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Au fil des pages avec le tome 2 des Détectives du Yorkshire

En ce deuxième week-end du British Mysteries Month, je continue la série des Détectives du Yorkshire avec le tome 2, Rendez-vous avec le mal de Julia Chapman (éd. Robert Laffont, 2018). L’histoire reprend quelques semaines après les événements du premier tome qui ont secoué le village tranquille de Bruntcliffe, les fêtes de fin d’année approchant. Samson est engagé pour retrouver un bélier reproducteur tout en s’intéressant à une série d’incidents troublants à la maison de retraite où vit son père, après n’avoir pas pris au sérieux l’une des pensionnaires qui pensait que quelqu’un voulait la tuer et qui était venue le voir quelques jours avant de décéder. Un décès de vieillesse ou un assassin rôde-t-il dans la maison de retraite?

Samson est aidé une nouvelle fois par Delilah mais aussi par toute une bande d’amis pensionnaires de la maison de retraite (dont le père de Samson) fort sympathiques et dynamiques malgré leur âge, heureux de pouvoir jouer aux détectives amateurs et qui m’ont fait penser aux Craquantes, une série américaine des années 80. Ils se réunissent d’ailleurs autour d’un thé à la mode Yorkshire (thé bien corsé avec du lait) accompagné de mince pies, Noël oblige.

Le duo Samson/Delilah fonctionne toujours aussi bien que dans le premier tome, leurs relations s’apaisant plus ou moins, selon les jours, Calimero, le chien de Delilah y contribuant. Ce tome est d’ailleurs plus rythmé avec différentes histoires secondaires et la fine équipe de pensionnaires de la maison de retraite. Bien sûr, comme il s’agit d’un cosy mystery, la résolution des enquêtes est simple et il est même surprenant que Samson, agent infiltré sous le coup d’une suspension, ne les démêle pas plus vite. Mais là n’est pas le charme de cette série, mais son ambiance so british. Le passé londonien de Samson reste toujours énigmatique comme les agissements suspects de Rick Procter, un promoteur immobilier qui fait vivre Bruntcliffe et qui a racheté la ferme familiale de Samson.

Un très bon moment de lecture en leur compagnie! J’enchaîne d’ailleurs immédiatement avec le tome 3. Avec un peu de retard, cela aurait dû être ma participation à la Journée « Meurtre à la campagne » du British Mysteries Month.

Pour d’autres avis sur ce tome 2: Belette et Hilde.

Participation #7 Challenge British Mysteries de Hilde et Lou #Cosy Mystery

Participation #7 Challenge A year in England pour les 10 ans du Mois Anglais de Lou, Titine et Cryssilda #Cosy Mystery

Participation #31 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant #Mince pie

challenge 2021 lire au féminin

Participation #9 au Challenge Lire au féminin de Tiphanya #Auteure britannique

Notre mois bloguesque de février 2021

Comme le mois dernier, voici un petit retour bloguesque sur février 2021 avec encore une fois beaucoup de lectures. Nous avons continué nos lectures hivernales et nous y avons ajouté nos lectures autour du carnaval avec un coup de coeur pour Le carnaval de l’ogre de Catherine Tamain et Marjorie Béal (éd. Âne bâté, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans et sa recette de bugnes.

Février 2021, c’était le mois des contes en cuisine avec le Challenge des Contes et Légendes 2021 en duo avec le Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2021, Bidib et FondantGrignote ayant concocté pour l’occasion un RAT gourmand de St-Valentin. J’ai ainsi pris le temps de relire ou redécouvrir des contes qui me sont moins familiers ou que j’apprécie moins comme Peau d’Âne ou Le bonhomme de pain d’épice. J’ai également été agréablement surprise par une suite donnée au Petit Chaperon rouge avec Cœur de bois d’Henri Meunier et Régis Lejonc (éd. Notari, 2016), un album jeunesse pour les adolescents, à partir de 15/16 ans.

C’était aussi un mois dédié à l’époque victorienne pour les dix ans du Mois Anglais qui devient un challenge annuel cette année, A year in England 2021. J’ai ainsi fini la série Lizzie et Ben Ross d’Ann Granger avec les deux derniers tomes: Le témoignage du pendu et Le brouillard tombe sur Deptford. Cette série me permet aussi de participer au Challenge British Mysteries. Je n’ai pas eu le temps de les chroniquer et ai prévu de commencer en mars une nouvelle série qui rappelle chez beaucoup celle-ci et écrite bien avant, celle de Charlotte et Thomas Pitt d’Anne Perry, le premier tome étant L’étrangleur de Cater Street.

Voici d’ailleurs mon petit bilan de participations pour ce mois de février 2021:

  • Challenge Petit Bac d’Enna: j’ai terminé deux autres lignes et ai commencé ma 5e ligne
  • Challenge Contes et Légendes de Bidib: 12 participations
  • Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et FondantGrignote:  10 participations gourmandes
  • Challenge 2021, cette année sera classique de Blandine et Nathalie: 5 participations avec des contes traditionnels ou revisités
  • Challenge A Year in England de Lou, Titine et Cryssilda: 2 participations avec des albums jeunesse
  • Challenge Lire au féminin de Typhania: 5 participations avec des albums jeunesse écrits et/ou illustrés par des autrices européennes ou d’Amérique du Nord (essentiellement françaises).

J’ai également pris le temps de rassembler dans un même billet nos dernières lectures jeunesse sur un thème récurrent chez nous, les pirates. Et d’ailleurs, ce billet n’est déjà plus à jour puisque notre dernière lecture d’hier après-midi parlait de pirate avec Le voleur d’histoires de Graham Carter (éd. Kimane, 2021), un album jeunesse à partir de 3 ans.

Sans oublier mon deuxième Alphabet des animaux illustrés dans la littérature jeunesse que j’ai terminé avec les semaines 43 à 45: U comme Unau, V comme Ver de terre et W comme Wapiti. En semaine 46, j’ai débuté un troisième Alphabet avec A comme Araignée.

Billet de suivi: le British Mysteries Month 2021

Comme l’année dernière, je participe au British Mysteries Month organisé par Hilde et Lou, un mois de mars 2021 entièrement dédié aux British Mysteries. Nos deux coorganisatrices ont prévu un programme facultatif que je vais essayer de suivre le plus possible. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur leurs blogs.

Ce billet sera actualisé au fil du mois tout en faisant un billet séparé pour chaque participation.

  • 1er mars 2021: présentation de ma PAL ou plus exactement une première partie puisque j’attends de pouvoir emprunter d’autres livres à la médiathèque
  • 2 mars: un roman court ou une nouvelle
  • Album jeunesse: Le voleur d’histoires de Graham Carter (éd. Kimane, 2021), un album jeunesse à partir de 3 ans avec une allusion à Sherlock Holmes
  • 3 mars/BD ou manga: Mary Jane de Frank Le Gall et Damien Cuvillier (éd. Futuropolis, 2020), une BD pour des lecteurs adultes et relatant la vie brisée de la dernière victime de Jack l’Éventreur
  • 5 mars: cosy mystery au choix
  • 6 mars: lieu mystérieux ou hanté (en roman, photos, BD, film, ghost tour…)

Une première semaine du British Mysteries Month se termine avec la découverte des deux premiers tomes d’une nouvelle série cosy mystérie, celle de Son espionne royale de Rhys Bowen – une lecture que j’ai bien appréciée en compagnie de Lady Georginia, apprentie espionne mondaine pour le compte de la Reine dans le Londres des années 30.

Ce 8 mars 2021 débute la deuxième semaine du British Mysteries Month et je poursuis mes lectures sur ce thème même si je n’ai pas encore eu le temps de les chroniquer comme les deux premiers tomes de la DB jeunesse à partir de 13 ans, Les Quatre de Baker Street de Jean-Blaise Djian, David Etien et Olivier Legrand (éd. Glénat), d’après l’œuvre d’Arthur Conan Doyle. En 1890, Billy, Charlie et Black Tom sont trois enfants des rues vivant dans l’East End londonien et qui font partie des irréguliers de Baker Street engagés par Sherlock Holmes. En l’absence de ce dernier, le trio est amené à enquêter, dans le premier tome, sur l’enlèvement de la fiancée de Black Tom. Ils seront ainsi aidés par un quatrième acolyte. Puis dans le deuxième tome, leur enquête les conduira à se mêler à des révolutionnaires russes exilés à Londres. Les quatre de Baker Street sont attachants et se révèlent très futés pour leur jeune âge. Les illustrations retranscrivent l’ambiance victorienne des bas-quartiers qui est sombre voire même sordide, entre pauvreté, prostitution et violences.

Au détour d’une histoire du soir, j’ai l’agréable surprise de découvrir des passages « british mysteries » avec le vol de la couronne ou un fantôme hantant un château. Il s’agit d’un album jeunesse à partir de 3 ans, Le livre de Charlie de Julia Donaldson et Axel Scheffler (éd. Autrement Jeunesse, 2006).

Cette deuxième semaine devait finir sur un marathon de lectures qui finalement est reporté à la semaine prochaine, du 19 au 21 mars. Je ne sais pas encore ce qu’il me restera dans ma PAL actuelle et referai sans doute un passage à la médiathèque puisque ce 11 mars 2021, j’ai pu récupérer une réservation à la médiathèque, le tome 2 des Détectives du Yorkshire, Rendez-vous avec le mal de Julia Chapman (éd. Robert Laffont, 2018), l’histoire se déroulant à Noël.

  • 8 mars: meurtre à la campagne (roman, série, film): le tome 2 des Détectives du Yorkshire, Rendez-vous avec le mal de Julia Chapman (éd. Robert Laffont, 2018)
  • 10 mars: lecture jeunesse (policiers, ghost story ou mystery novel au choix)
  • 11 mars: autour de Sherlock Holmes
  • 13 mars : autour d’Agatha Christie

Je passe le week-end en bonne compagnie avec Samson et Delilah en lisant les tomes 2 et 3 Détectives du Yorkshire confrontés à plusieurs enquêtes et mystères au sein de la petite communauté de Bruntcliffe: kidnapping d’un bélier reproducteur chez un fermier, série d’incidents troublants à la maison de retraite où vit le père de Samson dans le deuxième tome et une enquête de plus en plus mystérieuse autour d’un avis de décès d’une jeune fille décédée vingt ans plus tôt dans le troisième tome. Le duo Samson/Delilah fonctionne toujours aussi bien que dans le premier tome, leurs relations s’apaisant plus ou moins, selon les jours, Calimero, le chien de Delilah y contribuant. Un très bon moment de lecture!

Ce 15 mars 2021 débute la troisième semaine du British Mysteries Month et ma prochaine lecture me replongera dans l’époque victorienne avec L’étrangleur de Cater Street d’Anne Perry (éd. France Loisirs, 1998), le premier tome de la série « Charlotte Ellison et Thomas Pitt ».

Comme l’année dernière, Hilde et Lou ont prévu un read-a-thon du 19 au 21 mars 2021 auquel je participe avec grand plaisir. Mais comme à mon habitude avec les marathons de lecture, je ne lis jamais ce que j’avais pensé lire puisqu’après un passage à la médiathèque, j’ai lu le tome 3 de Son espionne royale.

Après un très bon week-end cosy et convivial, j’entame une nouvelle semaine du British Mysteries Month en finissant ma lecture d’hier, Cottage, fantômes et guet-apens d’Ann Granger. Puis en soirée, je commence Le meurtre de Roger Ackroyd d’Agatha Christie (éd. du Masque, 1927, rééd. 2011) pour la Journée « Un classique » du 24 mars.

  • 22 mars : cosy mystery au choix
  • 24 mars : un classique (polar, mystery novel, fantastique)
  • 26 mars : LC « Les 1000 vies d’Agatha Christie »
  • 27 mars : un polar historique écrit à notre époque    
  • 28 mars: un polar gourmand (libre interprétation)
  • 30 mars : lecture en VO

En ces derniers jours du Challenge British Mysteries, je lis le premier tome des Sœurs Mitford enquêtent, L’assassin du train de Jessica Fellowes (éd. du Masque, coll. Le livre de Poche, 2019), un roman policier qui se passe dans les années 20 en Angleterre.

Petit bilan de cette édition du British Mysteries Month: j’ai bien apprécié mes lectures de ce mois de mars même si je n’ai pas eu le temps de tout chroniquer ni de lire tout ce que j’avais prévu. Heureusement, le challenge British Mysteries est annuel et je continuerai mes lectures les mois prochains. A l’année prochaine pour un nouveau British Mysteries Month!

Challenge British Mysteries de Hilde et Lou #British Mysteries Month 2021

Notre mois bloguesque de janvier 2021

Cette année, j’ai décidé de rédiger des billets mensuels autour des mois écoulés. Alors voici un petit retour bloguesque sur janvier 2021 avec beaucoup de lectures. Mais nous avons quand même pu faire une journée à la neige.

J’ai commencé l’année en continuant avec les challenges de Noël:  Il était 8 fois Noël qui s’est fini en beauté avec un RAT les 2 et 3 janvier et le Challenge Christmas Time pour chroniquer les dernières lectures même si finalement j’ai lu bien plus que je n’ai chroniqué et agrandi une fois de plus ma LAL de Noël pour la prochaine édition. J’ai ainsi prolongé l’ambiance de Noël en chroniquant deux lectures début janvier: L’arbre à vœux de Kyo Maclear et Chris Turnham (éd. Little Urban, 2017) et Michka de Marie Colmont. Puis  les décorations de Noël ont été rangées.

Noël a alors laissé place au temps de l’Épiphanie. Nous avons ainsi fait des (re)lectures et des activités autour de la galette des rois avec aussi une nouveauté, La galette et le roi de Schéhérazade Zeboudji et Marianne Barcilon (éd. Kaléidoscope, diff. L’école des Loisirs, 2020), un album jeunesse à partir de 3 ans. Nous avons aussi préparé une galette en suivant la recette du livre.

Nous avons également commencé nos lectures hivernales avec surtout des albums jeunesse, certains étant des cadeaux d’anniversaire ou de Noël et d’autres découverts à la médiathèque. D’ailleurs, ce billet continuera d’être mis à jour tout le long de cet hiver. J’en ai, en effet, d’autres dans ma PAL de février comme L’ours et le rossignol de Katherine Arden (éd. Denoël, 2019) côté adulte ou la relecture de Petit Gruffalo de Julia Donaldson et Axel Scheffler (éd. Gallimard Jeunesse, 2015) côté jeunesse.

J’ai aussi écrit un billet de présentation sur les challenges livresques de cette année, la plupart étant des challenges annuels ou mensuels auxquels nous avons déjà participé avec beaucoup de plaisir et de convivialité les années précédentes. Je me suis ainsi plongée, par exemple, tout le mois de janvier dans les  légendes arthuriennes avec le Challenge des Contes et Légendes 2021 et aussi des lectures « cosy mystery » avec les challenges British Mysteries 2021 de Hilde et Lou et Lire au féminin 2021 de Tiphanya.

Voici d’ailleurs mon petit bilan de participations pour ce mois de janvier 2021:

  • Challenge Petit Bac 2021 d’Enna: j’ai déjà terminé deux lignes et commencé la troisième
  • Challenge Contes et Légendes 2021 de Bidib: 10 participations et aussi une présentation de ma PAL de légendes arthuriennes (je les ai presque tous lus sauf Laomer)
  • Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2021 de Bidib et FondantGrignote: 12 participations gourmandes
  • Challenge 2021, cette année sera classique de Blandine et Nathalie: une participation et aussi une présentation de ma PAL de légendes arthuriennes
  • Challenge British Mysteries de Hilde et Lou: une participation avec trois lectures « cosy mystery »
  • Challenge Lire au féminin 2021 de Tiphanya: une participation avec trois lectures

Sans oublier mon second Alphabet des animaux illustrés dans la littérature jeunesse avec les semaines 38 à 42: O comme Oie, P comme Panda, R comme Raton laveur, S comme Singe et T comme Taupe.

Au fil des pages avec Diane

L’été dernier, lors du RAT gourmand d’août 2020, j’avais lu Les gens heureux lisent et boivent du café d’Agnès Martin-Lugand (éd. Michel Lafon, éd. Pocket, n°15716, 2014), le premier roman court de l’autrice. Un an après le terrible accident de la circulation qui a emporté son mari Colin et sa fille Clara, Diane part seule s’enterrer – se reconstruire – en Irlande, à Mulranny, se raccrochant au fait que son défunt mari adorait la guiness. Elle quitte Paris, son meilleur ami et employé Félix à qui elle confie la gestion du café littéraire nommé « Les gens heureux lisent et boivent du café ». Elle loue un cottage à un couple âgé, Abby et Jack dont le neveu, Andrew, un photographe solitaire et bourru vivant avec son chien, vit dans la maison voisine. Rien ne semble pouvoir les rapprocher. Et pourtant?

Cette petite romance se laisse facilement lire, l’histoire changeant très vite de style dès la rencontre entre Diane et Andrew, le deuil de son mari et de sa petite fille passant en second plan. J’avais été un peu déçue de ma lecture, tant dans le style d’écriture que dans une romance du type Harlequin, surtout après avoir lu sur le même thème, Des vents contraires d’Olivier Adam.

Pourtant, cette semaine, en me rendant à la médiathèque, j’ai vu l’adaptation en roman graphique de ce roman, Les gens heureux lisent et boivent du café de Véronique Grisseaux et Cécile Bidault, d’après Agnès Martin-Lugand (éd. Michel Lafon, 2019). Je l’ai empruntée avec la suite de ce roman, La vie est facile, ne t’inquiète pas d’Agnès Martin Lugand (éd. Michel Lafon, éd. Pocket, n°16442, 2016).

S’agissant du roman graphique, je l’ai trouvé fidèle au roman d’autant que certains traits caricaturaux des personnages, comme Félix, ont été atténués. Même la question du deuil est plus présente, l’évolution physique de Diane dans les illustrations y contribuant largement. Je pense qu’il est préférable de lire le roman avant pour comprendre certaines ellipses ou raccourcis de l’adaptation due à son format.

Puis je lis la suite, La vie est facile, ne t’inquiète pas. L’histoire reprend un an après le départ de Diane de Mulranny. Elle semble avoir repris sa vie en main, à Paris, avec son fidèle ami, Félix, même si la douleur est encore bien présente, surtout la perte de sa fille Clara l’empêchant tout contact avec un enfant. Elle est sur le point de racheter les parts de ses parents du café littéraire et vient de rencontrer Olivier, un homme éperdument amoureux d’elle. Mais alors que tout semble aller pour le mieux, elle revoit Andrew, lors d’une exposition de ses photos, qui lui apprend qu’Abby est très malade. Ni une ni deux, elle retourne à Mulranny où elle doit aussi faire face à une rencontre inattendue et déstabilisante. Arrivera-t-elle à surmonter un nouveau décès?

J’ai bien apprécié cette suite, un court roman feel good que j’ai trouvé mieux construit et mieux écrit que Les gens heureux lisent et boivent du café. En retrouvant sa « seconde » famille irlandaise si soudée malgré les blessures enfouies ou non de chacun des membres, Diane sera plus forte qu’elle ne le pense, parvenant malgré ses hésitations et ses angoisses, à vivre avec le décès de sa fille. La romance accompagne bien mieux la vie d’après la perte. Il y a même un peu plus de références au paysage irlandais et à ses plats typiques (et non plus que la guiness) comme le pain noir, l’irish stew et l’irish breakfeast (« ça sentait le bacon, les œufs, les toasts grillés »). Un bon moment de lecture avec cette suite!

Pour d’autres avis: Enna (roman graphique).

Challenge Petit Bac d’Enna #2 Catégories Être humain: « Gens », Adjectif: « Facile » et Aliment/Boisson: « Café »

Participation #6 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant #Cuisine irlandaise

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