’été à la médiathèque Pierre et le loup de Sergueï Prokofiev, illustré par Olivier Tallec et raconté par Bernard Giraudeau et avec l’Orchestre National de France (éd. Gallimard Jeunesse, coll. « les albums musique », 2019), un album jeunesse à partir de 4 ans et accompagné d’un CD. Comme l’indiquent les premières pages de l’album, cette histoire est contée par la musique, chaque instrument de l’orchestre étant associé à un personnage de l’histoire. Nous suivons Pierre, un petit garçon courageux et ingénieux qui décide, contre l’avis de son grand-père, de défier un loup gris.

Les illustrations d’Oliver Tallec sont magnifiques (à l’instar de la page de garde) et accompagnent à merveille le texte tendre et avec un brin d’humour qui s’entend dans la voix de Bernard Giraudeau. Certaines de ses intonations me rappellent d’ailleurs la version de Disney (la version de Disney datant de 1956 et étant beaucoup plus violente notamment les coups du grand-père à l’encontre de Pierre). C’est une version très réussie du conte musical de Sergueï Prokofiev publié en 1936. Un grand classique que nous avons eu plaisir de réécouter! Avec ce conte musical, je participe au jeu de pistes du Mois des Contes et Légendes de Bidib pour la piste n°3.

Participation #38 Contes & Légendes 2020 de Bidib #conte musical

Challenge Petit Bac d’Enna #8 Catégorie Prénom: « Pierre »

année

Participation #12 au Challenge « Cette année, je (re)lis des classiques » de Nathalie et Blandine

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