Catégorie : Mini visiteur (Page 8 of 10)

Visite contée de l’Observatoire de Nice

Conciergerie

Écuries

Coupole Schaumasse

Ce 4 mars 2018, nous allons faire une visite contée de l’Observatoire de Nice, « Paroles qui éclairent le Ciel ». A l’entrée du site, nous faisons face aux sculptures d’Aimé Millet: La Physique et l’Astronomie (Uranie, Muse grecque de l’astronomie et de l’astrologie). Ce portail et la conciergerie nous plongent immédiatement dans l’histoire de ce site qui est toujours en activité. Il est aussi classé au titre des Monuments historiques et en tant que Zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). Nous suivons la route balisée et tournons à droite au niveau des Écuries. Nous nous garons au niveau de la Coupole Schaumasse.

Nous commençons la visite avec un très beau panorama sur la baie des Anges et  les Préalpes d’Azur, malgré les nuages qui s’amoncellent. La conteuse nous met dans l’ambiance des lieux et nous raconte mythes et légendes des étoiles et constellations qui ont traversé les siècles. C’est une jolie approche de l’astronomie pour les enfants et même les plus grands.

Coupole Bischoffsheim

Nous faisons quelques pas pour arriver devant l’imposante Coupole Bischoffsheim, bel hommage aux époques égyptienne et romaine. Sur le fronton, Apollon sous des traits égyptiens sort du Zodiaque. Nous ne pouvons malheureusement pas visiter la coupole en raison des travaux en cours.

Un peu d’histoire: Banquier de profession, Raphaël Bischoffsheim était également un passionné d’astronomie. Il utilisa son argent pour édifier un observatoire sur le sommet du Mont-Boron dont il était propriétaire, avec l’aide de son ami Charles Garnier, architecte. Ce dernier construisit l’essentiel des bâtiments (coupoles, appartements des chercheurs et écuries) et du jardin. Gustave Eiffel participa également à la création de la lunette équatoriale. La construction se déroula de 1881 à 1887.

Puis nous allons nous asseoir devant l’abri du Méridien qui servait à regarder le ciel à l’horizon mais aussi à cartographier les étoiles. La pluie s’invitant, nous continuons la suite du conte à l’intérieur de l’abri à travers l’histoire polynisienne de Maui voulant attraper le soleil avec son lasso magique (constellation du Scorpion). Il fait quasiment la même température qu’à l’extérieur, mais plus de gouttes d’eau au moins sur nous. En effet, nous apprenons que les bâtiments ne sont pas chauffés pour éviter d’altérer la qualité des observations. Les mélodies et poésies de la conteuse se poursuivent: le Bouvier et Vega, la fileuse dans la légende chinoise (constellations de l’Aigle et de la Lyre), Hercule pêchant la Lune, Pluton et l’origine romaine du changement de saisons…

Coupole Charlois

Astrographe

Le conte touche à sa fin et nous regagnons notre voiture, en passant devant d’autres coupoles et les écuries, tout en continuant à avoir une belle vue sur Nice et son château. Cette visite nous donne envie d’y revenir pour parcourir le site et en apprendre davantage sur un plan astronomique.

Le jardin de Villecroze

Ce 10 février 2018, nous nous rendons à Villecroze et plus précisément au Nord de la commune pour visiter son parc. Ce jardin aménagé dans les années 20 est vraiment très plaisant et idéal pour toute la famille (mais interdit aux chiens). Après quelques pas, nous avons une magnifique vue sur la cascade, les grottes troglodytiques, les restanques et les terrasses aménagées. Sur les pelouses, des espaces boisés et des œuvres d’art se mélangent. Il est même possible d’apprendre en s’amusant les noms de 14 arbres en cherchant les QR codes associés… Il y a des tables de pique-nique et également un espace de jeux en plein air pour les enfants et même pour les tout-petits.

cascade

cascade

Un petit chemin grimpant avec des marches aménagées mène à la cascade puis à l’entrée des grottes. On ne s’attend pas à une telle cascade au milieu d’un parc municipal : elle mesure 35 mètres de haut, prenant sa source dans une commune voisine, Tourtour et se terminant en un ruisseau à travers le parc.

entrée des grottes

En haut des marches, nous trouvons les grilles closes, la visite des grottes troglodytiques ne commençant qu’au mois d’avril. Il est, en effet, possible, de les visiter d’avril à octobre de façon libre ou avec un guide à 17h00 (entrée payante). Ces grottes ont été construites dans des falaises de tuf, cette roche résultant de la lente fossilisation de végétaux il y a plus de 700.000 ans. Elles servirent de refuge aux habitants d’alors puis à des moines bénédictins. Au XVIe siècle, de véritables pièces ont été aménagées par le seigneur des lieux. De l’extérieur, nous pouvons ainsi voir des fenêtres à meneaux, des meurtrières… Depuis 1924, elles sont classées au titre des Sites et et Monuments naturels à caractère artistique. Désormais, le site est un refuge pour les chauve-souris et les araignées cavernicoles.

Nous redescendons pour faire le tour de la pelouse centrale et regarder de plus près les sculptures en bois. La visite des grottes sera pour une prochaine fois. Le temps d’observer un rouge-gorge se posant sur une table de pique-nique et nous rentrons.

Le Parc Phœnix au fil du temps

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – novembre 2017

Un des parcs incontournables à Nice : le Parc Phœnix. Nous y allons régulièrement. Situé à l’Ouest de la ville, du côté de l’aéroport, ce parc permet de s’échapper du quotidien urbain. Au fil des années, il a bien changé, au gré des aménagements effectués et des expositions présentes. De même d’une saison à l’autre. Il y a tellement de choses à voir qu’une seule visite ne suffit pas.

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – mai 2016

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

 

 

 

 

Notre première visite du parc remonte à octobre 2006. A l’époque, deux pélicans étaient à l’entrée du parc.

Lorsque nous pénétrons dans le parc, nous pouvons voir sur notre droite le Musée des Arts asiatiques accolé au lac dans lequel il y a notamment des cygnes noirs, des canards, des bernaches et des tortues. Certains oiseaux sont ainsi migrateurs et d’autres ont été introduits. En face, en direction des loutres, il y a une fontaine d’eau dont les jets d’eau se déclenchent toutes les demi-heures au rythme des morceaux de musique classique. Un spectacle idéal pour les petits mais les grands aussi !

Parc Phoenix – février 2016

Parc Phoenix – février 2016

Parc Phoenix – octobre 2006

 

 

 

 

 

Parc Phoenix – mai 2016

Parc Phoenix – mai 2016

Ensuite un arrêt pour essayer de voir les loutres : tantôt elles se prélassent au soleil, tantôt elles sont sous l’eau. Parfois, elles sont collées les unes aux autres. Ce sont désormais des loutres d’Asie, plus petites que les loutres d’Europe qui ont pris leur place, ces dernières ayant été confiées à un autre parc.

Parc Phoenix – mai 2016

Parc Phoenix – octobre 2006

Nous remontons l’allée en direction des porcs-épics. Très souvent, ils se blottissent dans un coin de l’enclos. En 2006, il y avait des chiens de prairie.

Arrivés au niveau de la fontaine centrale, plusieurs choix sont possibles. Nous pouvons nous rendre au chaud dans la serre. Entre la serre centrale et les différentes salles, nous pouvons accéder en quelques pas à une énorme diversité de plantes et d’animaux : palmiers royaux, orchidées, cocotier, arbre du voyageur, plantes cailloux, hibiscus, fougères, plantes carnivores…

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – mai 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais aussi flamants roses, crocodiles du Nil, carpes, lémuriens, grandes tortues… Il est à noter qu’un programme de réintroduction de ces tortues a été mis en place avec le Sénégal. Depuis 2017, la zone des aquariums et terrariums a été fermée et laissera place d’ici 2019 à des chauve-souris. Le seul petit bémol est le fait que la serre ne soit pas adaptée aux personnes à mobilité réduite ni aux poussettes dans son intégralité.

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – février 2016

Parc Phoenix – mai 2016

Parc Phoenix – mars 2017

Parc Phoenix – février 2016


 

 

 

 

 

 

 

 

En retournant à l’extérieur de la serre, il y a également un jardin de jeux en plein air pour les enfants et même les tout-petits. Il leur permet de se défouler après avoir découvert ou redécouvert faune et flore du parc. Il est fréquent d’y croiser des paons au niveau des tables de pique-nique.

Il y a également un espace dédié aux wallabys, un autre aux tortues de Floride et encore un aux ouistitis. Tout au fond, a été aménagée une volière dans laquelle nous pouvons voir des perroquets, ibis, aras et grues. Il est triste de savoir qu’à l’instar des flamants roses, les aras ont subi un éjointage ancien, pratique qui ne se fait heureusement plus dans ce parc.

Parc Phoenix – mai 2016

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – novembre 2017

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Depuis 2017, le parc est désormais doté d’une ferme pédagogique. Nous pouvons désormais voir des chèvres, des lapins, des cochons, des poules, des oies et des juments. Il y a aussi un parc à insectes. Autour de cette ferme, il y a toujours le potager, des cucurbitacées, des plantes aromatiques… En novembre 2017, il y avait également un nouvel enclos faisant écho à la ferme.

Parc Phoenix – octobre 2017

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – octobre 2017

Parc Phoenix – octobre 2017

Parc Phoenix – novembre 2017

 

 

 

 

 

 

Parc Phoenix – février 2016

Parc Phoenix – février 2016

 

 

Le parc met enfin en avant des expositions, soit dans les deux salles à l’entrée du parc, soit dispersées dans le parc. C’est ainsi que nous avions pu voir en février 2016 l’exposition de Liu Yilin, « Les 12 fantastiques », grandes sculptures en bronze représentant les douze signes du calendrier chinois.

Sur les traces du loup au Parc Alpha

Nonobstant la journée bien entamée, nous partons visiter le Parc Alpha, parc animalier consacré aux loups et situé juste après le lac du barrage du Boréon, à 1.480 mètres d’altitude.

Sur la route menant au parc, après avoir passé Saint-Martin-Vésubie, nous avons l’agréable surprise de voir que la neige tombée la semaine précédente a tenu, malgré une température autour de 10°. Dans les sous-bois attenant à la route, nous avons aussi la chance d’apercevoir, très furtivement, trois biches.

Arrivés sur le parking, direction le chalet d’accueil du Boréon pour acheter nos billets d’entrée.  Plutôt que de passer par l’intérieur pour gagner l’entrée du parc, nous choisissons de ressortir du chalet et de prendre le chemin bien balisé et fortement enneigé du Centre Nordique du Boréon. Bien nous en a pris puisque nous pouvons observer un écureuil roux sautant de branches en branches.

Nous laissons les skieurs à la piste de ski de fond pour prendre sur notre gauche le pont en bois nous permettant l’accès au parc. Nous sommes très aimablement accueillis par un des personnels du parc qui nous guide sur les possibles activités restantes de cette fin d’après-midi, en particulier le nourrissage de la meute Pelago.

Le chemin menant aux affûts nous est ouvert par de nombreux oiseaux, notamment des mésanges huppées. Plusieurs panneaux expliquent la végétation présente dans le parc. Il y a également un parc à insectes en forme de papillon.

Lors de notre première visite en mars 2007, il n’y avait que des loups. En dix ans, les meutes se sont bien agrandies. Depuis 2017, le parc accueille également deux chamois et des lièvres variables dans des enclos bien évidemment distincts.

Souvenirs, souvenirs… En mars 2007, la neige était également tombée lors de notre visite. Heureusement, nous avions pu nous réchauffer auprès du feu de bois. Les sculptures en bois de loups agrémentaient aussi le parc. Nous avions regardé un petit film documentaire sur le retour du loup, son mode de vie et sa cohabitation avec l’être humain, et en particulier les bergers. Nous avions ensuite observé la meute de loups au moment du nourrissage, sous les flocons de neige.

Mélis-mélos des marchés de Noël 2017

Début décembre, voire même fin novembre pour certaines communes, fleurissent un peu partout les marchés de Noël et leurs illuminations, faisant la joie des petits et des grands. Cette année, nous profitons du large choix dans les Alpes-Maritimes pour nous rendre sur certains d’entre eux.

  • Le marché de Noël de Tourrettes sur Loup

 Le 3 décembre, nous commençons d’abord par Tourrettes sur Loup, charmant village médiéval perché. A l’instar du Père Noël, nous flânons entre les quelques allées de stands, entre les odeurs des crêpes et les cris et rires des enfants qui s’amusent dans la structure gonflable. Mais il est vrai que nous nous attardons plus sur l’architecture de la place et de ses monuments, ainsi que sur la vue impressionnante des remparts plongeant dans l’immensité de la Mer Méditerranée. En quittant ce village, nous gardons l’idée d’y revenir pour une visite plus complète.

  • Saint-Jean-Cap-Ferrat

 Le 9 décembre, direction Saint-Jean-Cap-Ferrat  où nous nous laissons replonger en enfance avec Minnie et Mickey. De l’autre côté de la route, la cabane du Père Noël est prête à l’accueillir, entourée de pingouins.

  • Le marché de Noël de Nice

Le 14 décembre, nous faisons le marché de Noël de Nice, bien installé dans les Jardins Albert Ier. Après avoir passé le contrôle de sécurité, nous nous dirigeons de stands en stands jusqu’au Pôle Nord niçois pour voir la cabane du Père Noël. A l’intérieur, pleins de dessins d’enfants et de jouets anciens. Une bien belle ambiance qui ravit les enfants présents et qui peut rendre nostalgiques les plus grands! Nous passons ensuite devant la patinoire. Des jeux et manèges sont également là pour les enfants. Nous gagnons ensuite le miroir d’eau où se dresse un immense sapin illuminé. Rien de tels que ces jeux de lumière avec la nuit naissante !

  • Le marché de Noël de La Gaude

Le 17 décembre, nous finissons par le marché de Noël de La Gaude qui a mis les jouets anciens à l’honneur. Entre les déambulations des Elfes dans la rue principale et la cabane du Père Noël, il y a de quoi ravir petits et grands. Des contes de Noël sont également racontés dans la cabane. L’esprit de Noël est bien là!

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