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RAT du Mois au Japon 2021

Pour cette troisième semaine du Mois au Japon 2021, Lou et Hilde, les deux coorganisatrices proposent d’échanger autour d’un journal de bord et de finir la semaine avec un read-a-thon (marathon de lectures) tout au long du week-end des 17 et 18 avril. De mon côté, je continue avec mon billet de suivi du mois. Je pensais n’actualiser ce billet que ce week-end mais finalement, je vais le faire dès aujourd’hui comme ce sont les vacances scolaires. Comme l’a écrit Lou, nous sommes à la croisée du journal de bord et du marathon de lecture.

En ce moment, il y a bien sûr le Japon qui rythme notre quotidien, avec des lectures, des activités DIY et de la cuisine. Mais pas seulement. Avec le retour du printemps et même si nous sommes encore confinés dans un périmètre de 10 km, nous relisons des histoires printanières autour du jardinage, des plantations, de l’environnement, des fleurs… Nous nous occupons aussi de notre jardinière avec notamment nos plants de tomate cerise et aussi notre pot de gazon ramené de l’école. 

Ce 15 avril 2021, la journée commence par une première lecture après le petit déjeuner avec Splat adore jardiner! de Rob Scotton (éd. Nathan, 2015), un album jeunesse à partir de 4 ans. En compagnie de Harry Souris, Splat est bien impatient de voir sa graine pousser comme nous avec les haricots que nous avons dû planter pendant la semaine de l’école à la maison, après avoir étudié Jacques et le haricot magique de Richard Walker et Niamh Sharkey (éd. Flammarion Jeunesse, coll. Père Castor, 2000), un album jeunesse à partir de 4 ans.

Puis nous faisons une activité DIY avec des lanternes japonaises pour la journée « Loisirs créatifs » de demain. Nous prenons d’abord une feuille blanche pour dessiner des motifs floraux que nous collons sur une feuille colorée. Puis c’est l’étape du découpage et du collage pour former une jolie lanterne. Nous en faisons plusieurs de différentes tailles.

Avant le déjeuner, nous relisons les deux tomes de Cassis de Brigitte Luciani et Eve Tharlet (éd. Dargaud, 2014), une BD jeunesse au format à l’italienne à partir de 3 ans et qui reprend les personnages de la version BD pour les plus grand de Monsieur Blaireau et Madame Renarde: Cassis veut jouer et Cassis a peur. Le personnage central est ici la plus petite de la fratrie recomposée, Cassis laissé un après-midi ou une soirée sous la surveillance de ces grands frères et sœur. Deux histoires adorables sur le monde de la petite enfance!

Puis je rédige ce billet et fais un petit tour chez les autres participantes qui ont déjà commencé leur journal de bord/billet de RAT: Hilde qui a fini cette semaine Konbini, entre deux origamis, Lou qui se replonge avec ses filles dans des albums jeunesse japonais aux histoires toutes douces et aussi Blandine qui voyage avec Peter Pan en emmenant quelques mangas.

L’après-midi passe entre dessins animés, jeux et coloriages (avec une forte dominante d’Octonauts), sans oublier la pause goûter et une jolie lecture en suivant la vie de Koïshi au fil des saisons avec La balade de Koïshi d’Agnès Domergue et Cécile Hudrisier (éd. Grasset Jeunesse, 2019), un album jeunesse à partir de 3 ans en forme de livre-accordéon.

Puis il est l’heure de dîner avec un ramen express (des raviolis aux crevettes et des nouilles) et de lire les histoires du soir avec une fois n’est pas coutume trois albums jeunesse – des relectures: Un loup dans le potager de Claire Bouiller et Quentin Gréban (éd. Mijade, 2004, rééd. 2013) avec un gentil loup jardinier, Banquise Blues de Jory John et Lane Smith (éd. Gallimard Jeunesse, 2019) avec un manchot empereur râleur et Gaston Grognon de Suzanne et Max Lang (éd. Casterman, 2020).

En soirée, je continue ma lecture d’Un café maison de Keigo Higashino (éd. Actes Sud, coll. Actes noirs, 2012), un roman policier au rythme lent et qui est bien loin des méthodes d’enquête française (et peut-être même de celles que je supposais japonaises).

Ce 16 avril 2021, nous commençons la journée par la lecture d’albums jeunesse. Je lis Le maître des estampes de Thierry Dedieu (éd. Seuil Jeunesse, 2010), un album jeunesse pour les 6/9 ans selon l’éditeur à la morale pleine de sagesse sur la valeur d’une œuvre d’art.

Puis nous lisons La fête de la tomate de Satomi Ichikawa (éd. L’école des loisirs, 2012) avec Hana, une petite fille qui cultive des plants de tomates dans le potager de sa grand-mère, Quand il fait nuit d’Akiko Miyakoshi (éd. Syros, 2016), une histoire douce et poétique avec un petit lapin qui rentre chez lui, le soir, avec ses parents se coucher, l’occasion de rêver sur ce que font les autres personnes au même moment et enfin Toujours rien? de Christian Voltz (éd. du Rouergue, 1997, rééd. 2020) avec Monsieur Louis qui attend plus ou moins patiemment que sa graine pousse.

C’est encore une journée qui est passée vite, avec un après-midi semblable à hier mais j’ai pris le temps d’écrire deux billets, l’un sur nos lanternes japonaises et l’autre sur ma lecture de ce matin, Le maître des estampes. Nous avons aussi fait le tri des livres à rendre ou non à la médiathèque afin de pouvoir récupérer nos réservations demain après-midi, l’occasion de feuilleter ou de relire certains. Puis c’est l’heure des histoires du soir avec deux albums jeunesse à partir de 3 ans: Florette d’Anna Walker (éd. L’école des loisirs, 2019) avec l’histoire d’une petite Maé à qui la Nature manque terriblement, après son déménagement en ville avec sa famille et Le bon côté du mur de Jon Agee (éd. Gallimard Jeunesse, 2019).

Avant de me plonger dans ma lecture du soir, j’actualise mon billet et fais un petit tour des blogs et des réseaux sociaux. Bidib nous a rejoint aujourd’hui ce soir avec un manga.  Il y a aussi MissyCornish avec un roman court de Haruki Murakami, L’étrange bibliothèque, une histoire qui semble plutôt à lire à Halloween et Pativore avec Au nord par une montagne, au sud par un lac, à l’ouest par des chemins, à l’est par un cours d’eau de László Krasznahorkai et qui l’entraîne dans un pèlerinage au Japon.

Samedi 17 avril 2021, il est 17h30 et je n’ai pas encore pris le temps d’actualiser ce billet. Retour sur notre journée. Ce matin, je finis les derniers chapitres d’Un café maison de Keigo Higashino, un roman policier auquel je n’ai pas accroché, l’auteur ayant pourtant reçu le Prix Naoki au Japon en 2005 pour la première enquête de son duo d’enquêteurs, Le Dévouement du suspect X (un prix qui récompense des auteurs de romans populaires, que ce soit des romans policiers ou historiques).

Yoshitaka Mashiba est retrouvé seul chez lui, empoisonné à l’arsenic. Très vite, sa femme, Anayé est soupçonnée. Les deux policiers chargés de l’enquête – l’inspecteur Kusagani et sa collègue Kaoru Yukama – vont tenter de découvrir le coupable de cet empoisonnement, aidé par un physicien Yukawa. Ils se querellent sur l’identité du coupable, Kusagani attiré par l’épouse du défunt rejetant l’idée qu’elle pourrait être l’assassin. Et comment s’y serait-elle prise alors qu’elle était absente du domicile conjugal? Et quel serait son mobile? La vengeance? En effet, le défunt qui souhaitait à tout prix être père, avait une maîtresse, la jeune assistante de sa femme et une vie bien secrète.

L’enquête se passe très lentement, avec un duo d’enquêteurs qui avancent presque sur des pincettes pour ne pas froisser les éventuels suspects en les interrogeant, autour d’un café ou d’un thé. Avec ce respect et cette courtoisie – presque à outrance et pourtant si japonais – ce roman est bien loin des enquêtes françaises où l’épouse aurait été immédiatement placée en garde à vue. Mais peut-être que je tenterai d’en lire un autre au vu de l’avis positif de Rachel sur un autre roman policier de cet auteur, La maison où je suis mort autrefois.

Puis en milieu de matinée, nous lisons Prendre le large de Johan Pegot (éd. NordSud, 2019) avec un petit garçon qui est bien triste après le départ (définitif) de son père et qui attend son retour jusqu’à ce qu’un jour il recueille un oiseau blessé et qui donne envie à mon mini lutin de relire L’enfant, la baleine et l’hiver de Benji Davies (éd. Milan Jeunesse).

Cet après-midi, après le cours de tennis, nous allons à la médiathèque pour récupérer nos réservations et aussi faire une partie de Tropicano, un jeu de plateau à partir de 5 ans (éd. Bedeluc) où chaque joueur pirate doit construire un pont en bois jusqu’au trésor. C’est un jeu de société avec un dé dans lequel il faut faire preuve d’anticipation et de stratégie. Car attention à la vague qui peut tout détruire!

Puis retour de médiathèque avec la lecture, après le goûter, de tous les albums jeunesse empruntés ce jour:

  • Lenny & Lucy de Philip C. et Erin E. Stead (éd. Kaléidoscope, 2015), un album jeunesse à partir de 6 ans avec Peter, un petit garçon qui déménage avec son père et son chien près d’une forêt.
  • Ce n’est pas une bonne idée! de Mo Willems (éd. Kaléidoscope, diff. L’école des Loisirs, 2013), un album jeunesse rigolo à la chute décalée à partir de 3 ans, quand un renard invite une oie à partager une soupe.
  • Qu’est-ce que vous faites Monsieur l’architecte? de Kunihiko Aoyama (éd. Nobi! Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de  3 ans, un  conte avec un vieux nain un peu bourru et architecte qui entreprend la construction d’une maison avec l’aide des animaux de la forêt
  • Petit Noun, L’hippopotame bleu des bords du Nil de Géraldine Elschner et Anja Klauss (éd. L’élan Vert, 2012), un album jeunesse à partir de 4 ans et qui nous fait voyager dans l’Egypte antique et des trésors qui ont traversé les siècles, comme certains objets conservés au Musée du Louvre
  • L’attrape-lune de Séverine Vidal et Barroux (éd. Mango Jeunesse, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans avec la jolie, rigolote et complice relation entre un grand-père et son petit-fils faite d’imaginations, de souvenirs et de rêves.
  • ainsi que certains chapitres d’un documentaire, Tout savoir sur les volcans d’Évelyne Pradal (éd. Fleurus, 2018).

Après la lecture de Petit Noun, un petit hippopotame bleu qui part à la recherche de ses ancêtres, c’est l’occasion de relire un documentaire sur la naissance avec L’imagerie du corps humain (éd. Fleurus). Nous feuilletons également deux livres de Madame Mô d’Agnès Lafaye et Pascale Moteki qui sont remplis d’histoires, recettes et petits bricolages autour du Japon: Madame Mô, Les Fruits et les légumes japonais (éd. Picquier Jeunesse, 2015) et Madame Mô, Les fêtes japonaises (éd. Picquier Jeunesse, 2013).

Pour le repas du soir, nous restons dans l’ambiance japonaise avec un plateau de sushis, makis, california rolls et sashimis… Dommage qu’on n’ait pas eu le temps de passer au magasin asiatique pour en faire nous-même… Peut-être la semaine prochaine… C’est ensuite l’heure des histoires du soir avec deux relectures: Une si petite graine d’Eric Carle (éd. 1970, rééd. 2020) et Les Pirates de Valérie Guidoux et Charlie pOp (éd. Larousse, coll. Ma Baby Encyclopédie Larousse, 2014).

Pour commencer la soirée, un petit tour chez les autres participantes où chacune a pu continuer leurs lectures en cours: Quand l’empereur était un dieu de Julie Otsuka chez Bidib, le tome 2 de Shikanoko, la princesse de l’automne de Lian Hearn chez MissyCornish, la série de Magus of the Library de Mitsu Izumi chez Pativore, un album jeunesse pour faire des grues en origami chez Hilde avec Je fais un oiseau pour la paix d’Alain Serres et Claire Franek (faisant référence à l’histoire de Sadako Sasaki) et Blandine qui est toujours en compagnie de Peter Pan et aussi avec Bashô, Le fou de poésie de Françoise Kerisel et Frédéric Clément.

Je ne sais pas par quoi je vais commencer ce soir, peut-être en piochant dans nos derniers emprunts ou en regardant à la télévision les deux premiers épisodes de la série Belgravia, une adaptation du roman éponyme de Julian Fellowes. Finalement, ce sera soirée télé.

Dimanche 18 avril 2021, je commence la journée par un petit tour sur les réseaux sociaux et les blogs, Tiphanya et NathChoco participant également au RAT sur Insta, Tiphanya avec des mangas comme le tome 1 de Daisy, Lycéennes à Fukushima  de Reiko Momochi et NathChoco avec Et si les chats disparaissaient du monde… Genki Kawamura. Fondant nous a aussi rejointes hier soir avec un film d’animation de Miyazaki, Nausicaä de la Vallée du Vent. Hilde continue de faire des origamis, ce matin des cygnes pour accompagner un conte, Le Peintre et les cygnes sauvages de Claude et Frédéric Clément.

Puis je commence, en reprenant un café, Seins et Œufs de Mieko Kawakami (éd. Actes Sud, 2012), un roman court assez déroutant après les premières pages, avec l’arrivée pour quelques-jours à Tokyo de Makiko, à l’aube de la quarantaine et obsédée par le désir de se refaire les seins et de sa fille de 12 ans, Midoriko, en pleine puberté et refusant de parler, chez sa sœur cadette, Natsu et qui  alterne avec le ressenti de la narratrice, Natsu et le journal intime de l’adolescente. En fin de matinée, je finis de lire ce roman (108 pages) et qui a obtenu le Prix Akutagawa en juillet 2007 (prix littéraire japonais qui récompense les auteurs débutants de nouvelles ou de romans courts). L’autrice questionne la féminité et le corps féminin à travers les figures de la femme célibataire, de la mère et de l’adolescente.

Après un déjeuner de crêpes salées, nous faisons du jardinage en faisant des semis pour, nous l’espérons, nos futurs fraisiers. Nos plants de tomates cerise se sont bien acclimatés à notre jardinière. Nous sommes aussi contents que les haricots blancs mis dans du coton humidifié aient enfin commencé à germer. C’était une activité proposée par la maîtresse pour les vacances pour prolonger l’exploitation pédagogique de Jacques et le haricot magique. Le mini jardinier reporte les observations sur sa feuille de suivi.

C’est déjà l’heure du goûter – un goûter tardif peu après 17h – avec un café, une crêpe sucrée et une nouvelle lecture: L’Amour, le Japon, les sushis et moi de N. M. Zimmermann (éd. Albin Michel Jeunesse, 2016), un roman jeunesse à partir de 13 ans. La narratrice, Lucrèce, une adolescente âgée de 15 ans part s’installer avec sa mère, son petit frère Maximilien âgé de 6 ans et leur chien Trobeau au Japon. J’en lis les cinq premiers chapitres avant le dîner.

Puis vient l’heure des histoires du soir avec deux relectures. Nous commençons par J’en rêvais depuis longtemps d’Oliver Tallec (éd. Actes Sud Junior, 2018), un album jeunesse très drôle à partir de 4 ans et qui fait partie de la sélection Maternelle du Prix des Incos 2021 avec un petit garçon et son chien. L’humour du texte tient au contrepied narratif, les illustrations révélant avant le texte l’identité du narrateur. Ensuite, comme la veille, nous relisons Les Pirates de Valérie Guidoux et Charlie pOp.

Il est 21h15 et je fais un tour chez les autres participantes avant de repartir au Japon en compagnie de Lucrèce et de sa famille dans L’Amour, le Japon, les sushis et moi de N. M. Zimmermann. En ce dimanche « Livre gourmand/Recette », certaines marmitonnes de la brigade de Syl ont préparé des plats japonais: Hilde avec des makis, Syl avec une omelette typiquement japonaise, l’omurice, Nahe avec des Jagaimo mochi (une recette salée à base de pommes de terre) et Blandine avec un cake au thé matcha. De son côté, Lou a réussi à être un peu plus présente cet après-midi, ou plus exactement ses mini lectrices qui ont même assorti leurs chaussettes et tongs à leurs lectures japonaises pour l’occasion. Bidib a passé l’après-midi à jardiner avant une petite pause lecture avec des mangas. MissyCornish a commencé un nouveau roman avec Les tendres plaintes de Yôko Ogawa. Je vous souhaite une bonne soirée et je reviendrai demain pour faire un petit bilan de ce week-end.

En soirée, je m’arrête peu avant minuit au chapitre 13 de L’Amour, le Japon, les sushis et moi de N. M. Zimmermann, avec la rentrée scolaire de Lucrèce au lycée et son inscription au club des amateurs de sushis (154 pages).

Petit bilan de ce marathon: J’actualise une dernière fois ce billet ce lundi matin avant de reprendre jusqu’à la fin du mois mon billet de suivi du Mois au Japon. Il me reste encore quelques livres de ma PAL japonaise à lire et surtout à chroniquer. Encore un week-end bien rempli, avec des lectures qui nous ont fait voyager un peu partout – mais avec des escales japonaises – et plein d’idées lecture piochées chez les autres participantes. Encore merci à Hilde et Lou d’avoir organisé ce RAT! Bonne semaine!

Pour d’autres idées autour du Japon (lectures, recettes et autres activités), les autres participantes: Hilde, Lou, Blandine, Bidib, MissyCornish, Pativore et FondantGrignote et sur Insta: Tiphanya et NathChoco.

Participation #12 Un mois au Japon 2021 de Hilde et Lou #RAT

Notre PAL pour Un Mois au Japon 2021

Pour ce premier jour d’Un Mois au Japon 2021, Hilde et Lou nous proposent de présenter notre PAL (pile à lire) pour le mois d’avril.  C’est le moment idéal de pouvoir lire quelques mangas que je n’ai pas encore pu aller emprunter à la médiathèque. Heureusement, contrairement à l’année dernière, les médiathèques restent ouvertes. J’ai prévu essentiellement des albums jeunesse, que ce soit d’auteurs japonais ou des histoires se déroulant au Japon et aussi un roman policier japonais.

Des albums jeunesse:

  • Mercredi, c’est raviolis! de Makato Tachibana et Setsuko Hasegawa (éd. L’école des loisirs, 2008), un album jeunesse à partir de 3 ans et se finissant sur une recette de raviolis japonais, des gyôzas qui peuvent être bouillis ou frits (LU ET RELU)
  • Les amants papillons de Benjamin Lacombe (éd. Seuil Jeunesse, 2007), un album jeunesse grand format pour les 6/9 ans selon l’éditeur mais voire plutôt pour les adolescents, une histoire d’amour tragique magnifiquement illustrée et inspirée d’une ancienne légende (LU)
  • Le cerf-volant de Toshiro de Ghislaine Roman et Stéphane Nicolet (éd. Nathan Jeunesse, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans selon l’éditeur (DÉJÀ LU)
  • Le maître des estampes de Thierry Dedieu (éd. Seuil Jeunesse, 2010), un album jeunesse pour les 6/9 ans selon l’éditeur(LU)
  • La balade de Koïshi d’Agnès Domergue et Cécile Hudrisier (éd. Grasset Jeunesse, 2019), un album jeunesse à partir de 3 ans en forme de livre-accordéon (LU)
  • Le Neige Express de Naokata Mase (éd. Seuil Jeunesse, 2013), un album jeunesse à partir de 3 ans (LU ET RELU)
  • Pique-nique sous la pluie de Naokata Mase (éd. Seuil Jeunesse, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans et avec des découpes (LU ET RELU)
  • Tu rentres quand? de Nagako Suzuki (éd. Nobi Nobi!, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans. Après avoir préparé un gâteau d’anniversaire pour son père, une petite fille attend avec impatience son retour. Coup de cœur pour cet histoire toute mignonne et gourmande avec des illustrations douces et aux couleurs automnales! (LU ET RELU)
  • Le voyage de Pippo de Satoe Tone (éd. Nobi Nobi!, 2014), un album jeunesse à partir de 3 ans (DÉJÀ LU)
  • Où est mon étoile? de Satoe Tone (éd. Nobi Nobi!, 2015), un album jeunesse grand format partir de 3 ans et qui aborde avec poésie, douceur et délicatesse le thème du deuil (LU)
  • Le portrait de Nounours de Mari Kasai et Chiaki Okada (éd. Nobi Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans (LU ET RELU)
  • La fête de la tomate de Satomi Ichikawa (éd. L’école des loisirs, 2012), un album jeunesse à partir de 3 ans, avec Hana, une petite fille qui cultive des plants de tomates dans le potager de sa grand-mère (DÉJÀ LU)
  • Le poisson rouge de Nanami de Yuichi Kasano (éd. L’école des loisirs, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans (LU)
  • Quand il fait nuit d’Akiko Miyakoshi (éd. Syros, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans, une histoire douce et poétique (LU)

De la poésie avec les haïkus:

Des légendes et des contes japonais:

  • Issunbôshi, le petit samouraï d’Alice Brière-Haquet et Sanoe (éd. Nobi Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de 6 ans, une version japonaise de Tom Pouce ou du Petit Poucet (LU)
  • Urashima de Margaret Mayo et Jane Ray (éd. Hatier Jeunesse, coll. Ribambelle, 1993, rééd. 2005), un conte traditionnel japonais à partir de 4 ans (LU)
  • le recueil 1 de Mukashi Mukashi, Contes du Japon d’Alexandre Bonnefoy (éd. Issekinicho, 2019), un recueil de contes à partir de 5 ans
  • le recueil 2 de Mukashi Mukashi, Contes du Japon de Delphine Vaufrey (éd. Issekinicho, 2019), un recueil de contes à partir de 5 ans
  • Yōkai! Le monde étrange des monstres japonais de Fleur Daugey et Sandrine Thommen (éd. Actes Sud Junior, 2017), un album jeunesse regroupant de nombreuses légendes japonaises à partir de 6 ans

Des mangas:

  • le tome 1 des Pounipounis de Mashiro Minamino (éd. Nobi Nobi!, 2019), un manga kawaï à partir de 8 ans selon l’éditeur mais classé à partir de 3 ans à notre médiathèque (LU)
  • le tome 2 des Pounipounis de Mashiro Minamino (éd. Nobi Nobi!, 2019), un manga kawaï à partir de 8 ans selon l’éditeur mais classé à partir de 3 ans à notre médiathèque (LU)

Des romans jeunesse:

  • le tome 1 des Chroniques de l’érable et du cerisier, Le masque de Nô de Camille Monceaux (éd. Gallimard Jeunesse, 2020), un roman jeunesse à partir de 12 ans selon l’éditeur
  • L’Amour, le Japon, les sushis et moi de N. M. Zimmermann (éd. Albin Michel Jeunesse, 2016), un roman jeunesse à partir de 13 ans et qui suit le déménagement de Lucrèce, une adolescente de 15 ans et de sa famille au Japon (LU)

Des romans adulte:

  • Un café maison de Keigo Higashino (éd. Actes Sud, coll. Actes noirs, 2012), un roman policier (LU)
  • Nagori, La nostalgie de la saison qui vient de nous quitter de Ryoko Sekiguchi (éd. P.O.L., 2018), un essai sur le mot japonais « Nagori » et plus largement les saisons et leur temporalité cyclique, à travers les fruits et les légumes notamment (LU)
  • Seins et Œufs de Mieko Kawakami (éd. Actes Sud, 2012), un roman court (LU)
  • Les mémoires d’un chat d’Hiro Arikawa (éd. Actes Sud, 2019), un roman ayant pour narrateur un chat de gouttière

Participation #1 Un mois au Japon 2021 de Hilde et Lou #PAL

Notre mois bloguesque de mars 2021

C’est le premier du mois alors voici un petit retour bloguesque sur mars 2021 avec encore une fois beaucoup de lectures, certaines qui suivent les saisons. Nous finissons au début du mois nos nos (re)lectures/activités sur le thème du carnaval et de l’hiver. Puis comme nous changeons de saison le 20 mars 2021, nous commençons nos (re)lectures sur le thème du printemps et de Pâques.

Mars 2021, c’était aussi le British Mysteries Month organisé par Hilde et Lou dans le cadre de leur challenge British Mysteries. Du 19 au 21 mars 2021, un RAT est organisé. Cette année, j’ai beaucoup apprécié deux séries livresques de cosy mystery: Les Détectives du Yorkshire de Julia Chapman et Son Espionne royale de Rhys Bowen. Le challenge British Mysteries étant annuel, je continuerai également mes lectures les mois prochains.

Voici d’ailleurs mon petit bilan de participations pour ce mois de mars 2021:

  • Challenge Petit Bac d’Enna: j’ai terminé deux autres lignes et ai commencé ma 7e ligne
  • Challenge Contes et Légendes de Bidib: 9 participations dont une dans le thème de mars, Contes et Légendes d’Amériques et avec aussi une sélection autour de Boucle d’Or et les Trois Ours
  • Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et FondantGrignote:  15 participations gourmandes avec beaucoup de thés et de scones
  • Challenge 2021, cette année sera classique de Blandine et Nathalie: 4 participations avec des contes traditionnels ou revisités et une adaptation d’un roman d’Agatha Christie en BD
  • Challenge A Year in England de Lou, Titine et Cryssilda: 10 participations avec des albums jeunesse et des cosy mystery
  • Challenge Lire au féminin de Tiphanya: 9 participations
  • Challenge des Étapes Indiennes de Hilde: 1 participation avec un album jeunesse

Ce mois-ci, j’ai aussi lu plus de bandes dessinées que d’habitude en lisant surtout des BD pour les 9/10 ans comme les deux premiers tomes de Dans les yeux de Lya de Justine Cunha et Carbone (éd. Dupuis, 2019), le premier tome des Sœurs Grémillet, Le rêve de Sarah de Giovanni Di Gregorio et Alessandro Barbucci (éd.  Dupuis, 2020), le deux premiers tomes des Quatre de Baker Street de Jean-Blaise Djian, David Etien et Olivier Legrand (éd. Glénat, 2009), le premier tome de Ninn, La ligne noire de Jean-Michel Darlot et Johann Pilet (éd. Kennes, 2015)… Sans oublier le dernier tome – le tome 17 – d’Ana Ana, Va-t-en, va-t-en, chagrin! d’Alexis Dormal et Dominique Roques (éd. Dargaud, 2021) paru ce mois-ci et pour les plus jeunes, les 3/6 ans. J’en reparlerai dans les jours ou les semaines à venir.

Côté BD adulte,   j’ai particulièrement apprécié les deux premiers tomes du Château des Animaux de Felix Delep et Xavier Dorison (éd. Casterman, 2019), l’adaptation en BD de La Ferme des Animaux de George Orwell.

Et bien sûr, à chaque mois, des lectures de pirates avec ce mois-ci un coup de cœur pour le tome 2 des Chiens Pirates, Prisonniers des glaces! de Clémentine Mélois et Rudy Spiessert (éd. L’école des loisirs, 2020), un album jeunesse à partir de 6 ans, les chiens pirates partant à la découverte de l’Antarctique. D’ailleurs, j’ai regroupé sous un même billet nos lectures sur ce thème.

Sans oublier mon troisième Alphabet des animaux illustrés dans la littérature jeunesse avec les semaines 47 à 50: B comme Belette, C comme Chat, D comme Dromadaire et E comme Éléphant.

Billet de suivi: Un mois au Japon 2021

Après un British Mysteries Month le mois dernier, Hilde et Lou organisent au mois d’avril 2021 Un mois au Japon. Nos deux coorganisatrices ont prévu un programme facultatif que je vais essayer de suivre le plus possible. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur leurs blogs.

Ce billet sera actualisé au fil du mois en tenant compte uniquement de nos lectures sur le Japon tout en faisant un billet séparé pour chaque participation.

Semaine 1 du Mois au Japon:

Ce 1er avril 2021, nous avons fabriqué des poissons d’avril avec de rouleaux de papier toilette et des feutres Posca. Nous avons donné à certains l’aspect de poissons japonais.

Nous avons également commencé à lire quelques-uns des albums jeunesse à partir de 3 ans de notre PAL. La veille, après avoir passé l’après-midi à aller récupérer les livres dans trois annexes de la médiathèque, nous avons lu pour l’une des histoires du soir Mercredi, c’est raviolis! de Makato Tachibana et Setsuko Hasegawa (éd. L’école des loisirs, 2008). Le 1er avril, dans l’après-midi, nous avons lu Tu rentres quand? de Nagako Suzuki (éd. Nobi Nobi!, 2018) et Où est mon étoile? de Satoe Tone (éd. Nobi Nobi!, 2015) puis pour les histoires du soir : Le portrait de Nounours de Mari Kasai et Chiaki Okada (éd. Nobi Nobi!, 2016) et une relecture avec Pique-nique sous la pluie de Naokata Mase (éd. Seuil Jeunesse, 2016).

Le 2 avril, charmée par le titre poétique de ce livre, j’ai lu ce que je pensais être un roman court mais qui est plus exactement un essai sur le mot japonais « Nagori » et plus largement les saisons et leur temporalité cyclique confronté à la temporalité linéaire des êtres humains, à travers les fruits et les légumes notamment: Nagori, La nostalgie de la saison qui vient de nous quitter de Ryoko Sekiguchi (éd. P.O.L., 2018, 137 pages). L’autrice est à la fois poète et critique gastronomique. Je ne sais trop quoi en penser si ce n’est une immersion dans la culture japonaise à travers la richesse de ses mots saupoudrée de gourmandises culinaires.

Côté lecture jeunesse, nous avons relu pour l’une des histoires du soir Tu rentres quand? de Nagako Suzuki qui avait donné l’idée à mon mini lutin hier de faire un gâteau aux yaourts à son père, ce que nous avons finalement cet après-midi après l’école. L’histoire est toute mignonne et gourmande avec des illustrations douces et aux couleurs automnales. Après avoir préparé un gâteau d’anniversaire pour son père, une petite fille attend avec impatience son retour. 

  • 1er avril/présentation de notre PAL
  • 2 avril: un roman court ou une nouvelle: Konbini également paru sous le titre La fille de la supérette de Sayaka Murata (éd. Denoël, 2018), un roman court que j’avais lu l’été dernier
  • 3 avril: atelier bricolage/loisirs créatifs (carte, origami, kokeshi…): des poissons d’avril japonais  DIY
  • Album jeunesse: Réveillés les premiers! de Komako Sakaï (éd. L’école des loisirs, 2013), un album jeunesse à partir de 3 ans
  • 4 avril: gourmandises/livre gourmand (roman, BD, livre de recettes): Tu rentres quand? de Nagako Suzuki (éd. Nobi Nobi!, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans

En ce 3 avril, pour le repas du soir, nous faisons un ramen, plat typiquement japonais que nous faisons régulièrement, surtout en hiver et avec des nouilles, des œufs, de la coriandre fraîche, de la ciboulette fraîche, des raviolis frits, de la sauce soja, un bouillon de cube, de l’huile de sésame…

Semaine 2 du Mois au Japon:

En ce  5 avril, je débute la deuxième semaine d’Un Mois au Japon avec un album jeunesse pour un lectorat plutôt adolescent avec Les amants papillons de Benjamin Lacombe (éd. Seuil Jeunesse, 2007), un album jeunesse grand format pour les 6/9 ans selon l’éditeur mais classé dans la section Ado de notre médiathèque. Il s’agit d’une histoire d’amour tragique magnifiquement illustrée et inspirée d’une ancienne légende chinoise.

Le 6 avril, pour l’une des histoires du soir, nous relisons un douce et tendre histoire d’un auteur japonais, À table! de Kazuo Iwamura (éd. Mijade, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans. Il s’agit de la rencontre printanière des trois écureuils Nic, Nac et Noc avec un oisillon affamé qui attend le retour de sa mère.

Le 9 avril, nous lisons des albums jeunesse: Quand il fait nuit d’Akiko Miyakoshi (éd. Syros, 2016), à partir de 3 ans et Le Japon d’Anno d’Anno Mitsumana (éd. L’école des loisirs, 2014), à partir de 8 ans.

  • 5 avril: un titre publié aux éditions Actes Sud
  • 6 avril: un roman jeunesse au choix
  • Album jeunesse: Les amants papillons de Benjamin Lacombe (éd. Seuil Jeunesse, 2007), un album jeunesse grand format
  • 7 avril : manga/BD ou album jeunesse au choix: Pique-nique sous la pluie de Naokata Mase (éd. Seuil Jeunesse, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans et avec des découpes
  • 8 avril  : atelier bricolage/loisirs créatifs (carte, origami, kokeshi…): des Kokeshi DIY
  • 9 avril : livre ou photos sur le Japon (régions, villes, jardins japonais…)

Le 10 avril 2021, je commence à lire un roman policier japonais, Un café maison de Keigo Higashino (éd. Actes Sud, coll. Actes noirs, 2012) jusqu’au chapitre 11. Il s’agit d’une enquête policière diligentée après le décès d’un homme qui été empoisonné à l’arsenic. Pour les histoires du soir, nous relisons Tu rentres quand? et Le portrait de Nounours. Puis en soirée, je regarde pour la Journée dédiée à Isao Takahata, le cofondateur des studios Ghibli avec Hayao Miyazaki, Le conte de la princesse Kaguya, film d’animation japonais de 2013 et s’inspirant d’un conte traditionnel japonais, le conte du coupeur de bambou.

  • 10 avril  : un film d’Isao Takahata: Le conte de la princesse Kaguya
  • 11 avril  : gourmandise/livre gourmand (roman, BD, livre de recettes) comme par exemple le mochi: des gyôzas avec Mercredi, c’est raviolis! de Makato Tachibana et Setsuko Hasegawa (éd. L’école des loisirs, 2008), un album jeunesse à partir de 3 ans et qui contient à la fin une recette de gyôzas – des raviolis japonais

Ce 11 avril 2021, nous finissons cette deuxième semaine du Mois au Japon sur une note gourmande en relisant Mercredi, c’est raviolis et en faisant des gyôzas bouillis et frits en suivant la recette de l’album. Pendant que nous laissons reposer la pâte, nous regardons Mon voisin Totoro de Hayao Miyazaki, un film d’animation japonais conseillé à partir de 4 ans. Nous lisons également, lors des histoires du soir, Le poisson rouge de Nanami de Yuichi Kasano (éd. L’école des loisirs, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans dans lequel nous suivons un petit poisson rouge, Léo de sa naissance dans une ferme piscicole japonaise jusqu’à son arrivée dans la famille d’une petite fille, Nanami.

Semaine 3 du Mois au Japon:

Pour débuter cette semaine 3 du Mois au Japon, je continue la lecture du roman policier Un café maison de Keigo Higashino et je prends le temps de chroniquer mes lectures et visionnages.

Le 13 avril 2021, en fin d’après-midi, je découvre deux contes japonais avec Issunbôshi, le petit samouraï d’Alice Brière-Haquet et Sanoe (éd. Nobi Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de 6 ans, une version japonaise de Tom Pouce et Urashima de Margaret Mayo et Jane Ray (éd. Hatier Jeunesse, coll. Ribambelle, 1993, rééd. 2005), un conte traditionnel japonais à partir de 4 ans. Dans le premier conte, c’est l’occasion de croiser des démons, en la figure des onis, pour le thème de ce mois-ci du Challenge Contes et Légendes de Bidib. Puis une des histoires du soir est une relecture du Portrait de Nounours.

  • 12 avril/Hommage aux victimes de Fukushima :  Le Japon d’Anno d’Anno Mitsumana (éd. L’école des loisirs, 2014), un album jeunesse à partir de 8 ans
  • Film d’animation japonais: Mon voisin Totoro de Hayao Miyazaki (sorti au Japon en 1988 et en France en 1999), un film d’animation japonais du studio Ghibli et conseillé à partir de 4 ans
  • 13 avril  : un roman jeunesse au choix

Ce 14  avril 2021, nous lisons dans l’après-midi un manga kawaï en deux tomes, Les Pounipounis de Mashiro Minamino (éd. Nobi Nobi!, coll. Kawaï Kids, 2019) pour les plus jeunes lecteurs, à partir de 8 ans selon l’éditeur mais classé à partir de 3 ans à notre médiathèque. Ce manga se lit dans le sens occidental et est entièrement en couleurs. Ce sont de courtes histoires qui s’enchaînent avec le quotidien d’une bande de joyeux animaux amis tout mignons, ronds et rigolos comme leurs prénoms. Il y a par exemple Nicolapin, un lapin blanc ailé, Pinjamin, un manchot jamais loin de ses livres ou encore Gasthon un poisson volant.

C’est aussi l’annonce par les deux coorganisatrices, Lou et Hilde, d’un read-a-thon (marathon de lectures) ce week-end. Et c’est donc avec beaucoup de plaisir et de convivialité que je vais y participer, d’autant que de nouvelles réservations pour le Mois au Japon nous attendent à la médiathèque.

  • 14 avril  : manga / BD ou album jeunesse au choix: Le portrait de Nounours de Mari Kasai et Chiaki Okada (éd. Nobi! Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans.
  • 16 avril  : atelier bricolage/loisirs créatifs (carte, origami, kokeshi…): des lanternes japonaises DIY
  • Album jeunesse: Le maître des estampes de Thierry Dedieu (éd. Seuil Jeunesse, 2010), un album jeunesse pour les 6/9 ans selon l’éditeur
  • 17 avril : un titre publié par les éditions Nobi Nobi: Où est mon étoile? de Satoe Tone (éd. Nobi Nobi!, 2015), un album jeunesse grand format partir de 3 ans et qui aborde avec poésie, douceur et délicatesse le thème du deuil
  • 18 avril  : gourmandise/livre gourmand (roman, BD, livre de recettes) comme par exemple un atelier makis et/ou sushis

Cette troisième semaine du Mois au Japon se finit à la croisée d’un journal de bord et d’un marathon de lectures, comme l’a écrit Lou. Sur cette période, j’actualiserai moins ce billet puisqu’un autre est dédié à ce RAT, dès le 15 avril 2021. Je ne rajouterai que les liens pour les billets prévus les 16, 17 et 18 avril si j’ai le temps de les écrire.

Semaine 4 du Mois au Japon:

Pour débuter cette quatrième semaine du Mois au Japon et après un RAT riche en lectures, je vais essayer de chroniquer mes lectures japonaises des jours passés. Ce 19 avril 2021, je continue à lire le roman jeunesse commencé hier, L’Amour, le Japon, les sushis et moi de N. M. Zimmermann (éd. Albin Michel Jeunesse, 2016), l’histoire suivant les grandes fêtes traditionnelles japonaises que je retrouve également, de façon plus détaillée, dans Madame Mô, Les fêtes japonaises d’Agnès Lafaye et Pascale Moteki (éd. Picquier Jeunesse, 2013). Je lis, ensuite, dans l’après-midi, Kaguya, Princesse au clair de lune d’Alice Brière-Haquet et Shiitake (éd. Nobi Nobi!, 2011), un album jeunesse à partir de 6 ans.

Le 20 avril 2021, nous avons essayé de faire à deux des origamis en forme de chat et de papillon en suivant les tutos mis à la fin de l’album jeunesse, Noa et ses origamis de Céline Lavignette-Ammoun et Baptistine Mésange (éd. Akinomé, 2020), mais ce n’était pas si facile à réaliser les pliages. Mais je retenterai plus tard, seule. En soirée, je finis de lire L’Amour, le Japon, les sushis et moi. en compagnie de Lucrèce avec sa nouvelle vie dans un lycée japonais, entre nouvelles habitudes de vie, difficulté d’intégration pour se faire de nouveaux amis, sans oublier ses premiers émois amoureux.

  • 19 avril  : un polar ou un roman fantastique: Un café maison de Keigo Higashino (éd. Actes Sud, coll. Actes noirs, 2012), un roman policier japonais que j’ai fini de lire pendant le RAT.
  • Album jeunesse: Issunbôshi, le petit samouraï d’Alice Brière-Haquet et Sanoe (éd. Nobi Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de 6 ans, une version japonaise très ancienne de Tom Pouce ou du Petit Poucet puisque datant du Japon médiéval (XVe/XVIe siècle).
  • Album jeunesse: Le voyage de Pippo de Satoe Tone (éd. Nobi Nobi!, 2014), un album jeunesse à partir de 3 ans
  • 20 avril  : atelier bricolage/loisirs créatifs (carte, origami, kokeshi…): des origamis
  • 21 avril  : manga / BD ou album jeunesse au choix: Quand il fait nuit d’Akiko Miyakoshi (éd. Syros, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans avec une balade nocturne rassurante, poétique et mystérieuse en ville.

Le 22 avril 2021, c’est une journée que je passe avec de la poésie japonaise, les haïkus en relisant La balade de Koïshi et Entre Neige et Loup.

  • 22 avril  : un titre publié par les éditions Picquier: J’écris des haïkus de Véronique Brindeau et Sandrine Thommen (éd. Picquier Jeunesse, 2016), un livre documentaire jeunesse à partir de 9 ans
  • Lecture jeunesse: Nos lectures en haïkus
  • Album jeunesse: La balade de Koïshi d’Agnès Domergue et Cécile Hudrisier (éd. Grasset Jeunesse, 2019), un album jeunesse à partir de 3 ans en forme de livre-accordéon
  • BD jeunesse: Entre Neige et Loup d’Agnès Domergue et Hélène Canac (éd. Jungle, 2019), une BD jeunesse à partir de 7 ans
  • 24 avril  : un film d’animation japonais
  • 25 avril : gourmandise/livre gourmand (roman, BD, livre de recettes)

Dimanche soir, nous mangeons à nouveau des gyôzas en dégelant le reste de la farce de la fois précédente et en faisant une nouvelle pâte avec la recette de Mercredi, c’est raviolis. C’était tout aussi bon que la fois précédente.

Semaine 5 du Mois au Japon:

En ce 26 avril 2021 débute la dernière semaine de l’édition 2021 du Mois au Japon. Il me reste encore quelques lectures en attente et surtout de nombreux avis à écrire. Ces derniers jours, j’ai laissé un peu de côté ma PAL japonaise pour celle anglo-saxonne.

  • 26 avril : documentaire (tous formats)
  • Album jeunesse: Qu’est-ce que vous faites Monsieur l’architecte? de Kunihiko Aoyama (éd. Nobi! Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de  3 ans
  • 27 avril  : un titre publié par les éditions Issekinicho: les deux premiers recueils de Mukashi Mukashi, Contes du Japon, le premier d’Alexandre Bonnefoy et le deuxième de Delphine Vaufrey (éd. Issekinicho, 2019), à partir de 5 ans
  • 28 avril  : manga / BD ou album jeunesse au choix: les deux tomes des Pounipounis de Mashiro Minamino (éd. Nobi Nobi!, 2019), un manga kawaï à partir de 8 ans
  • 29 avril : un film japonais
  • 30 avril  : Bilan du mois ou envies de lectures à partager

Petit bilan de cette édition du Mois au Japon: ce mois d’avril 2021 a été une jolie évasion livresque au Japon avec beaucoup de lecture jeunesse empreinte de douceur et d’onirisme et aussi des romans qui m’ont permis de découvrir un peu plus sur la culture japonaise. Et aussi des loisirs créatifs et des films sans oublier, bien sûr, de nombreux échanges dans la convivialité avec les autres participants. Encore merci à Hilde et Lou pour leur organisation encore une fois au top. Le mois au Japon se poursuivant aussi en mai, je continuerai encore ce voyage bloguesque en lisant et chroniquant mes dernières lectures et celles qui nous restent encore dans notre PAL (surtout des romans) comme par exemple Les mémoires d’un chat d’Hiro Arikawa (éd. Actes Sud, 2019) ou Les Délices de Tokyo de Durian Sukegawa (éd. Albin Michel, 2016). A l’année prochaine!

Un mois au Japon 2021 de Hilde et Lou

RAT British Mysteries 2021

De ce jour, 19 mars au 21 mars 2021 se déroule un read-a-thon (un marathon de lectures mais pas que) dans le cadre du Challenge British Mysteries organisé par Hilde et Lou. Depuis le début du mois de mars synonyme de British Mysteries Month, je me suis immergée dans l’ambiance so british et ses cosy mystery. Alors c’est avec beaucoup de plaisir que je vais continuer encore ce week-end read-a-thonien.

L’objectif de ce RAT? Lire le plus possible en rapport avec les British Mysteries (ouf, même si nous passons pour la troisième fois en mode confinement, j’ai pu récupérer de nombreux livres hier), partager des teas times et des gourmandises comme dimanche avec Syl ou encore se lancer des défis personnels et bien sûr échanger avec les autres participants.

Alors que vais-je lire pendant ce RAT? J’ai encore une fois prévu bien plus de livres que je pourrai en lire avec aussi le tome 2 d’une BD adulte qui est hors thème même si c’est une adaptation de La Ferme des animaux de George Orwell: Le Château des animaux, Les Marguerites de l’hiver de Felix Delep et Xavier Dorison (éd. Casterman, 2020) (LU).

  • le tome 1 des Lapins de la Couronne d’Angleterre, Le complot de Santa Montefiore, Simon Sebag Montefiore et Kate Hindley (éd. Little Urban, 2020), un roman jeunesse à partir de 9 ans
  • le tome 2 des Lapins de la Couronne d’Angleterre, Air Force One de Santa Montefiore, Simon Sebag Montefiore et Kate Hindley (éd. Little Urban, 2021), un roman jeunesse à partir de 9 ans
  • Cottage, fantômes et guet-apens d’Ann Granger (éd. 10/18, 2020), un cosy mystery (LU)
  • Le meurtre de Roger Ackroyd d’Agatha Christie (éd. du Masque, 1927, rééd. 2011)
  • L’assassin du train de Jessica Fellowes (éd. du Masque, 2018)
  • Mort sur la Tamise de Deborah Crombie (éd. Albin Michel, 2013)
  • Hercule Poirot, Le crime de l’Orient-Express de Benjamin von Eckartsberg et Chaiko, d’après Agatha Christie (éd. Paquet, 2017), une BD adulte (LU)
  • Son espionne royale et la partie de chasse (T3) de Rhys Bowen (Robert Laffont, coll. La bête noire, 2020) (LU)

Pour d’autres idées de lectures, les autres participantes du RAT: Hilde, Lou, Blandine, Bidib, FondantGrignote, Chicky Poo et L’Orouge.

Vendredi 19 mars 2021, je commence par écrire ce billet qui sera mis à jour tout au long du RAT et lire les premiers billets des participantes. Pour le moment, des participantes qui ont prévu de jolis programmes de lectures (cosy mystery avec une série livresque commune mais pas forcément le même tome des Détectives du Yorkshire, univers holmésien…) mais aussi de gourmandises avec Blandine qui file en cuisine faire des scones.

Ce matin, j’ai lu le tome 2 du Château des animaux, Les Marguerites de l’hiver de Felix Delep et Xavier Dorison, une BD adulte tout aussi réussie que le tome précédent, Miss Bengalore. La résistance non-violente se met en place derrière Miss B. et le lapin César. Je reparlerai très bientôt de cette bande dessinée.

Puis après le déjeuner, deux lectures plus légères choisies par mon petit marathonien (et aussi hors thème): Pique-nique sous la pluie de Naokata Mase (éd. Seuil Jeunesse, 2015), un album jeunesse à partir de 3 ans et le tome 2 des Chiens Pirates, Prisonniers des glaces! de Clémentine Mélois et Rudy Spiessert (éd. L’école des loisirs, 2020), un album jeunesse à partir de 6 ans (un gros coup de cœur depuis plusieurs semaines).

L’après-midi passe vite, sans avoir pu lire mais j’ai pu récupérer des réservations dont deux cosy mystery à la médiathèque et le dernier Ana Ana. Avant le repas, j’ai d’ailleurs déjà commencé un des deux cosy mystery qui se rajoute à ma déjà trop grande PAL. J’ai ainsi lu les quatre premiers chapitres de Son espionne royale et la partie de chasse (T3) de Rhys Bowen (Robert Laffont, coll. La bête noire, 2020), Lady Georgiana devant faire face à la chaleur estivale de Londres en août 1932.

Puis après le repas, c’est le temps des histoires du soir, trois ce soir avec le dernier Ana Ana, le tome 17, Va-t-en, va-t-en, chagrin! d’Alexis Dormal et Dominique Roques (éd. Dargaud, 2021), une BD jeunesse toute mignonne pour les 3/6 ans, les doudous tentant de redonner le sourire à Ana Ana, cette dernière déprimant depuis qu’une petite fille de son école n’a pas voulu devenir son amie. Nous relisons également Pique-nique sous la pluie de Naokata Mase, la sortie en car sous la pluie finissant en une belle cueillette de raisins pour un groupe d’enfants sous un bel arc-en-ciel, une lecture qui fait écho, d’une certaine façon, au dernier Ana Ana. Puis nous lisons une histoire différente que nous empruntons souvent à la médiathèque, Rapido sur la ville de Jean-Luc Fromental et Joëlle Jolivet (éd. Hélium, 2011), un album jeunesse grand format à flaps et à partir de 4 ans. Il est alors temps pour mon mini marathonien d’aller se coucher comme Rapido et Ana Ana.

De mon côté, je vais faire un tour chez les autres participantes (L’Orouge nous ayant rejointes) avant de continuer ma lecture du tome 3 de Son espionne royale. en le reprenant au chapitre 5. Lady Georginia quitte Londres pour retourner en Écosse, au château familial où son demi-frère, Binky a été blessé par un piège à animaux et où sa belle-sœur Fig doit se démener avec des invités américains insupportables dont Wallis Simpsons – son cousin David étant toujours très amoureux d’elle au grand dam du couple royal ayant élu domicile pour l’été sur le Domaine de Balmoral. Elle a été missionnée par le Ministère de l’Intérieur pour enquêter sur des incidents inquiétants touchant les héritiers de la Couronne comme son cousin David. A une heure passée, je m’arrête à regret à la fin du chapitre 25, Lady Georgiana ayant été secouée une nouvelle par un décès (accident de chasse ou meurtre?).

Samedi 20 mars 2021, après un réveil avant 7h et un petit déjeuner, je reprends pour le terminer le tome 3 de Son espionne royale au chapitre 26. Encore un bon moment de lecture avec l’intrépide et attachante Lady Georgiana qui arrive, avec ses maladresses et sa candeur mais aussi son audace, à être mêlée à des situations encore une fois dangereuses dans les Highlands. Heureusement, elle pourra compter sur son grand-père paternel toujours aussi « papy poule » et Darcy O’Mara toujours aussi mystérieux. Et une histoire pile poil dans le thème du jour du British Mysteries Month, « Rendez-vous en Écosse ».

Vers 11h, je fais un tour chez les autres participantes (olala les plats alléchants et aussi de chouettes lectures). D’ailleurs, il est temps pour moi d’aller préparer le déjeuner… Si j’ai un moment, pense commencer cet après-midi Cottage, fantômes et guet-apens d’Ann Granger pour coller au thème facultatif de demain du British Mysteries Month, « Fantômes ».

Il est déjà 18h30 et je reviens faire une mise à jour de la journée qui est passée bien vite. Pendant l’heure de baby tennis (de nouveau autorisée après l’interdiction de trois semaines en raison du confinement du week-end), j’ai commencé Cottage, fantômes et guet-apens jusqu’au chapitre 3. Puis de retour chez nous, j’ai préparé un cake aux raisins secs et fruits confits. Pendant la cuisson, j’ai lu Hercule Poirot, Le crime de l’Orient-Express de Benjamin von Eckartsberg et Chaiko, une adaptation en BD adulte du roman éponyme d’Agatha Christie. J’avoue qu’il m’a fallu un temps pour me familiariser avec la physionomie d’Hercule Poirot, son image étant associée à David Suchet.

Après le repas, je fais un petit tour chez les autres participantes, chacune ayant avancé à leur rythme leurs lectures: Hilde avec le tome 1 des Enquêtes d’Alfred et Agatha, L’affaire des oiseaux d’Ana Campoy (un roman jeunesse), Blandine avec le tome 1 des Détectives du Yorkshire et Bidib avec le tome 4, FondantGrignote avec Meurtre à marée haute d’Hanna Dennison, Chicky Poo avec Les filles de Salem de Thomas Gilbert, L’Orouge avec le Crime de l’Orient Express d’Agatha Christie et Lou avec le tome 1 de Son espionne royale. Un RAT très féminin qui pourrait plaire à Tiphanya pour son challenge Lire au féminin!

Pour les histoires du soir, c’est le printemps qui est mis à l’honneur, en ce premier jour du printemps avec Nina et le doudou magique de Nicola Killen (éd. Quatre Fleuves, 2019) et C’est toi le printemps? de Chiaki et Ko Okada (éd. Seuil Jeunesse, 2014), des albums jeunesse adorables et poétiques à partir de 3 ans.

Je passe la soirée à lire Cottage, fantômes et guet-apens d’Ann Granger jusqu’au chapitre 5. Il est bientôt minuit et il est temps pour moi d’aller me coucher.

Dimanche 21 mars 2021, après ce qui s’apparente à une grasse matinée (réveillée par un mini glouton à 8h20), je commence avec lui une matinée lecture: la suite Cottage, fantômes et guet-apens pour moi et pour lui,  Le Neige Express de Naokata Mase (éd. Seuil Jeunesse, 2013), un album jeunesse à partir de 3 ans avec une adorable histoire d’entraide mystérieuse et magique, un renard de la Prairie des Neiges passionné de train aidant un homme pris dans la tempête de neige. Et après plusieurs relectures, cela lui a donné envie de sortir ses rails de train pour jouer avec bien sûr un renard en figurine. Je n’ai donc pas avancé beaucoup mon roman jouant aussi avec lui.

Après le déjeuner, je fais à nouveau un petit tour chez les autres participantes mais aussi chez Syl qui a également fait un cake mais un plum cake puisqu’elle y a mis du rhum, ce que je ne peux plus faire avec mon mini gourmand.

En fin d’après-midi, nous relisons des albums jeunesse printaniers avec Le secret d’Éric Battut (éd. Didier Jeunesse, 2004), Une si petite graine d’Eric Carle (éd. Mijade, 2000) et Fleurs! d’Hervé Tullet (éd. Bayard Jeunesse, 2019). Je les ai empruntés jeudi à la médiathèque en vue d’activités artistiques et graphiques avec mon mini artiste et aussi pour revoir le cycle des plantes. Mais ce sera pour plus tard.

Puis pour les lectures du soir, c’est à nouveau une relecture de Rapido sur la ville suivie du chapitre 8 du tome 1 de l’Hôtel Heartwood, Une maison pour Mona de Kallie George et Stéphanie Graegin (éd. Casterman, 2018), un roman jeunesse à partir de 8 ans. Nous le lisons doucement (commencé lors du RAT gourmand de St-Valentin) et comme il fallait le rendre à la médiathèque après l’avoir prolongé une fois, un autre exemplaire a fini par rejoindre notre bibliothèque. J’ai aussi rendu les autres tomes sans les lire pour les découvrir en même temps que mon mini marathonien.

Pour cette dernière soirée de RAT, je vais reprendre (et peut-être finir) ma lecture Cottage, fantômes et guet-apens d’Ann Granger au chapitre 10 après un nouveau tour chez les autres participantes. Blandine a aussi sorti ses lectures printanières en changeant sa décoration livresque du salon. Hilde a pu revenir pour le teatime en sortant une jolie nappe British avant une soirée lecture. Le British Mysteries Month n’est pas encore terminé que Lou et Fondant sont déjà parties dans des lectures japonaises et que Bidib s’est régalée avec l’intégrale de Zombillénium. Enfin, L’Orouge a commencé une romance avec le tome 1 des Amours de Lara Jean de Jenny Han, A tous les garçons que j’ai aimés. Je ne pense pas repasser par mon blog d’ici demain matin et vous souhaite à tous une très belle soirée.

Petit bilan de ce marathon: J’actualise une dernière fois ce billet ce lundi matin, après avoir passé un très bon week-end cosy et convivial. Hier soir, peu avant minuit, je me suis arrêtée au chapitre 14 du Cottage, fantômes et guet-apens d’Ann Granger (264 pages lues). Encore merci à Hilde et Lou d’avoir organisé ce RAT! Bonne semaine!

Challenge British Mysteries de Hilde et Lou #RAT

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