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Point lecture hebdomadaire 2025 #13

En cette début de semaine, voici mon point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures (mais pas nos relectures) de la semaine dernière.

Nos lectures du  24 au 30 mars 2025:

Des lectures jeunesse:

Nous continuons à lire avec mon mini lutin Le tour du monde en 80 jours de Jules Verne (éd. Hatier, août 2011, 352 pages), un roman jeunesse d’aventures paru pour la première fois en 1872.

  • (Albums jeunesse) Les Souris du Buisson-aux-Mûres, Le Printemps et L’Été de Jill Barklem

Nous avons également lu Les Souris du Buisson-aux-Mûres, Le Printemps de Jill Barklem (éd. Qilinn Éditions, mars 2024, 32 pages), un album jeunesse à partir de 3 ans et paru pour la première fois au Royaume-Uni en 1980. Dans ce tome, les souris organisent un pique-nique surprise pour l’anniversaire du petit Wilfred. Puis comme nous l’avions déjà et sans attendre l’été, il a aussi voulu lire le tome sur L’Été (éd. Qilinn Éditions, mars 2024, 32 pages) avec cette fois le mariage de Poppy Eyebright, la laitière et Dusty Dogwood, le meunier.  Des histoires toutes aussi mignonnes que celles sur les deux autres saisons!

  • (Album jeunesse) La Belle et la Bête de Cécile Roumiguière et Benjamin Lacombe, d’après Gabrielle-Suzanne de Villeneuve

J’ai lu, après mon mini lutin, La Belle et la Bête de Cécile Roumiguière et Benjamin Lacombe, d’après Gabrielle-Suzanne de Villeneuve et qui est parue tout récemment (éd. Albin Michel Jeunesse, février 2025, 80 pages), un album jeunesse à partir de 9 ans. J’ai beaucoup apprécié cette une réinterprétation réussie et magnifiquement illustrée du conte originel, Mme Villeneuve s’étant très certainement inspirée de la famille des Goncalvus, dont le père souffrait d’hypertrichose et dont Belle, dans cette version, découvre leur vie dans un livre de la bibliothèque de la Bête. Un très bon moment de lecture! J’en reparle très vite.

  • (Roman jeunesse) L’Étoile du soir de Siècle Vaëlban

J’ai lu L’Étoile du soir de Siècle Vaëlban (éd. Albin Michel Jeunesse, octobre 2023, 144 pages), un roman jeunesse à partir de 8 ans selon l’éditeur mais que je conseillerai pour les adolescents au vu des thèmes abordés. Chaque soir après l’école, Kinjal, une fillette de 9 ans rentre chez elle, auprès de ses parents et de sa sœur aînée Chadna,  en empruntant un périlleux chemin à travers la montagne qu’elle chérit tant, vivant sur le plateau d’Hemadri, en Inde jusqu’au jour où son quotidien est bouleversé, sa sœur étant soudainement malade des fleurs de chair. Il y est ainsi question de quête initiatique, de deuil, de résilience, de famille, de jalousie, de religion à travers les esprits de la montagne, de Nature, de la portée symbolique des noms, de courage… Un très bon moment de lecture avec ce court roman poétique et touchant!

Des lectures adulte:

  • (Biographie) Ada ou la beauté des nombres de Catherine Dufour

J’ai lu Ada ou la beauté des nombres de Catherine Dufour (éd. Fayard, septembre 2019, 245 pages), une biographie sous-titrée Lovelace, la pionnière de l’informatique. Je m’attendais à ce que l’autrice se focalise bien plus sur les découvertes d’Ada mais en réalité c’est sa vie qu’elle relate, sur un ton léger et humoristique qui est parfois déroutant au vu des propos mentionnés (inceste, violences intrafamiliales et conjugales…).

  • (Thriller domestique contemporain) Le mensonge de trop de Shari Lapena

J’ai lu Le mensonge de trop de Shari Lapena (éd. Les Presses de la Cité, février 2025, 336 pages), un thriller domestique se déroulant dans une petite ville américaine où tout un quartier suit les recherches pour retrouver Avery Wooler, une fillette de 9 ans qui a disparu après avoir été renvoyée de son cours de chorale à l’école. Les courts chapitres s’enchaînent avec son lot de suspects et de mensonges. Qu’est-il arrivé à la fillette? Sera-t-elle retrouvée en vie? L’autrice multiplie les rebondissements, les mensonges, les trahisons et les apparences trompeuses, les manipulations et les fausses pistes pour mieux nous tenir en haleine. Personne ne semble irréprochable et à l’abri du soupçon, que ce soit son père William, médecin dont l’amante, Nora, une voisine de la famille vient de rompre ou des garçons plus âgés du quartier… Un très bon moment de lecture avec ce turn-over addictif autour d’une disparition d’enfant même si j’ai trouvé la fin un peu trop courte et précipitée mais à l’image du titre et même si la fillette m’a parue quand même très mature pour son jeune âge! J’en reparle très vite.

  • (Roman historique) Sur l’île d’Elizabeth O’Connor

J’ai lu Sur l’île d’Elizabeth O’Connor (éd. JC Lattès, mai 2024, 272 pages), un roman d’apprentissage se déroulant sur une île au large du pays de Galles, de septembre à décembre 1938. Agée de 18 ans, Manod vit avec son père veuf et pêcheur de homards et sa sœur cadette âgée de 12 ans. Un jour, une baleine s’échoue et deux ethnologues anglais viennent pour étudier le mode de vie et le folklore des habitants, engageant la jeune femme qui maîtrise parfaitement l’anglais comme assistante et traductrice. Leur arrivée lui redonne l’espoir d’une autre vie, sur le continent anglais. En effet, contrairement à sa sœur cadette, Manod aspire à une autre vie loin de l’île aux dures conditions de vie en devant professeure. Mais peut-elle y croire? Avec des chapitres très courts, sobres et épurés, l’autrice dresse un portrait très touchant et tout en délicatesse de cette jeune femme pleine de rêves, d’espoirs et de doutes. On ressent sa sensibilité à fleur de peau et le désespoir qui semble ne pas quitter les îliens, la guerre n’étant pas loin d’éclater. Un très bon moment de lecture avec ce roman d’apprentissage et d’émancipation féminine! J’en reparle très vite.

Ma lecture en cours:

(Roman policier historique) Monk, La marque de Caïn d’Anne Perry (T6)

J’ai commencé à lire le tome 6 de Monk, La marque de Caïn d’Anne Perry (éd. 10/18, coll. Grands Détectives, mai 2001, 444 pages), un roman policier se déroulant à la fin des années 1850, Monk étant engagée par Mrs. Geneviève Stonefield pour retrouver son mari Angus, un homme d’affaires prospère, celle-ci étant persuadé que le frère jumeau de son mari, Caleb, l’a assassiné. Son enquête le conduit dans les bas-fonds de Londres où se répand une épidémie de typhoïde.

Point lecture hebdomadaire 2025 #12

En cette fin de semaine, voici mon point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures (mais pas nos relectures) de la semaine dernière et qui était à la fois une semaine du Week-end à 1000 (jusqu’au 21 mars 2025) et une semaine à 1000 pages du Pingouin Vert.

Nos lectures du  17 au 23 mars 2025:

Des lectures jeunesse:

Nous continuons à lire avec mon mini lutin Le tour du monde en 80 jours de Jules Verne (éd. Hatier, août 2011, 352 pages), un roman jeunesse d’aventures paru pour la première fois en 1872, les protagonistes étant arrivés à San Francisco.

Mon mini lutin a également lu, seul, La Belle et La Bête de Cécile Roumiguière et Benjamin Lacombe (éd. Albin Michel Jeunesse, février 2025, 80 pages), ayant une nouvelle fois admiré les illustrations de Benjamin Lacombe comme lorsqu’il avait lu Monsieur le Lapin Blanc. ainsi que le tome 11 de la BD Mortelle Adèle, Ça sent la croquette! de Mr Tan et Diane Le Feyer (éd. Bayard jeunesse, novembre 2016, 80 pages).

Des lectures adulte:

  • (Romance historique) Malgré les épines de JL Corolle

J’ai lu, en e-book, Malgré les épines de Jeanne et Louise Corolle (éd. Chatterley, février 2024, 320 pages), une romance historique se déroulant en 1903, entre Alec, fils aîné du duc d’Azard âgé de 22 ans et Simon, le nouveau jardinier âgé de 25 ans qu vient d’être engagé dans le château familial. Mais une telle relation peut-elle être possible? Il y est ainsi question d’homosexualité au début du XXe siècle, de différence de classes sociales entre les deux jeunes qui compliquent leur début de relation… La relation qui s’installe entre les deux est celle des premières fois, avec son lot de doutes, de confiance mutuelle à accorder et dans laquelle pourra s’identifier un lectorat adolescent, l’alchimie entre Alec et Simon étant toute mignonne sans tomber dans la mièvrerie, malgré certains rebondissements qui arrivent fort à-propos. Un moment de lecture agréable avec une romance pleine de bons sentiments et qui se finit un peu trop bien pour tout le monde!

  • (Romance contemporaine) Law of Love de Lou Marceau et Lindsey T.

J’ai également lu, en e-book, Law of Love de Lou Marceau et Lindsey T. (éd. Black Ink Editions, mars 2024, 353 pages), une romance contemporaine entre deux avocats, Alexandre et Juliette, respectivement âgés de 30 et 26 ans, sous fond d’enemies to lovers et de préjugés Paris/Province et de différence de classes sociales, Alexandre étant un Avocat fiscaliste issue d’une famille aisée et Juliette, une Avocate collaboratrice faisant des permanences pénales dans une petite ville de campagne, près de Toulouse. Juliette est appelée au cours de sa permanence pénale pour assister Alexandre placé en garde à vue à la suite d’une conduite en état d’ivresse, les deux ayant la sensation de déjà-vu lorsqu’ils se rencontrent pendant l’entretien avant l’audition par les gendarmes. Il y est ainsi question de confiance en soi, de première relation de couple, du difficile équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle…  Un moment de lecture agréable qui aborde malgré sa romance légère et rigolote le thème des violences faites aux femmes mais dont les erreurs judiciaires m’ont empêché d’apprécier davantage ma lecture (comme par exemple le fait qu’à l’issue de sa remise en liberté après sa présentation au Juge des libertés et de la détention (JLD), il n’y aurait pas pu y avoir de comparution immédiate mais une simple convocation ultérieure devant le Tribunal Correctionnel, Alexandre ne reconnaissant pas tous les faits…). Pour un avis plus enthousiaste que moi: Émilie

  • (Roman classique américain) Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur de Harper Lee

J’ai lu, en e-book, Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur de Harper Lee (éd. Grasset, rééd. octobre 2015, 463 pages), un roman paru pour la première fois en 1960 aux États-Unis et qui a reçu le prix Pulitzer en 1961 avec l’histoire de la narratrice, Scout Finch qui se souvient de son enfance, en particulier entre ses 8 et 9 ans, lorsque son père, Atticus Finch, un avocat veuf quinquagénaire est désigné pour assister un Noir accusé d’avoir violé une jeune femme blanche. Il y avait tout question d’une quête initiatique à travers l’enfance de la fillette, avec son frère aîné Jem et de son quotidien dans une petite ville d’Alabama, Maycomb, pendant la Grande Dépression. Un très bon moment de lecture! J’en reparle très vite, cette lecture ayant été initialement prévue pour l’AAHM Challenge et étant également une nouvelle participation pour le Challenge 2025 sera classique aussi.

Throwback Thursday Livresque: Malédiction

TTL n°304 chez Carole #Malédiction

Ce jeudi 27 février 2025, je participe au Throwback Thursday Livresque, un rendez-vous livresque initialement chez Bettie Rose Books et repris depuis par Carole, les liens étant à déposer chez My-Bo0ks. Le principe est de partager chaque jeudi un livre en fonction d’un thème donné. Cette semaine, le thème est « Malédiction ».

Comme la semaine dernière, mon premier choix a été fait en concertation avec mon mini lutin: nous avons choisi un conte: La Belle et la Bête de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont et dont je vais bientôt lui faire découvrir la réécriture par Cécile Roumiguière et illustrée par Benjamin Lacombe, d’après Gabrielle-Suzanne de Villeneuve et qui est parue tout récemment (éd. Albin Michel Jeunesse, février 2025, 80 pages). 

J’ai également choisi une autre réécriture de ce conte: Ce que révèlent les roses de Romane Clessie (éd. Autoédition, octobre 2023, 348 pages), avec l’histoire duc Évan de Kastel, un jeune homme maudit en 1825 et d’Éléanor, une jeune femme éprise de liberté et d’indépendance qui se retrouve piégée au sein du domaine oublié de Talmadenn, après avoir fui le jour de son mariage arrangé, en 1910, son futur époux, le riche et cruel comte Gwendal de Donval.

J’ai enfin pensé à deux autres titres mentionnant le terme « malédiction » dans leur titre:

  • la deuxième enquête de Perveen Mistry, La malédiction de Satapur de Sujata Massey (éd. Charleston, juin 2021, 485 pages), un roman policier historique se déroulant en 1922 dans les Indes britanniques, une malédiction semblant pesée sur les princes de Satapur. 
  • La malédiction de l’anneau d’or de Fred Bernard et François Roca (éd. Albin Michel Jeunesse, 2017), un album jeunesse très grand format à partir de 8 ans et préquel du premier, Anya et Tigre blanc avec l’histoire de Cornélia, une sorcière maudite qui avait réussi à duper le couple royal du pays du Grand Blanc en propageant une fausse malédiction pour enlever les enfants du royaume.

J’aurai également pu sélectionner d’autres livres mais qui m’ont guère plu: la duologie Frost et Nectar de C.N. Crawford (éd. Korrigan, 2023), une romantasy YA avec Torin, le Roi des Seelies maudit ou bien encore le tome 1 de Mon ex & autres complications d’Erin Sterling (éd. Good Mood Dealer by Exergue, octobre 2023, 300 pages) avec l’histoire d’une sorcière, Vivienne Jones qui avait jeté une malédiction sur son ex petit-ami Rhys Penhallow au moment de leur rupture, 9 ans auparavant.

Et vous, quel livre auriez-vous choisi pour cette thématique? La semaine prochaine, le thème sera: « Couverture avec un livre ».

Au fil des pages avec Monsieur le Lapin Blanc

Nous avons lu et relu Monsieur le Lapin Blanc de Benjamin Lacombe (éd. Margot, diff. L’école des loisirs, octobre 2024, 48 pages), un album jeunesse grand format à partir de 6 ans aux magnifiques illustrations. Ce n’est pas la première fois que cet auteur-illustrateur se plonge dans l’univers d’Alice au pays des Merveilles de Lewis Carroll, ayant illustré le roman éponyme en format graphique (éd. Soleil, décembre 2015, 290 pages) et sa suite, Alice de l’autre côté du miroir (éd. Soleil, novembre 2016, 296 pages).

Nous suivons Le Lapin Blanc, personnage principal de cette histoire de sa naissance à son emploi auprès de la Reine de Cœur tout en croisant, en chemin, Alice ou bien encore le Chat du Cheshire (l’auteur reprenant alors certains passages clés du roman). On le retrouve avec sa faculté d’être toujours retard, sa montre à gousset jamais loin pour le lui rappeler et dès tout petit, de se justifier par des histoires fantaisistes. Mais est-ce finalement vraiment un défaut, une maladresse honteuse ou une faiblesse de caractère? Malgré sa particularité et son esprit créatif et imaginaire, ne trouvera-t-il pas son propre rythme de vie avec à la clé son bonheur?

Tout en conservant l’esprit et l’univers carrollien, Benjamin Lacombe s’est approprié ce personnage pour s’interroger sur la nature humaine (ce qui est ou non une qualité ou une faiblesse), le rapport de chacun au temps, au sens donné à la vie et au bonheur. Il y est ainsi question de conte initiatique, d’affirmation et de confiance en soi, de différence qui devient une force tant dans la vie privée (une jeune lapine tombant sous sous charme) ou dans sa vie professionnelle (son retard lui permettant de sauver sa tête!), de ne pas juger autrui sur sa simple apparence, d’amour…

J’ai apprécié découvrir cette histoire tout autant que mon mini lutin qui a été émerveillé par les magnifiques illustrations. A sa première lecture, il s’est d’ailleurs longuement arrêté devant certaines illustrations avant même de débuter sa lecture. Un très bon moment de lecture! J’ai enfin noté plusieurs passages gourmands, que ce soit la soupe de carottes quand il est enfant, le teatime ou le pique-nique. 

Participation #4 Challenge Contes & Légendes 2025 de Bidib #Conte détourné

Participation #5 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2025 de Bidib et Fondant #Cuisine anglaise

Challenge Petit Bac d’Enna #1 Catégorie Couleur: « Blanc »

Point lecture hebdomadaire 2024 #25

En ce début de semaine, voici mon point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures (mais pas nos relectures) de la semaine dernière avec moins de lecture que d’habitude en raison d’événements festifs comme la fête de la musique ou de visionnage de séries.

Nos lectures du 17 au 23 juin 2024:

Des lectures jeunesse:

Côté jeunesse, mon mini lutin a jeté son dévolu sur deux nouveautés avec le dernier tome de série qu’il adore: le tome 7 de Charlock, Chantage chez les Chappuccini de Sébastien Perez et Benjamin Lacombe (éd. Flammarion Jeunesse, juin 2024, 76 pages), ce nouvel opus se déroulant en 1918 à Riomaggiore, dans les Cinque Terre en Italie et le tome 21 de Mortelle Adèle, Récréation générale! de Mr Tan et Diane Le Feyer (éd. Mr Tan & Co, mai 2024, 77 pages), une BD jeunesse ainsi que l’agenda scolaire 2024/2025 pour l’année prochaine.

Des lectures adulte:

  • (Romance surnaturelle) Nightfall, Unis par le sang de Jocabel C. Caballero  (T1)

J’ai lu, en e-book, le tome 1 de la nouvelle trilogie qui se déroule dans l’univers d’Alpha Priors et qui s’intéresse cette fois à un autre agent du Bureau des Affaires Surnaturelles de Chicago, le vampire maudit et immortel Andreas: Nightfall, Unis par le sang de Jocabel C. Caballero (éd. Autoédition, juin 2024, 487 pages), une romance paranormale/d’urban fantasy qui se déroule 7 ans après les événements ayant conduit à la mort du chef de Nightfall, organisation de solitaires à laquelle a appartenu Liora, la gargouille et compagne de l’aînée des dragons, Wade. Désormais à la tête de l’organisation, sa fille, Roxie Creighton à la santé déclinante commet l’erreur de se rapprocher, le temps d’une nuit, d’Andréas. Et si le vampire permettait à Roxie de rester en vie? Et si Andréas pouvait mettre fin à son ennui éternel, l’appel du sang de Roxie le dépassant et alors que la jeune femme semble avoir un lieu avec les meurtres de sorcières et vampires, un solitaire les transformant en goules? J’ai encore une fois apprécié me replonger dans cet univers, le duo Roxie/Andréas fonctionnant très bien sous fond d’amour interdit et de caractères opposés! J’ai hâte de lire la suite.

  • (Romantasy) Le Royaume des Corbeaux, La maison aux cœurs exaltés d’Olivia Wildenstein (T2)

J’ai lu le tome 2 du Royaume des Corbeaux, La Maison aux cœurs exaltés (éd. Korrigan, janvier 2024, 557 pages), une romantasy se déroulant parmi les Faës, les métamorphes corbeaux, les humains et les sorcières de Sabbin. Ayant lu le premier tome en autoédition il y a plus d’un an et au vu des nombreux personnages, j’ai mis plusieurs pages avant de tous les resituer. Même si j’avais trouvé le début du premier tome lent, confus voire même un peu bâclé dans l’introduction des personnages et des enjeux, j’avaist malgré tout, poursuivi ma lecture et apprécié la fin du tome précédent, ainsi que la quête de Fallon qui avait accepté d’accomplir la prophétie lui demandant de retrouver des artefacts de corbeaux. La fin présageait d’en découvrir plus sur le peuple du ciel mené par Lore. Mais cela n’a pas été le cas. J’ai trouvé que ce tome intermédiaire n’avançait pas, trop focalisé sur l’immaturité de Fallon et son refus d’accepter le lien d’union avec Lore tout en étant jalouse autant que lui est possessif, la romance spicy prenant trop le pas sur les enjeux politiques, surtout que tout est du seul point de vue de Fallon. Je lirai toutefois le tome 3, La Maison aux promesses ardentes, qui vient de paraître lorsqu’il sera disponible à ma médiathèque.

Ma lecture en cours:

(Roman feel-good contemporain) Mamma Maria de Serena Giuliano

Dimanche, j’ai commencé à lire, en e-book, Mamma Maria de Serena Giuliano (éd. Cherche Midi, mars 2020, 224 pages),  un roman contemporain feel-good qui se déroule en Italie du Sud, alternant les points de vue entre Sofia  qui est revenue chez elle en quittant Paris, après une rupture sentimentale dont elle ne semble pas remise et Maria qui tient le café d’un petit village côtier italien et qui va remettre en cause ses préjugés avec l’arrivée de migrants (une mère enceinte libyenne et son très jeune fils). Il y est ainsi question d’amitiés intergénérationnelles, de tranches de vie familiales, d’entraide, de racisme, de seconde chance, du statut des migrants… Pour le moment, je trouve ma lecture bien trop convenue et stéréotypée.

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