Ce 16 février 2019, direction le parc départemental de Vaugrenier et ses observatoires autour de l’étang. Il y a un peu plus d’oiseaux à observer que la fois précédente. Avant de nous rendre au bord de l’étang, nous nous arrêtons pour tenter de voir les rouge-gorges dont nous entendons les chants.
Puis lorsque nous montons sur l’un des observatoires, nous sommes immédiatement attirés par trois grands cormorans posés sur un arbre. Un quatrième grand cormoran vient alors se poser sur un autre arbre pour se sécher au soleil.
Au milieu de l’étang, nous voyons également un cygne tuberculé qui nous fait dos et qui est en train de se rapprocher du bord, du côté du sentier. Il y a aussi une vingtaine de mouettes rieuses. La plupart sont posées sur l’eau. Une dizaine de canards Colvert se sont regroupés sur les berges de l’étang. Des foulques macroules nagent.
Soudain, nous entendons du mouvement dans les branchages: point d’oiseau mais un écureuil qui saute de branche en branche, bien trop rapidement pour le photographier convenablement. Nous redescendons de l’observatoire pour le suivre de l’autre côté de l’étang, ce dernier se dirigeant sur le sentier menant à un autre observatoire.
Nous perdons de vue l’écureuil et nous rendons au second observatoire. Avant de nous rendre dans l’abri en bois, nous pouvons voir une poule d’eau regagner l’étang. Les grands cormorans sont toujours dans les arbres. Au loin, bien camouflé dans les roseaux, nous pouvons observer un héron cendré.
Nous quittons ensuite la zone de l’étang pour nous balader dans le parc. Nous finissons notre après-midi sur le bord de mer. La luminosité est toute particulière, les brumes de chaleur masquant les sommets enneigés du Mercantour. La lune est bien présente dans le ciel. Posées sur l’eau, des mouettes rieuses se laissent bercer par les vagues. Un grand cormoran passe rapidement dans le ciel à hauteur de la lune. Il est alors temps de rentrer.
Commentaires récents