Catégorie : Mini blogueur (Page 26 of 29)

Point lecture hebdomadaire #8

En ce début de semaine, voici notre point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures de la semaine dernière, celle en cours et sans doute nos prochaines, ponctuées de passages à la librairie et à la médiathèque.

Nos lectures du 20 au 26 septembre 2021:

Des albums jeunesse:

Nous continuons nos relectures et découvertes d’histoires d’automne et d’Halloween mais pas que avec des histoires de dinosaures.

  • (Album jeunesse) Toute la vérité sur les dinosaures de Guido Van Genechten

Nous lisons Toute la vérité sur les dinosaures de Guido Van Genechten (éd. Mijade, 2018), un album jeunesse à partir de 4 ans. Se disant être un dinosaure, une poule court chercher son album photos et nous parle de ses ancêtres, les dinosaures comme les Vélociraptor, Diplodocus ou autre Tricératops… et qui ont disparu à la suite d’un astéroïde ayant frappé la Terre. Tous? Pas vraiment. Une histoire rigolote, l’auteur s’amusant à faire interagir la poule avec le lecteur!

  • (Album jeunesse) L’hôpital des dinosaures de Hye-Won Kyung

Nous lisons et relisons L’hôpital des dinosaures de Hye-Won Kyung (éd. Versant Sud Jeunesse, 2020), un album jeunesse à partir de 5 ans. Dans la salle d’attente du docteur, des dinosaures attendent leur tour: un stégosaure dont les plaques sur le dos le gênent, un diplodocus qui s’est fait un torticolis, une mère maiasaura épuisée et malnutrie à force de s’occuper de ses petits… Hasard des emprunts, cette histoire met aussi en scène une poule, l’infirmière Poulette qui ici amène les dinosaures auprès du médecin et nous en apprend un peu plus sur eux. Un très bon moment de lecture avec cet album jeunesse qui alterne entre histoire rigolote et documentaire!

  • (Album jeunesse) La fête d’automne de la famille Souris de Kazuo Iwamura

Je pensais que nous avions lu toutes les histoires de la famille Souris mais non. Alors nous lisons en ce début d’automne, La fête d’automne de la famille Souris de Kazuo Iwamura (éd. L’école des loisirs, 1993, rééd. 2020), un album jeunesse à partir de 3 ans. Pendant une partie de cache-cache, Pierrot a disparu. Les autres membres de la famille Souris partent à sa recherche. Encore une histoire toute mignonne avec des illustrations remplies de petits détails! Nous en profitons pour relire La famille Souris et le potiron.

  • (Album jeunesse) Un thé à l’eau de parapluie de Karen Hottois et Chloé Malard

Nous lisons et relisons également Un thé à l’eau de parapluie de Karen Hottois et Chloé Malard (éd. Seuil Jeunesse, 2020), un album jeunesse à partir de 3 ans. Par une journée pluvieuse d’automne, Elmo, un blaireau invite ses amis à un thé à l’eau de parapluie accompagné de bichons au citron. Une histoire cosy, douce, poétique et réconfortante à lire le soir ou blotti sous un plaid! Un très bon moment de lecture!

  • (Album jeunesse) Le Crafougna de Stéphane Servant et Anne Montel

Nous lisons aussi Le Crafougna de Stéphane Servant et Anne Montel (éd. Didier Jeunesse, 2012), un album jeunesse à partir de 5 ans. Un dimanche soir à l’approche du carnaval, le Crafougna élit domicile dans la famille d’un petit garçon. Il semble le seul à le repousser, ses parents et sa sœur se transformant à leur tour en un monstre gris, velu et crafougnant. Arrivera-t-il à repousser le Crafougna de chez lui? Une façon rigolote d’aborder la mauvaise humeur, surtout celle du dimanche soir avant de commencer une nouvelle semaine! Le déguisement du petit garçon m’a fait penser aux personnages de Bergères guerrières, une BD jeunesse illustrée par Anne Montel en duo avec Loïc Clément.

Des BD jeunesse:

  • (BD jeunesse) Ana Ana L’histoire incroyable (T18)

Pré-commandé à la librairie et paru le 17 septembre 2021, nous lisons et relisons le dernier tome, le 18 d’Ana Ana, L’histoire incroyable d’Alexis Dormal et Dominique Roques (éd. Dargaud, 2021), une BD jeunesse pour les 3/6 ans et qui – pur hasard du calendrier halloweenesque – parle d’un monstre buveur de thé. Une histoire rigolote qui reprend le jeu du téléphone arabe ou sans fil. L’anecdote de Goupille qui a pris la tasse pendant qu’il nageait est transformée d’un doudou à un autre pour le plus grand plaisir du jeune lecteur!

  • 109 rue des soupirs, Fantômes à domicile de Mr. Tan et Yomgui Dumont (T1)

Après l’avoir repéré lors de l’édition précédente du Challenge Halloween de Hilde et Lou, je lis le tome 1 de 109 rue des soupirs, Fantômes à domicile de Mr. Tan et Yomgui Dumont (éd. Casterman, 2019, 125 pages). Elliot, un petit garçon de 9 ans laissé très souvent seul par ses parents devient ami avec les fantômes hantant le 109 Rue des Soupirs, trouvant auprès d’eux une seconde famille. Aucune baby-sitter n’arrive à rester jusqu’à l’arrivée de Madame Von Schloss. Ne serait-elle pas en réalité une chasseuse de fantômes? Parviendra-t-il à protéger ses nouveaux amis? Une BD rigolote par Antoine Dole alias Mr. Tran, l’auteur de Mortelle Adèle, ce dernier faisant d’ailleurs un clin d’œil à sa BD, Elliot ayant une poupée Adèle.

  • 109 rue des soupirs, Fantômes sur le grill de Mr. Tan et Yomgui Dumont (T2)

J’enchaîne avec le tome 2 de 109 rue des soupirs, Fantômes sur le grill de Mr. Tan et Yomgui Dumont (éd. Casterman, 2020, 127 pages), Elliot et ses amis fantômes devant faire face à une nouvelle menace, un inspecteur fantôme étant chargé de contrôler l’aptitude des fantômes à terroriser. Encore une chouette histoire avec ces fantômes sympathiques et dont on apprend un peu plus leur histoire!

Des romans jeunesse:

  • (Roman jeunesse) Les sept sorciers de Caro King (éd. Prisma, 2012, 376 pages)

Je finis de lire, en reprenant au chapitre 6, Les sept sorciers de Caro King, un roman jeunesse à partir de 9 ans. Une jeune fille, Nin est la seule à se souvenir de son petit frère Toby qui a été enlevé par Skerridge, un croquemitaine pour être livré à Monsieur Strood. Alors que Skerridge tente de l’enlever à son tour, elle s’enfuit et se retrouve plongée dans le pays magique de la Dérive où régnaient autrefois les Sept Sorciers. Que d’aventures pour Nin dans cette histoire fantastique! Heureusement elle pourra compter sur sa bonne étoile (peut-être trop, roman jeunesse oblige) et aussi sur un garçon un peu plus âgé, Jonas ainsi que sur Jik, un bonhomme de boue. Il est question de quête initiatique, d’univers parallèle et de courage. Un roman jeunesse qui se lit facilement mais sans plus. À réserver peut-être à de jeunes lecteurs friands d’héroïc fantasy mais suffisamment grands pour ne pas être effrayés par les êtres plus cauchemardesques les uns que les autres de l’histoire!

  • (Roman jeunesse) La rencontre de Stéphanie Demasse-Poirier et Marie Poirier

Nous lisons La rencontre de Stéphanie Demasse-Poirier et Marie Poirier (éd. de l’Étagère du bas, 2021), un roman jeunesse à partir de 6 ans. A la recherche d’un ami, un pingouin seul sur sa banquise accroche un petit morceau de papier sur un poisson qui est trouvé par un chat. Bientôt, le pingouin et le chat se rencontrent. Une histoire simple et mignonne d’une rencontre atypique entre un manchot et un chat! Il est question d’amitié et de vivre ensemble.

Ma lecture en cours:

(Roman jeunesse) Amélia Fang et le trésor des Yétis de Laura Ellen Anderson (T5)

Je commence à lire jusqu’au chapitre 7 le tome 5 d’Amélia Fang, Amélia Fang et le trésor des Yétis de Laura Ellen Anderson (éd. Casterman, 2021, 237 pages), Amélia, Florence, Grimaldi et Tangine passant un séjour au mont des Yétis pour les 350 ans de la grand-mère de Florence. Mais au cours de la fête d’anniversaire, des objets précieux des Yétis commencent à disparaître les uns après les autres. Une nouvelle enquête pour Amélia et ses amis? Il est agréable de retrouver cette petite bande d’amis toujours aussi bien croqués dans les illustrations en noir et blanc de Laura Ellen Anderson.

Ma prochaine lecture envisagée:

(Roman jeunesse) Magic Charly, Bienvenue à Saint-Fouettard d’Audrey Alwett (T2)

Pour une LC du T1 et/ou T2 du Challenge Halloween 2021 en octobre: le tome 2 de Magic Charly, Bienvenue à Saint-Fouettard d’Audrey Alwett (éd. Gallimard Jeunesse, 2021, 523 pages).

Point lecture hebdomadaire #7

En ce début de semaine, voici notre point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures de la semaine dernière, celle en cours et sans doute nos prochaines, ponctuées de passages à la médiathèque.

Nos lectures du 13 au 19 septembre 2021:

Des albums jeunesse:

Nous continuons nos relectures et découvertes d’histoires d’automne et d’Halloween mais pas que.

  • (Album jeunesse) Dans la forêt de Rob Hodgson

Nous lisons et relisons Dans la forêt de Rob Hodgson (éd. Clorophyl, 1,2,3,Soleil!, 2020), un album jeunesse rigolo à partir de 3 ans et qui est plein de clins d’œil au livre précédent de l’auteur, Gros Loup et la petite bête (les donuts et le ver de terre). Trois renards vivent dans la forêt en tentant de chasser des lapins. Mais ils sont bien incapables de les trouver, même avec des pancartes leur indiquant où les trouver. Les illustrations sont tout aussi réussies que dans l’album précédent, avec des renards expressifs et pas aussi rusés que leur prête leur réputation. Un très bon moment de lecture!

  • (Album jeunesse) Nina et le petit chat perdu de Nicola Killen

Nous lisons et relisons également Nina et le petit chat perdu de Nicola Killen  (éd. Quatre Fleuves, 2020), un album jeunesse à partir de 3 ans. Nina part se promener avec son chat Citrouille dans une forêt aux teintes automnales et découvre un chat noir perdu. A qui peut-il bien être? Un chat noir, Halloween, une maison dans les bois… Que d’indices distillés pour le jeune lecteur! Une histoire toute mignonne et poétique comme déjà dans Nina et le doudou magique! Coup de cœur!

  • (Album jeunesse) Grommelle et Bretelle de Christine Naumann-Villemin et Pascal Vilcollet

Nous lisons Grommelle et Bretelle de Christine Naumann-Villemin et Pascal Vilcollet (éd. Kaléidoscope, diff. L’école des loisirs, 2008), un album jeunesse à partir de 3 ans et qui se lit dans les deux sens. Nous commençons par Grommelle une petite sorcière qui voudrait faire peur puis par Bretelle, un petit clown qui voudrait faire rire. Et si leur rencontre leur permettait de retrouver le sourire? Réponse au milieu du livre. Un bon moment de lecture!

  • (Album jeunesse) Sorcidonie et les magipotirons de Nora Thullin et Ana Duna

Nous lisons la première des 4 histoires de Sorcidonie et les magipotirons de Nora Thullin et Ana Duna (éd. Fleurus, 2021), un album jeunesse à partir de 4 ans: Le gros chagrin de Potironflette. Potironflette, la citrouille de compagnie de Sorcidonie a un gros chagrin lorsqu’une autre petite sorcière se moque d’elle car elle a un doudou. En cas de chagrin, nous saurons aussi faire une boulachagrin comme Sorcidonie. Les autres histoires abordent la colère, la peur et la timidité. Un bon moment de lecture avec des histoires sous fond de sorcellerie pour mettre des mots sur les émotions et des astuces pour apprendre à les gérer!

  • (Album jeunesse) Les cauchemars sont dans de beaux draps! de Sandra Nelson et Nicolas Francescon

Nous lisons une autre histoire sur le thème halloweenesque, Les cauchemars sont dans de beaux draps! de Sandra Nelson et Nicolas Francescon (éd. Gautier-Languereau, 2014), un album jeunesse à partir de 3 ans. La petite sorcière Gisèle s’occupe chaque soir d’attraper et croquer les vilains cauchemars. Mais que faire des gentils cauchemars? Les illustrations pourraient très bien prendre vie en dessin animé. Une chouette histoire pour dédramatiser la peur des cauchemars!

  • (Album jeunesse) Un goûter sur la Lune de Dorothée de Monfreid

Nous lisons et relisons aussi Un goûter sur la Lune de Dorothée de Monfreid (éd. L’école des loisirs, 2017), un album jeunesse cartonné à partir de 2/3 ans. Nous retrouvons avec plaisir la bande de toutous qui cette fois ont décidé d’aller sur la Lune prendre leur goûter. Mais Popov est trop grand pour rentrer dans sa combinaison et reste sur Terre. Le goûter est-il compromis? Encore une histoire rigolote et gourmande avec les toutous.

Une BD jeunesse:

(BD jeunesse) Petit Poilu, La forêt des Ombres de Pierre Bailly et Céline Fraipont (T8)

Nous continuons de découvrir Petit Poilu avec cette fois-ci le tome 8, La forêt des Ombres de Pierre Bailly et Céline Fraipont (éd. Dupuis, 2010), une BD jeunesse sans texte à partir de 3 ans. Après avoir pénétré dans un champignon géant, Petit Poilu accède à une forêt aux teintes automnales. Mais alors que tout se passe bien, Petit Poilu a soudain peur d’une inquiétante ombre qui rappelle le loup. Soudain, la patrouille des glands surgit derrière lui et le recrute pour chasser le loup. Mais faut-il vraiment avoir peur du loup? L’histoire nous rappelle le premier tome du Loup en slip que nous avons lu récemment.

Des romans:

  • (Cosy Mystery) Son espionne royale et les douze crimes de Noël de Rhys Bowen (T6)

J’ai fini de lire Son espionne royale et les douze crimes de Noël de Rhys Bowen (éd. Robert Laffont, coll. La bête noire, 2020, 395 pages). En décembre 1933, pour échapper à un morne Noël familial au château de Rannoch, Lady Georginia répond à une petite annonce d’hôtesse mondaine pour les festivités traditionnelles organisées par Lady Camilla Hawse-Gorzley qui n’est autre que la tante maternelle de Darcy O’Mara. Tout semble sourire à Lady Georginia. Mais plusieurs décès viennent noircir son soudain bonheur ainsi que l’évasion de trois détenus de la prison voisine. Ces décès ne sont-ils qu’accidentels et sans rapports les uns les autres? Où sont-ils liés à la malédiction de la Lovey qui frappe le village, une sorcière revenant à chaque Noël se venger d’avoir été brûlée sur le bûcher dans les années 1700?

Encore une fois une lecture agréable et addictive en compagnie de Lady Georginia plus mûre mais toujours aussi indépendante et obstinée, avec cette fois une série de décès dans un petit village anglais pourtant d’ordinaire si paisible sous fond de Noël traditionnel mais aussi une dose halloweenesque avec une sorcière. Aucune mission royale cette fois mais une Lady Georginia qui devient de plus en plus aguerrie dans l’art d’être une enquêtrice amatrice. Il ne me reste plus qu’à attendre que le tome 7 soit disponible à ma médiathèque.

  • (Roman à suspense/Thriller) L’affaire Clara Miller d’Olivier Bal

J’ai également lu L’affaire Clara Miller d’Olivier Bal (éd. XO, Pocket n°18143, 201, 558 pages), un thriller choral se déroulant selon les chapitres en 1995 et en 2006 aux États-Unis. Paul Green, un journaliste travaillant pour un vulgaire tabloïd, le Globe en vient à enquêter sur une série de décès de jeunes filles paumées, droguées et qui se seraient suicidées dans un lac au milieu des forêts du New Hampshire, le lac aux Suicidées, tout proche de Lost Lakes, la propriété ultra-sécurisée et coupée du monde de Mike Stilth, une célèbre et riche rock star qui y vit cloîtré avec ses deux jeunes enfants, Noah et Eva, respectivement âgés de 10 et 8 ans. Une des prétendues suicidées était Clara Miller, un amour platonique d’étudiant de Paul Green. Pour elle, ce dernier est prêt à tout pour découvrir la vérité.

Roman choral, l’intrigue alterne entre les points de vue des différents personnages, entre passé et présent. Le temps de m’habituer au style rapide et un peu trop familier/vulgaire mais qui sied aux personnages des premiers chapitres, et me voilà à tourner les pages pour connaître à mon tour les tréfonds de cette histoire sombre et sordide où il est question d’alcool, sexe, drogues et rock’n’roll des années 90, avant l’avènement d’Internet et des réseaux sociaux mais où les paparazzis étaient déjà là pour nourrir les tabloïds et de l’après, des années 2000 avec en particulier le destin des deux enfants de Mike Stilth que ce dernier a tenté de protéger du monde extérieur et de la surexposition  médiatique et qui ont pourtant rejoint la jeunesse dorée, blasée et tout aussi droguée de la génération précédente, végétant dans une célébrité toute hollywoodienne, « les fils et filles de ». 

Même si les traits sont poussés à outrance, cela n’est pas caricatural, chaque personnage avec son vécu, ses parts d’ombre et d’humanité, pouvant expliquer ce qui lui arrive ou fait, sans pour autant tout justifier. Un bon moment de lecture qui égratigne l’image de la célébrité et cette solitude qui lui est souvent associée et qui peut conduire aux excès, même meurtriers, sans oublier tous ceux qui gravitent autour, en se servant de la « célébrité » ou vivant à travers elle!

Ma lecture en cours:

(Roman jeunesse) Les sept sorciers de Caro King (éd. Prisma, 2012, 376 pages)

Je commence à lire Les sept sorciers de Caro King jusqu’au chapitre 6 (62 pages lues), une jeune fille Nin découvrant qu’elle est la seule à se souvenir de son jeune frère, Toby qui a disparu, ayant été enlevé par un croquemitaine, Skerridge et qui a son tour arrive à échapper à ce dernier. Nin parviendra-t-elle à retrouver son frère? Pour le moment, l’univers fantastique se met doucement en place.

Mes prochaines lectures envisagées:

  • (Roman jeunesse illustré) Alice, De l’autre côté du miroir de Lewis Carroll et illustré par Benjamin Lacombe et traduite dans sa version intégrale par Henri Parisot (éd. Soleil, coll. Métamorphose, 2016, 295 pages), un roman jeunesse pour les adolescents, à partir de 13 ans. Après nos billets communs avec Blandine autour d’Alice au pays des Merveilles, nous avons eu envie de prolonger nos lectures avec la suite. LC prévue pour le 25 septembre 2021.
  • (Roman) La maîtresse des épices de Chitra Banerjee Divakaruni (éd. Picquier, 1999, 331 pages), un roman choisi parmi la liste de suggestions de Hilde. LC autour des éditions Picquier prévue le 25 septembre 2021 dans le cadre des Étapes Indiennes de Hilde et Blandine.

Point lecture hebdomadaire #5

En ce début de semaine, voici notre point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures de la semaine dernière, celle en cours et sans doute nos prochaines.

Nos lectures du30 août au 5 septembre 2021:

Des albums jeunesse:

  • (Album jeunesse) Le Grand Poulpe d’Angélique Villeneuve et Anaïs Brunet

Nous lisons Le Grand Poulpe d’Angélique Villeneuve et Anaïs Brunet (éd. Sarbacane, 2018), un album jeunesse à partir de 5 ans. Un grand poulpe se définit à travers chacun de ses 8 tentacules, sauf un qui semble ne servir à rien jusqu’à ce qu’une murène le lui dévore. Il est question d’identité, d’amour avec un poulpe amoureux d’une femme-homard et de résilience avec ce huitième tentacule qui repousse un peu. Un bon moment de lecture avec cet album jeunesse aux illustrations colorées qui nous permet de finir l’été au bord de la mer!

  • (Album jeunesse) Le talisman du loup de Myriam Dahman, Nicolas Digard et Júlia Sardà (éd. Gallimard Jeunesse, 2020)

J’avais repéré il y a un moment cet album jeunesse et attendais l’automne (je sais, c’est encore l’été) pour le lire, attirée par la magnifique illustration de couverture de Júlia Sardà. Très loin dans le Nord, un loup vit dans la forêt avec un secret, à savoir écouter le chant mélodieux d’une jeune femme qui le rend heureux. Mais un jour, la jeune femme endeuillée ne chante plus. Le loup part alors à la recherche d’un talisman. Un très bon moment de lecture avec ce conte d’une amitié entre un loup et une jeune femme!

Des BD/Roman graphique:

  • (BD jeunesse) 3 nouvelles aventures de Polo de Régis Faller (T4)

Nous lisons 3 nouvelles aventures de Polo de Régis Faller (éd. Bayard Jeunesse, 2016), une BD jeunesse à partir de 2 ans et sans texte comprenant trois histoires: Polo dans l’espace (une histoire d’amitié entre Polo et des extraterrestres dont le vaisseau spatial est tombé en panne), Polo et la flûte magique et Polo (une aventure extraordinaire où il est question d’orque, de flûte magique, de tapis volants et d’amitié) et sa bonne étoile (Polo venant en aide à un vieil homme qui deviendra le Père Noël).  Il y est question d’aventures, de rêves et d’amitié avec Polo, un personnage attachant que nous avions découvert avec Polo et le dragon.

  • (Roman graphique) Peau d’Homme d’Hubert et Zanzim

Après l’avoir vu à de nombreuses reprises, sous des avis plutôt positifs, sur Instagram, j’ai lu à mon tour Peau d’Homme d’Hubert et Zanzim (éd. Glénat, 2020, 160 pages), un roman graphique pour les adolescents, à partir de 15/16 ans et qui a reçu de nombreux prix comme par exemple le Fauve des Lycéens à Angoulême en 2021.

Dans l’Italie de la Renaissance, alors qu’elle est sur le point de se marier, Bianca, une jeune femme de 18 ans de bonne famille découvre un secret de famille bien gardé qui lui est révélé par sa marraine: une peau d’homme qui lui permet en l’enfilant de devenir un homme, Lorenzo et ainsi approcher son futur mari, Giovanni pour mieux le connaître, ce dernier se révélant homosexuel et tombant amoureux d’elle ou plutôt de son double masculin, Lorenzo.

Il est ainsi question des rapports Homme/Femme, de genre et de sexualité avec une jeune femme indépendante et émancipée, qui veut avoir le choix de choisir son époux et de disposer de son corps comme elle l’entend et non de se voir imposer un mariage arrangé et un jeune homme homosexuel contraint au mariage et qui doit taire son orientation sexuelle au regard des pressions et même persécutions sociétales et religieuses.

Une lecture dans l’ère du temps, avec une héroïne féministe bien que pensée et dessinée par deux hommes, Hubert y ayant mis une part autobiographique. De ma lecture, j’en retiendrai certes une réflexion, parfois drôle et burlesque même si bien moins légère qu’il n’y paraît, sur la condition de la femme mais celle surtout  d’une personne homosexuelle voire transsexuelle, Bianca apparaissant plus souvent en Lorenzo et la question de la masculinité étant plus présente que celle de la féminité.

Des romans:

  • (Roman jeunesse) L’enfant Pan d’Arnaud Druelle

Je finis lundi L’enfant Pan d’Arnaud Druelle (éd. Gulf Stream, 2021, 231 pages), un roman jeunesse  à partir de 13 ans et commencé la veille. Au Pays-de-Nulle-Part, l’enfant Pan, Egon se sent bien triste et seul sans sa sœur et d’autres enfants. Deux sylphes – Malice et Etincelle sont envoyées à Londres, en 1881, pour lui ramener un ami. C’est ainsi qu’un groupe d’enfants placés à L’Oiseau Blanc, école d’éducation morale pour garçons dans l’East End, dont Peter Hawkson arrivent au Pays-de-Nulle-Part. Ils y font la rencontre d’Egon, des pirates du Jolly Ranger commandé par la redoutable capitaine Jane Crown ainsi que des Indiens de la Tribu des Kabakos et autres créatures fantastiques comme les sirènes ou les gubbins.

Mais les garçons sont venus avec leur passé douloureux et ne forment pas un groupe soudé, certains étant amis avec Peter comme Jimmy Jarvis et d’autres ennemis comme Eddy Squeeler. Ce nouveau monde qui leur semble plein d’espoir comporte également sa part d’ombre. Le Pays-de-Nulle-Part se prépare-t-il à un nouveau cycle avec un nouvel enfant Pan?

Une bonne lecture avec ce roman jeunesse qui me ramène aux origines de Peter Pan, l’auteur dont ce préquel est son premier roman, ayant sa propre idée sur les raisons qui poussent Peter Pan à ne pas vouloir grandir et aussi sur sa future rivalité avec le Capitaine Crochet. La recherche d’une figure maternelle omniprésente dans le conte originel de James Matthew Barrie ne l’est pas ici puisqu’il est avant tout question de figer le temps dans le temps de l’enfance – une enfance joyeuse et insouciante, faisant la part belle à l’imagination et l’amitié et ainsi de bloquer la roue du temps qui inéluctablement fait qu’un enfant devient adulte.

  • (Cosy Mystery) Son espionne royale et la fiancée de Transylvanie de Rhys Bowen (T4)

J’ai pu enfin emprunter à la médiathèque le tome 4 de Son espionne royale (et aussi le 6 que je garde pour le moment de côté vu qu’il se passe à Noël, le 5 n’étant pas disponible), Son espionne royale et la fiancée de Transylvanie de Rhys Bowen (éd. Robert Laffont, coll. La bête noire, 2020, 345 pages), un cosy mystery. J’ai bien apprécié retrouver Lady Georgiana qui une fois encore doit empêcher un incident diplomatique et enquêter sur un meurtre à l’arsenic dans un huis-clos dépaysant en novembre 1932.

En effet, cette fois-ci, tout se passe bien loin de l’Angleterre, Lady Georgiana devant représenter la Couronne britannique lors du mariage de la princesse de Roumanie, Maria Theresa, ancienne camarade d’école en Suisse et le prince de Bulgarie organisé dans un château isolé par la neige et inquiétant, le château de Bran en Transylvanie. Il y a également Darcy et Belinda, même si moins présente et fantasque et aussi un nouveau personnage, Queenie, la nouvelle femme de chambre de Lady Georginia sans oublier la mère de la jeune femme. On sent bien à quel point l’autrice s’amuse en rendant hommage au Dracula de Bram Stoker. Une lecture rapide et toujours aussi plaisante!

  • (Roman) Les Sorcières de Pendle de Stacey Halls

Entamant mes lectures halloweenesques, je lis ensuite Les Sorcières de Pendle de Stacey Halls (éd. Michel Lafon, 2020, 399 pages), un roman historique prenant comme toile de fond un procès ayant eu lieu en Angleterre, dans le Lancashire en 1612.

Il s’agit avant tout de l’histoire initiatique de Fleetwood Shuttleworth, une jeune châtelaine de 17 ans et enceinte pour la quatrième fois après trois fausses couches. Marquée par ces fausses couches qui privent son mari Richard d’héritier, elle pense pouvoir aller cette fois-ci jusqu’à son terme grâce à l’aide d’Alice Gray, une jeune femme guérisseuse, à peine plus âgée qu’elle, qu’elle engage comme sage-femme. Mais bientôt, Alice Gray fait partie d’une chasse aux sorcières diligentée par un ami des époux Shuttleworth, Roger Nowell, ancien haut sheriff qui entend bien impressionner le Roi en faisant condamner le plus possible de sorcières lors du procès de Pendle.

Sans aucune magie, il y est question de la condition de la femme au début du XVIIe siècle. En effet, on sait que sous couvert de sorcellerie, de nombreuses femmes ont été persécutées et condamnées. D’ailleurs, dans le roman, Roger n’hésite pas à menacer Fleetwood que son comportement pourrait l’amener à être elle-aussi arrêtée pour sorcellerie, son statut social ne la protégeant pas. Et si Fleetwood n’en était pas une au sens noble du terme? Une femme courageuse et indépendante, prête à tout pour vivre comme elle entend. Un bon moment de lecture!

Ma lecture en cours:

(Roman) La fabrique de poupées d’Elizabeth Macneal

En week-end, je commence à lire La fabrique de poupées d’Elizabeth Macneal (éd. Presse de la Cité, 2019, 471 pages) jusqu’à la page 304 qui se déroule à Londres, en 1850 où va bientôt avoir lieu l’Exposition universelle au Crystal Palace.

Dans ce roman choral, s’y croisent Iris Whittle, une jeune femme de 21 ans à la clavicule déformée, travaillant avec sa sœur jumelle Rose, à la beauté à jamais gâchée par la variole, dans un magasin de poupées et rêvant d’être artiste peintre, Silas Reed, taxidarmiste amateur de macabre et de curiosités qui rêve de voir exposer ses trouvailles comme des chiens siamois empaillés au Crystal Palace, Albie un jeune orphelin débrouillard de 10 ans vivant avec sa sœur aînée se prostituant dans un taudis et Louis Frost, jeune artiste fortuné faisant partie de la FPR – Fraternité préraphaélite qui voudrait voir son talent reconnu et qui est à la recherche d’un nouveau modèle.

Le roman est à la fois un roman social, en décrivant les bas-fonds londonien de l’époque victorienne avec son lot de misères et de débrouillardises avec Albie, un roman d’amour entre Iris et Louis mais aussi un thriller avec l’inquiétant Silas. Quelle fin attend Iris?

Nos prochaines lectures envisagées:

  • (Roman jeunesse illustré) Alice, De l’autre côté du miroir de Lewis Carroll et illustré par Benjamin Lacombe et traduite dans sa version intégrale par Henri Parisot (éd. Soleil, coll. Métamorphose, 2016, 295 pages), un roman jeunesse pour les adolescents, à partir de 13 ans. Après nos billets communs avec Blandine autour d’Alice au pays des Merveilles, nous avons eu envie de prolonger nos lectures avec la suite. LC prévue pour le 18 septembre 2021.
  • (Livre de recettes) Le pain perdu du Petit Poucet et autres recettes de contes de fées de Seymourina Cruse et Marie Caudry (éd. Thierry Magnier, 2014), un livre de recettes dans lequel j’ai bien envie d’en tester certaines pour les Gourmandises de Syl.
  • (Roman jeunesse) Les quatre filles du Docteur March de Louisa May Alcott et illustré par Thomas Gilbert (éd. L’école des loisirs, coll. Illustrés classiques, 2019), un roman jeunesse à partir de 13 ans et qui est une version abrégée du texte originel.

Point lecture hebdomadaire #4

En ces derniers jours d’août 2021, voici notre point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures de la semaine dernière, celle en cours et sans doute nos prochaines.

Nos lectures du 23 au 29 août 2021:

Cette semaine, il y a surtout en albums jeunesse des relectures, en particulier des emprunts qu’il faut bientôt rendre à la médiathèque comme Les Mûres, Jojo l’ombrelle et Tout ce qu’il faut pour faire une cabane mais aussi des histoires Pat’Patrouille et une histoire, en anglais, des Octonauts et qui reprennent des épisodes des séries éponymes.

Des albums jeunesse:

  • Petite baleine de Jo Weaver

Nous lisons Petite baleine de Jo Weaver (éd. Kaléidoscope, diff. L’École des Loisirs, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans et aux magnifiques et douces illustrations bleutées. Il est temps pour Petite Baleine de quitter les eaux chaudes des mers du Sud, là où il est né, pour rejoindre avec sa mère les eaux froides du Nord, là où vit le reste de sa famille. Commence un long périple initiatique avec son lot d’aventures et de rencontres faisant vivre au baleineau de multiples émotions (émerveillement, fatigue, peur et joie par exemple). Un très bon moment de lecture en compagnie de Maman baleine et de son petit!

  • Petit Renard offre des boules de neige d’Ulrike Motschiunig et Florence Dailleux

Nous lisons aussi Petit Renard offre des boules de neige d’Ulrike Motschiunig et Florence Dailleux (éd. Minedition, 2020), un album jeunesse à partir de 3 ans. Je sais, c’est l’été mais quand j’ai vu à la médiathèque cet album jeunesse sur la table des nouveautés je n’ai pu résister. En hiver, un renardeau doit se reposer bien à l’abri de la tempête de neige mais il s’ennuie de ses amis. Il leur prépare alors une surprise et une aussi à sa mère. Une belle histoire toute mignonne à relire cet hiver ou à Noël!

Une BD jeunesse:

Nous lisons Le loup en slip de Wilfrid Lupano, Mayanna Itoïz et Paul Cauuet (éd. Dargaud, 2016, rééd. 2018), une BD jeunesse à partir de 5 ans. Il s’agit du premier tome sur les 6 déjà parus. Un loup terrifie tous les habitants de la forêt. Mais un loup en slip est-il vraiment méchant? Et que faire lorsque la peur du loup n’a plus de raison d’être? Un très bon moment de lecture avec cette BD jeunesse!

Un cosy mystery:

Après avoir vu Alexielle en parler sur le groupe FB du Mois Anglais, j’ai lu à mon la nouvelle de M. C. Beaton, La première enquête d’Agatha (éd. Albin Michel, ), disponible gratuitement sous format ebook et que j’ai réussi à lire sans liseuse, sur mon téléphone portable. Même si c’est une nouvelle, elle est très courte mais elle permet de découvrir une jeune Agatha Raisin, âgée de 26 ans, à ses débuts professionnels comme secrétaire dans une agence de communication londonienne et pourtant déjà à s’immiscer dans une enquête de police, en devenant l’agent de Sir Bryce Teller, un riche philanthrope soupçonné d’avoir assassiné son épouse.

Je la retrouve égale à elle-même, d’un caractère bien trempé, fonceuse, faisant fi des convenances et résolvant l’enquête malgré elle, au grand dam des policiers qui en sont chargés. Il y a même la première rencontre entre Agatha et un jeune adolescent de 15 ans, Roy Silver (j’avais imaginé une différence d’âge plus importante entre les deux). 

Des romans jeunesse:

  • (Roman) Anne d’Avonlea de Lucy Maud Montgomery (éd. Monsieur Toussaint Laventure, 2021, 344 pages)

Reprenant cette lecture au chapitre 15, je la termine en laissant dernière moi non plus Anne jeune fille mais une jeune femme qui part étudier à l’université de Redmond avec Gilbert, ce dernier souhaitant devenir médecin. Deux années se sont écoulées, Anne ayant mûri tout en laissant encore (même si moins) vagabonder son imagination. Elle se fait toujours aussi facilement de nouvelles amitiés, que ce soit auprès de ses jeunes élèves que des habitants d’Avonlea ou des alentours. Une lecture plaisante même si moins riche en péripéties que le premier tome!

  • Peter Pan de James Matthew Barrie (éd. Librio, rééd. 2017, 143 pages)

Blandine m’ayant donné envie de le lire après sa semaine thématique en mai 2021, je lis, à mon tour, Peter Pan de James Matthew Barrie, paru pour la première fois sous forme de pièce de théâtre puis de roman en 1911. De Peter Pan, je connaissais le dessin animé Disney de 1953, Hook ou la revanche du Capitaine Crochet de Steven Spielberg (1991) avec dans les rôles-titres Robin Williams (Peter Pan adulte) et Julia Roberts (la fée Clochette) et plus récemment Peter Pan de P.J. Hogan (2003).

Je me plonge ainsi dans le conte originel en retrouvant Wendy et ses deux frères, s’envolant d’un Londres victorien pour suivre Peter Pan et la fée Clochette au pays de l’Imaginaire et son île merveilleuse, les enfants perdus, les pirates du Jolly Ranger et le Capitaine Crochet (et sa peur d’être dévoré par le crocodile), les Indiens et autres créatures imaginaires… Mais je découvre aussi un Peter Pan bien plus sombre et tyrannique voire cruel, faisant tout pour ne pas grandir ni voir les autres le devenir, une façon pour lui de faire taire toute douleur en lui et d’oublier son passé, en particulier sa mère. En faisant venir Wendy, il offre une figure maternelle aux enfants perdus ainsi qu’à lui, même s’il refuse d’accepter que lui aussi recherche désespérément cette mère aimante et à tout jamais perdue. Un très bon moment de lecture et un retour en enfance et son imagination débordante!

Ma lecture en cours:

L’enfant Pan d’Arnaud Druelle (éd. Gulf Stream, 2021, 231 pages)

Dimanche, je finis Peter Pan et enchaîne en fin d’après-midi avec L’enfant Pan d’Arnaud Druelle (éd. Gulf Stream, 2021, 231 pages), un roman jeunesse à partir de 13 ans et m’arrêtant en soirée au chapitre 11, Peter Hawkson ayant été capturé par les pirates du Jolly Ranger. Il s’agit d’une histoire se déroulant bien avant le conte originel avec le placement de Peter à L’Oiseau Blanc, école d’éducation morale pour garçons située à Londres, dans l’East End, à Londres dans laquelle il a été placé après son passage devant le juge, en 1881 puis ses débuts au Pays-de-Nulle-Part, avant qu’il ne devienne Peter Pan. J’y retrouve les enfants perdus, les fées ou plus exactement des sylphes – Malice et Etincelle et le Jolly Ranger commandé par la redoutable capitaine Jane Crown. 

Notre mois bloguesque d’août 2021

Calanques – Saint-Aygulf

Boréon – Haute-Vésubie

C’est le début du mois de septembre alors voici un petit retour bloguesque sur août 2021, entre lectures, activités pour les enfants et balades au bord de l’eau ou dans l’arrière-pays, dans les Alpes-Maritimes ou dans le Var (même s’il a fait chaud, avec une période caniculaire et surtout le terrible incendie dans le Massif des Maures).

Écureuil roux

Comme pour juillet, j’ai été moins présente sur le blog, ayant privilégié des billets hebdomadaires sur nos dernières lectures. Peut-être vais-je continuer sur ce rythme en septembre en attendant octobre et la nouvelle édition du challenge Halloween de Lou et Hilde. J’ai d’ailleurs déjà commencé à préparer ma future PAL halloweenesque qui sera très certainement entamée dans quelques jours…

Saint-Jean-Cap-Ferrat

Nos fins d’après-midi et débuts de soirée se sont souvent ressemblés en allant à la plage pour pique-niquer, que ce soit celle de Villefranche-sur-Mer ou de Saint-Jean-Cap-Ferrat avec bien sûr des livres dans les sacs de plage.

Base Nature – Fréjus

Pendant notre escale varoise, malgré l’incendie heureusement bien loin de nous (nous avons senti la fumée surtout le matin et avons vu le passage des canadairs), nous avons quand même pu profiter des calanques et surtout de la Base Nature pour faire du vélo et contempler la pleine lune bien rouge.

En juillet, nous avions fait le plein de nouveaux livres à la médiathèque, avec 84 emprunts. Nous avons presque tout fini de lire en cette fin août, à l’exception de trois romans pour moi. Cela ne nous a pas empêché de faire un passage à la médiathèque lors de notre escale varoise.

Voici d’ailleurs mon petit bilan de participations pour ce mois d’août:

  • Challenge Petit Bac d’Enna: les 11e et 12e lignes sont en cours
  • Challenge Contes et Légendes de Bidib: 4 participations dont un billet thématique sur Baba Yaga, le mois d’août étant dédié aux contes et légendes slaves
  • Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et FondantGrignote:  2 participations gourmandes
  • Challenge 2021, cette année sera classique de Blandine et Nathalie: 2 participations même si j’ai également lu La Belle et la Bête, le mois d’août étant dédié à l’Amour
  • Challenge Les Étapes Indiennes de Hilde et Blandine: 2 participations
  • Challenge A Year in England de Lou, Titine et Cryssilda: 1 participation
  • Challenge British Mysteries de Hilde et Lou: 1 participation
  • Challenge Lire au féminin de Tiphanya: 7 participations
  • Challenge cottagecore de Missycornish: 3 participations 

Outre les cahiers de vacances, nous avons fait aussi quelques activités manuelles et artistiques. Par exemple sur Instagram pour c’est l’été avec Maman Fouine nous avons réalisé des petits crabes, m’étant inspirée de Maman happycultrice et @mes_tresses_charlotte pour l’idée des crabes et de Dessine-moi une histoire pour celle des boucles en feutres Posca que nous avons transformées en algues.

Nous avons enfin fini le mois avec une sortie vers Aiglun, dans l’arrière-pays grassois et le canyon du Riolan. Place désormais à la rentrée scolaire, en rangeant nos (re)lectures estivales pour laisser place à celles automnales. Bon mois de septembre!

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