Étiquette : Monk (Page 1 of 2)

Au fil des pages avec Défense et trahison

J’ai lu, fin mars 2024, le tome 3 de Monk, Défense et trahison d’Anne Perry (éd. 10/18, coll. Grands Détectives, 1999, 476 pages), un roman policier se déroulant à Londres, à partir d’avril 1857. Hester Latterly, infirmière personnelle pour quelques semaines du major Tiplady, revoit une amie, Édith, jeune veuve sans fortune qui a dû regagner la demeure familiale, dont le frère aîné, le général Thaddeus Carlyon vient de mourir, tué par sa femme, Alexandra lors d’une soirée chez des amis de longue date, les époux Furnivals, leur fils adolescent étant resté dans sa chambre. Lors de cette soirée à l’ambiance particulièrement tendue et animée, étaient également présents trois autres couples: la sœur cadette de Thaddeus et Édith, Damaris très agitée et son époux Peverell Erskine, le Docteur Hargrave et sa femme ainsi que leur fille Sabella et son mari Fenton Pole.

Mais quel peut être le mobile d’un tel meurtre? Celui avancé ne convainc personne, Alexandra n’ayant pu tuer son mari par jalousie, son époux ayant depuis longtemps une relation adultérine avec Louisa Furnivals sans que cela l’ait insupporté au point de le tuer.

Une nouvelle fois, Esther Latterly, engagée auprès de la mère d’Edith, peut compter sur William Monk, désormais détective privé grâce au soutien de Lady Callandra et sur Oliver Rathbone qui accepte d’assurer la défense de Lady Alexandra Carlyon. J’ai également apprécié que comme dans le premier tome, l’amnésie de Monk joue un rôle dans le déroulé dans l’enquête, Monk recherchant une jeune femme dont il semble épris et qui lui permet d’en découvrir un peu plus sur son passé et celui qu’il est à présent. Le procès tient également une place importante dans ce tome, comme le laissait supposer le titre. Même si j’avais compris le mobile, j’ai apprécié découvrir la façon dont Oliver Rathbone mène le procès et arrive à la même conclusion que moi. 

Il y est ainsi question de la condition de la femme, en particulier des veuves et des enfants, de violences intrafamiliales, de la société victorienne tout en inégalités sociales et apparences de façade au cœur de la haute aristocratie et au sein même du cercle familial, au point de taire l’insoutenable et même d’en être le complice afin d’éviter tout scandale… Encore un très bon moment de lecture avec cette nouvelle enquête qui aborde des thèmes bien sombres et montrant la noirceur de la nature humaine!

Pour d’autres avis sur ce tome 3: Syl.

Participation # Challenge British Mysteries 2024 de Lou et Hilde #Roman policier historique

Participation # (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2024 de Bidib #Royaume-Uni

Throwback Thursday Livresque: Passages dans le passé

TTL n°262 chez Carole #Passages dans le passé

Ce jeudi 9 mai 2024, je participe au Throwback Thursday Livresque, un rendez-vous livresque initialement chez Bettie Rose Books et repris depuis par Carole, les liens étant à déposer chez My-Bo0ks. Le principe est de partager chaque jeudi un livre en fonction d’un thème donné. Cette semaine, le thème est « Passages dans le passé ».

J’ai eu plusieurs idées de lecture en tête à la lecture de ce thème, plusieurs de mes lectures se déroulant sur une double voire triple temporalité en suivant la vie de personnages d’époque mais qui se retrouvent avec un point commun. Mais j’ai finalement choisi trois romans dont le personnage principal fait fasse à son passé:

  • (Roman dystopique) Les âmes fragmentées de Charlotte Monsarrat (éd. Anne Carrière, février 2023, 223 pages), un thriller psychologique d’anticipation se déroulant dans un futur proche, Veronica, en couple avec sa compagne Rémi, remettant en question tout son passé qui, après avoir reçu des souvenirs d’un trafiquant de mémoires et inventeur de l’extraction mémorielle, Joachim Beckett, s’aperçoit en les dérushant qu’elle le connaissait et que pire encore elle avait entretenu avec lui une relation amoureuse dont elle ne se souvient plus du tout.
  • (Roman historique policier) le tome 1 de Monk: Un étranger dans le miroir d’Anne Perry (éd. 10/18, coll. Grands Détectives, juillet 1998, 415 pages), un roman policier se déroulant dans le Londres des années 1850, à l’époque de la Guerre de Crimée, William Monk, un inspecteur de police devenu amnésique après un grave accident de cab étant amené à enquêter sur le meurtre d’un aristocrate tout en essayant de se rappeler qui il est.
  • (Roman policier historique) Les veuves de Malabar Hill de Sujata Massey (éd. Charleston, janvier 2020, 495 pages), la première enquête de Perveen Mistry, un roman policier se passant dans les Indes britanniques au début du XXe siècle, à travers des va-et-vient entre les années 1916 et 1921 de la vie de la jeune femme.

Et vous, quel livre auriez-vous choisi pour cette thématique? La semaine prochaine, le thème sera: « Personnage à lunettes ».

Au fil des pages avec Un deuil dangereux

Ce mois-ci, j’ai lu le tome 2 de Monk, Un deuil dangereux d’Anne Perry (éd. 10/18, coll. Grands Détectives, 1999, 476 pages), un roman policier se déroulant à Londres, à la fin de l’année 1856.  Ce deuxième tome (sur 24) reprend quelques semaines après l’enquête du premier tome, les premiers chapitres faisant mention du procès du coupable.

Cette fois, l’inspecteur Monk, toujours assisté du sergent Evan, est chargé d’enquêter sur le meurtre de la fille de Lord Moidore, qui a été poignardée, en pleine nuit, dans sa chambre. L’hypothèse d’un cambrioleur ayant été écartée par la police, le coupable semble ne pouvoir être qu’un des résidents dans la demeure de Queen Anne Street. Serait-ce un des membres de la famille ou un des domestiques? Son enquête s’annonce aussi complexe et hautement sensible que la précédente.

L’intrigue est moins portée sur l’amnésie de Monk qui fait bon gré mal gré avec cette perte de mémoire. Il tente de faire prévaloir la vérité et la justice, au grand dam de son supérieur Runcorn qui voudrait bien qu’un des domestiques soit vite arrêté. Mais ne risque-t-il pas alors de perdre son travail?

De son côté, à la demande de Monk, Esther se retrouve au cœur de la maisonnée de Queen Anne Street, employée comme infirmière personnelle de Lady Moidore qui surmonte difficilement son deuil en restant, le plupart de son temps, alitée dans sa chambre. Dans une atmosphère pesante et suspicieuse, elle tente de percer les secrets des uns et des autres sans se faire démasquer, Lord Moidore tenant sous sa coupe tant sa famille que ses employés. 

Nous retrouvons également Lady Callandra Daviot qui apparaît un peu comme la marraine la bonne fée tant d’Esther et de Monk, les deux se retrouvant, avec leur caractère si semblable, dans une situation financière difficile au nom de leurs idées progressistes et de justice sociale. J’ai une nouvelle fois apprécié les échanges toujours hautement tendus entre Monk et Esther, tout comme l’introduction d’un nouveau personnage récurrent, l’avocat Oliver Rathbone.

Il y est ainsi question de la société victorienne tout en inégalités sociales et apparences de façade au point de faire condamner un innocent, les membres de la haute aristocratie ne pouvant être coupables du moindre délit ou crime de par leur rang social, de condition de la femme guère enviable (qu’elle que ce soit leur statut: riche ou pauvre, mariée ou célibataire ou même infirmière comme Esther qui se retrouve face à l’arrogance sexiste et rétrograde d’un des médecins de l’hôpital) ou bien des conditions de vie des domestiques au service de l’aristocratie anglaise bien précaires, chacun pouvant risquer sa place à tout moment selon le bon vouloir du chef de la maisonnée…

J’ai d’ailleurs apprécié cette plongée dans la vie quotidienne d’une maisonnée aristocratique anglaise, me faisant penser à la série britannique Downton Abbey, même si celle-ci se déroule plusieurs décennies plus tard ou à un autre roman court de Noël d’Anne Perry renvoyant à son autre série victorienne, les époux Pitt: Un Noël à Eaton Square (éd. 10/18, novembre 2022, 168 pages). 

Encore un très bon moment de lecture avec ce tome 2, surprise par le dénouement que je n’avais pas totalement vu venir! J’ai hâte de retrouver tout ce petit monde dans le tome 3, Défense et trahison (éd. 10/18, coll. Grands Détectives, 2001, 414 pages). J’ai vu qu’il était disponible à l’une des annexes de ma médiathèque et espère pouvoir l’emprunter rapidement.

J’ai enfin noté quelques passages gourmands avec les plats de la logeuse de Monk, les mets raffinés préparés pour la maisonnée Moidore, Esther les appréciant grandement: « elle n’avait jamais goûté nourriture aussi délicieuse. Qui plus est, tout était servi à profusion. Il y avait de la viande, du poisson d’eau douce et du poisson de mer, du gibier, de la volaille, des huîtres, de la langouste, de la venaison, du civet de lièvre, des tourtes, des pâtisseries, des fruits, des gâteaux, des tartes et des flans, du pudding et des crèmes. Et il arrivait souvent aux domestiques de bénéficier des reliefs de repas rapportés de la salle à manger, en plus des plats cuisinés spécialement pour eux » (p.200/201) ou les plateaux amenés dans la chambre de Lady Moidore comme par exemple « un thé accompagné de petites crêpes et de beurre » (p.354)… Sans oublier les chocolats chauds pris par Esther à la maison du chocolat de Regent Street lors de ses rencontres avec Monk pour les avancées de l’enquête.

Pour d’autres avis sur ce tome 2: Syl et Isabelle.

Participation #4 Challenge British Mysteries 2024 de Lou et Hilde #Roman policier historique

Participation #6 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2024 de Bidib #Royaume-Uni

Participation #8 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2024 de Bidib et Fondant #Cuisine anglaise et chocolat chaud

Au fil des pages avec Un étranger dans le miroir

Depuis quelques années, j’ai pris l’habitude de lire les romans policiers « spécial Noël » d’Anne Perry, sur une idée de Syl, grande fan de cette autrice, des tomes spéciaux qui reprennent des personnages secondaires de ses deux séries principales, les Pitt ou Monk. J’avais d’ailleurs lu les premiers tomes de la série « Charlotte et Thomas Pitt », comme par exemple lors du British Mysteries Month 2021, le premier paru, en VO, pour la première fois en 1979: L’étrangleur de Cater Street d’Anne Perry (éd. France Loisirs, 1998). Je ne m’étais pourtant pas lancée dans la découverte de Monk, 24 tomes étant parus (Anne Perry étant décédée en avril 2023). C’est chose faite, le mois dernier, en lecture commune pour ce 6 mars avec Isabelle.

Mais revenons-en au premier tome de Monk: Un étranger dans le miroir d’Anne Perry (éd. 10/18, coll. Grands Détectives, juillet 1998, 415 pages), un roman policier paru pour la première fois en 1990 et se déroulant dans le Londres des années 1850, à l’époque de la Guerre de Crimée. William Monk, un inspecteur de police devenu amnésique après un grave accident de cab est chargé d’enquêter sur le meurtre du Major Joscelin Grey, le plus jeune frère de Lord Shelburne, battu à mort à son domicile londonien. Qui a pu commettre un tel crime? Monk est aidé dans son enquête d’un jeune policier Evan et va faire la connaissance d’Esther Latterly, infirmière en Crimée et revenue après le récent décès de ses parents et de son frère soldat auprès de son frère Charles et de sa belle-sœur, leur père s’étant suicidé après un mauvais placement financier ayant entraîné sa disgrâce. Qui a pu commettre un crime aussi odieux alors que le major Grey est considéré comme un héros de guerre dont il est revenu blessé et que ses proches, dont sa mère, Lady Fabia Shelburne, dont il était le fils préféré, le décrit comme un jeune homme charmant, souriant, désinvolte et aimé de tous?

J’ai apprécié l’idée de cette amnésie amenant Monk à enquêter sur lui-même et n’appréciant pas ce qu’il découvre sur lui, comme sa vanité, son ambition et sa solitude et permettant au lecteur de le découvrir en même temps que lui ainsi que le personnage d’Esther Latterly qui s’était volontairement engagée comme infirmière, dans les rangs de Florence Nightingale, à l’hôpital de Scutari, en Crimée et qui a bien du mal avec la hiérarchie militaire et médicale, bien trop patriarcale et misogyne, les femmes  ne pouvant prétendre à exercer la médecine à cette époque ou à participer à la modernisation des pratiques médicales.

La rencontre entre les deux ne pouvait être qu’explosive (lui tentant de masquer sa perte d’identité et de se montrer à la hauteur de son poste et elle ayant du mal à revenir à la place attitrée à une jeune femme de famille aisée, proche d’une « plante verte », bien loin de la liberté et de l’indépendance acquises en Crimée).

Au fil des jours et malgré ses doutes et vulnérabilité liée à son état amnésique, Monk s’humanise, tout en réapprenant ses gestes et méthodes d’inspecteur de police et en faisant preuve de perspicacité et de sens de la justice, tout en cachant son état, en particulier en raison de la rivalité évidente avec son supérieur Runcorn qui le verrait bien échouer et en se contenant (ou pas, comme Esther) face à la famille endeuillée du major Grey. Il est bien difficile pour lui de tenir son ancien rôle, tout en apportant craintes et menaces à l’égard de personnes dont il ne se souvient plus, que ce soit ses collègues ou des informateurs, malfrats des rues malfamées de Londres ou même de sa propre sœur, Beth.

J’ai également apprécié les personnages secondaires et leur caractère, véritable soutiens pour Monk (Evan lui redonnant confiance en voyant en lui un mentor et un inspecteur estimable) ou pour Esther (Lady Callandra Daviot, veuve âgée d’une soixantaine d’années et belle-sœur de Lady Shelburne ayant des idées très modernes pour l’époque).

Il y est ainsi question des inégalités sociales, en particulier lors de l’enquête policière (les aristocrates faisant peu de cas de l’inspecteur de police, le traitant comme un moins que rien facilement congédiable, au mieux au rang d’un domestique) ou au sein même des fratries des familles aisées et de la haute aristocratie anglaise, seul l’aîné héritant du titre et des richesses associées, de la condition de la femme à l’époque victorienne, du sort des anciens soldats revenant à la vie civile… 

Un très bon moment de lecture avec cette première enquête, même si mes premiers soupçons sur le coupable ont été confirmés et ayant déjà été habituée au rythme lent de l’autrice dans les « hors-série » de Noël! J’étais frustrée de ne pas avoir, tout de suite sous la main, le tome 2, Un deuil dangereux d’Anne Perry (éd. 10/18, coll. Grands Détectives, 1999, 476 pages), tome par lequel a commencé Isabelle et qui poursuit cette enquête, une fois le coupable démasqué et interpellé et afin d’en connaître un peu plus sur Monk qui n’est pas guéri de son amnésie. Depuis, j’ai pu lire le tome 2 il y a quelques jours et j’en reparlerai très vite.

Pour d’autres avis sur ce tome 1: Syl et Isabelle.

Participation #3 Challenge British Mysteries 2024 de Lou et Hilde #Roman policier historique

Challenge Petit Bac d’Enna #1 Catégorie Objet: « Miroir »

Participation #3 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2024 de Bidib #Royaume-Uni

Point lecture hebdomadaire 2024 #9

En ce début de semaine, voici mon point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures de la semaine dernière (mais pas nos relectures).

Nos lectures du 26 février au 3 mars 2024:

Des lectures jeunesse:

Mon mini lecteur a encore relu cette semaine plusieurs tomes de Mortelle Adèle et d’Ajax.

  • (Album jeunesse) Promesses de Christine Naumann-Villemin et Marianne Barcilon

Nous avons lu Promesses de Christine Naumann-Villemin et Marianne Barcilon (éd. Kaléidoscope, diff. L’école des loisirs, septembre 2018), un album jeunesse à partir de 3/4 ans. Dans la forêt, plus personne n’ose aller dans le restaurant dont un loup féroce a fait sa cantine. Et si Bouldini, un petit lapin magicien faisait changer les choses? Le duo autrice/illustratrice a concocté une histoire drôle et gourmande, sous fond de magie et de promesses tenues ou non. Un bon moment de lecture joliment illustré!

  • (Album jeunesse) La fête des crêpes d’Eva Lindell et Cecilia Heikkilä

Nous avons lu La fête des crêpes d’Eva Lindell et Cecilia Heikkilä (éd. Cambourakis, janvier 2021, 32 pages), un album jeunesse à partir de 3 ans. Se sentant seul, Momba décide d’organiser une fête de l’amitié. Mais il est vite dépassé par les préparatifs, ayant envoyé pas moins de 134 invitations. Aura-t-il prévu assez de nourriture pour les recevoir? Un bon moment de lecture tendre et gourmand! J’en reparle très vite.

  • (Album jeunesse) L’épouvantail au cœur de paille de Beth Ferry et The Fan Brothers

Nous avons lu L’épouvantail au cœur de paille de Beth Ferry et The Fan Brothers (éd. Little Urban, avril 2020, 40 pages), un album jeunesse au format à l’italienne et à partir de 3/4 ans, joliment illustré, avec un texte en rimes et dont l’histoire rappelle celle de L’émouvantail de Renaud Dillies, une BD jeunesse à partir de 5 ans puisqu’il s’agit, ici, d’un épouvantail solitaire qui se lit d’amitié avec un corbeau, au fil des saisons. Un bon moment de lecture bien que déjà vue!

  • (Album jeunesse) Chercher le bonheur de Peggy Nille

Nous avons également lu Chercher le bonheur de Peggy Nille (éd. Actes Sud Junior, septembre 2022, 32 pages), un album jeunesse au format à l’italienne à partir de 4/5 ans avec les questionnements poétiques et philosophiques d’un pingouin (en réalité un manchot empereur) sur le bonheur et qui peut être également au plus jeune, sous forme d’un cherche et trouve. Un bon voire très bon moment de lecture joliment illustrée!

Des lectures adulte:

Parmi les romans adultes que j’ai lus cette semaine, je ne parlerai dans ce billet que de certains.

  • (Romance d’urban fantasy) Faerendell, La reine captive de Jocabel C. Caballero (T2)

J’ai lu, en e-book, le tome 2 de la trilogie Faerendell, La reine captive de Jocabel C. Caballero (éd. Autoédition, octobre 2023, 446 pages), une romance paranormale/d’urban fantasy chez les Faës qui reprend là où le tome précédent s’était arrêté, Valérian Brywraek, roi de la Cour des Lumières ayant emprisonné sa nouvelle femme et Reine des Sombres, Meredith Olafir qui, en rompant le traité de paix pour sauver son peuple a permis aux Ténèbres d’attaquer. Le royaume de Faerendell peut-il encore être sauvé et la paix restauré? Le pouvoir de Meredith n’est-il pas plus puissant que sa condition de Faë mi-humaine ne le laisse supposer? Ce tome permet d’en savoir plus sur les alliances et trahisons du passé qui ont permis aux Ténèbres d’exister.

  • (Romance d’urban fantasy) Faerendell, La dernière couronne de Jocabel C. Caballero (T3)

J’ai enchaîné, le lendemain, avec le 3e et dernier tome, en e-book, de Faerendell, La dernière couronne de Jocabel C. Caballero (éd. Autoédition, décembre 2023, 516 pages), une romance paranormale/d’urban fantasy chez les Faës, Meredith ayant été enlevé par les Ténèbres obligeant Valerian à s’allier au Roi de la Cour des Mers. Mais cela permettra-t-il de mettre fin à la noirceur? L’Amour entre Faës est-il vraiment une malédiction? Encore un bon moment de lecture!

  • (Romance historique gaslamp fantasy) Les Cousins Garland, Insaisissable Violet d’Emily Larkin (T2)

J’ai lu le tome 2 des Cousins Garland, Insaisissable Violet d’Emily Larkin (éd. J’ai lu pour elle, coll. Aventures & Passions, n°13974, décembre 2023, 448 pages), une romance historique se déroulant à Londres, en 1802, sous fond d’enquête et avec un soupçon de gaslamp fantasy. Lady Violet Garland, fille de duc âgée de 25 ans a le pouvoir de voler et apporte son aide, bien malgré lui, à Perry Wintersmith, un officier de Bow Street, âgé de 26 ans et qui enquête discrètement parmi l’aristocratie sur des vols de pendules. Une lecture plaisante, que j’ai d’ailleurs préféré au tome 1, ayant apprécié la relation qui se noue entre Lady Violet et Perry, les deux apprenant à se connaître et se faire mutuellement confiance et à s’apprécier, et même plus que cela, le temps d’une enquête. J’ai trouvé que le dosage entre romance et enquête était bien dosée, même si ça reste léger et la résolution de l’enquête assez simple, l’enquête étant plus un prétexte à faire avancer la romance.

Ma lecture en cours:

(Roman policier historique) Un deuil dangereux d’Anne Perry (T2)

Pendant le RAT British Mysteries 2024, j’ai lu jusqu’au chapitre IX (333 pages lues) le tome 2 de Monk, Un deuil dangereux d’Anne Perry (éd. 10/18, coll. Grands Détectives, 1999, 476 pages), un roman policier se déroulant à Londres, dans les années 1850. Ce deuxième tome (sur 24) reprend quelques semaines après l’enquête du premier tome, les premiers chapitres faisant mention du procès du coupable (me permettant de faire la connaissance avec un nouveau personnage récurrent, l’avocat Oliver Rathbone). Cette fois, l’inspecteur Monk, toujours assisté du sergent Evan, est chargé d’enquêter sur le meurtre de la fille de Lord Moidore, qui a été poignardée, en pleine nuit, dans sa chambre, le coupable ne pouvant être qu’un des résidents dans la demeure de Queen Anne Street (membres de la famille ou domestiques) et non le fait d’un cambrioleur. Pour le moment, j’apprécie ma lecture et en reparlerai très vite, une fois ce tome fini.

« Older posts

© 2024 JOJO EN HERBE

Theme by Anders NorenUp ↑