Catégorie : Mini crapahuteur (Page 33 of 41)

Tour du Mont Bego : bis repetita placent

Lac Vert de Fontanalba

Baisse de la Vallauretta

Marmotte

Et c’est reparti ce 26 août 2011 pour deux jours de randonnées autour du Mont Bego et dans la Vallée des Merveilles. Nous espérons avoir un temps plus clément et échapper aux orages et surtout éviter notre mésaventure de 2009. Le premier jour, nous partons de Castérino et montons jusqu’au refuge CAF des Merveilles en passant par le lac Vert de Fontanalba et la Baisse de Vallauretta. 

Pendant notre ascension, nous pouvons observer de nombreuses marmottes dissimulées par-ci par-là dans les rochers, prêtes à se réfugier dans leur terrier au moindre signe de danger.

Refuge du CAF des Merveilles

Lac Long

Refuge du CAF des Merveilles

Vers 16h, nous arrivons au refuge et faisons une petite pause au bord du lac Long.

Le lendemain, nous nous levons suffisamment tôt pour voir le lever de soleil, assis dans les rochers au bord d’un petit lac.

Nous redescendons au refuge pour le petit déjeuner avant de traverser la Vallée des Merveilles jusqu’à la Baisse de la Valmasque. C’est encore l’occasion d’apercevoir des marmottes et des chamois.

Puis nous entamons la descente du retour vers Castérino. Nous passons d’abord le lac du Basto, espérant pouvoir observer des bouquetins, mais cette fois-ci sans succès. Pas plus de chance au niveau des deux lacs suivants, le lac Noir et le lac Vert. Nous faisons une pause goûter au refuge de la Valmasque en dégustant la tarte aux myrtilles maison. 

Nous quittons le refuge pour terminer notre randonnée et regagner, sans difficultés particulières, notre voiture. Cette randonnée aura été placée sous le signe des marmottes!

Circuit de la Couletta – Rimplas

Ce 7 août 2011, nous partons pour Rimplas (1.000 mètres d’altitude), dans la Moyenne Tinée et effectuer le circuit de la Couletta tel qu’indiqué dans notre guide Randoxygène. De la place de la commune, nous nous dirigeons vers la balise n°157. Nous commençons notre ascension en passant par la balise n°166 jusqu’à la forêt de la Couletta (1.300 mètres d’altitude).

Œillets – Rimplas

Joubarbe à toile d’araignée – Rimplas

Tout le long du sentier, nous croisons des papillons et une végétation bien fleurie: des œillets, joubarbes à toile d’araignée…

Le chemin de l’aller se change en piste. Après avoir passé le réservoir d’eau (balise n°158), nous prenons le sentier à droite pour redescendre sur Rimplas par la crête du Serre.

Au détour du sentier, nous sommes surpris de voir une jolie cascade et décidons de nous y rafraîchir. Puis nous reprenons notre marche jusqu’à la voiture, avec en contrebas de beaux points de vue sur le fort de Rimplas qui fut construit entre 1928 et 1937 dans le cadre de la Ligne Maginot.

Face à l’immensité des icebergs de Jökulsarlon

Ce 25 juillet 2011, nous partons, vers 8h30, de Höfn pour un changement complet de décor avec la visite de la lagune de Jökulsarlon au pied du glacier du Vatnajökull, le temps d’une accalmie de plusieurs heures. Nous choisissons de marcher autour de la lagune, des deux côtés du pont, plutôt que de monter sur un des nombreux bateaux amphibie avec le bruit assourdissant, voire insupportable, de leurs moteurs. Nous pouvons voir très vite la tête des phoques qui se faufilent dans l’eau autour des icebergs d’un beau bleu pour la plupart. Le site est vraiment remarquable, bien que le ciel soit encore très gris mais au moins sans pluie. Un peu plus loin, nous observons un groupe de bernaches nonnettes.

Phoque – Jökulsarlon

Vers 15h00, nous revenons sur nos pas, à quelques mètres de l’entrée du site pour manger nos sandwichs tout en continuant à observer les phoques. Nous entendons également des bruits provenant de certains icebergs qui, en fondant, se fissurent et tombent dans l’eau. Puis nous allons boire un café, un troll gardant la machine à café.

Bernaches nonnettes et eiders à duvet

Grand labbe

Nous repartons de l’autre côté de la rive et croisons, à nouveau, un groupe de bernaches nonnettes ainsi qu’un grand labbe qui réussit, après moult efforts, à attraper un poisson. Il y a également d’autres phoques et des eiders à duvet.

Nous avons également de beaux points de vue sur le glacier au loin, des icebergs s’y détachant régulièrement. Ces derniers, selon l’état de fonte, dessinent de jolies formes. Certains mettront même plusieurs années à flotter dans la lagune avant de se jeter dans l’Océan Atlantique. Depuis 1932, la lagune de Jökulsarlon s’étend malheureusement de plus en plus au détriment du glacier.

glacier de Skaftafell

Vers 19h00, nous retournons à notre voiture pour aller continuer notre balade autour du glacier de Skaftafell, le  « Skaftafellsjökull » en islandais. Le site offre, à nouveau, des paysages très volcaniques. Mais une pluie fine commence à tomber. Il est alors temps de reprendre la voiture pour passer la nuit au camping de Kirkjubaejarklaustur.

Au plus près des macareux à Bjargtangar

Falaises de Bjargtangar

En cette fin d’après-midi du 19 juillet 2011, après la journée passée sur l’île de Flatey, nous arrivons au camping de Breidavik pour seulement monter la tente avant de repartir pour les falaises aux oiseaux dans la péninsule de Látrabjarg dont l’extrêmité s’appelle Bjargtangar. Nous prenons en stop une jeune polonaise qui souhaitait également s’y rendre.

Macareux moine

Macareux moine et pingouin torda

Pingouins torda

Nous ne pensions pas pouvoir observer d’aussi près autant de macareux moines sur les bords de la falaise. Cette journée se finit vraiment en apothéose à l’endroit le plus à l’Ouest des Fjords du Nord-Ouest, et même de l’Islande! Les falaises portent vraiment bien leur nom de falaises aux oiseaux: outre les macareux moines qui se laissent approcher sans problème, nous pouvons observer des pingouins tordas, des guillemots de troïl et de brünnick, des mouettes tridactyles…

La lumière du soleil est magnifique alors que nous approchons bientôt minuit. Nous restons ainsi un long moment à observer tous ces oiseaux et à les photographier encore et encore… Certains macareux moines se donnent des coups de bec. Un vrai paradis pour eux! A force des les observer, nous en oublierons presque d’observer la beauté des fjords et l’à-pic des falaises.

Macareux moine

Il est presque 2h du matin lorsque nous retournons à notre voiture, un peu à contre-cœur tellement le lieu est apaisant et grandiose. Avant de regagner le camping pour une courte nuit, nous dépannons des touristes en poussant leur voiture pour qu’ils puissent repartir! Scène complètement surréaliste!

Portovenere

Portovenere – Palazzata

Ce 26 avril 2010, après avoir passé la journée sur le sentier littoral des Cinque Terre, nous arrivons à Portovenere, commune classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, vers 18h00. Nous nous dirigeons vers le port avec une jolie vue sur le château Doria. Les maisons de cette station balnéaire, certaines datant du XIIe siècle, ont été bâties sur les falaises.

Portovenere – Citadelle

Puis nous montons jusqu’au promontoire delle Bocche sur lequel a été édifiée l’Église de San Pietro, de style gothique et datant du XIIe siècle après avoir été reconstruite sur des vestiges du VIe siècle. Cet endroit a été bien conservé et est accessible gratuitement.

Portovenere – vue sur le Golfe des Poètes

Un parcours a été aménagé en contrebas de l’église et offre de belles vues sur le Golfe de la Spezia dit Golfe des Poètes et les falaises escarpées se jetant dans la Mer Méditerranée. Au loin, il y a les îles de La Palmaria, de Tino et de Tinetto.

Portovenere – Château Doria

Nous avons également une jolie vue sur le château Doria que nous n’aurons pas le temps de visiter, vu l’heure tardive et la grotte Arpaia. Cette grotte a été creusée au fil des siècles et est également appelée grotte Byron, du nom du poète britannique. En effet, Lord Byron venait y méditer après le décès de son ami et poète Shelley en 1822.

Citadelle – Portovenere

Les Moulins – Portovenere

Puis nous revenons sur nos pas pour aller sur le chemin au-dessus de la citadelle. Nous marchons jusqu’aux ruines des moulins qui furent utilisés comme tours de garde et qui permirent ainsi de repérer toute attaque d’ennemis.

Portovenere – Porte de la Ville et sa tour

Nous redescendons à notre voiture en passant par les petites ruelles de la commune et arrivons au niveau de la Porte de la Ville et de sa tour datant toutes deux du XIIe siècle. En effet, ce village de pêcheurs devint un bourg fortifié à l’époque de la République de Gènes au XIIe siècle.

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