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Nos lectures « Le jardin secret »

Pour cette journée « Garden » du 14 juin 2022 du Mois Anglais, j’ai choisi de regrouper dans un billet nos lectures autour du Jardin secret de Frances H. Burnett, un classique de la littérature jeunesse anglaise paru pour la première fois en 1911.

  • (Roman jeunesse) Le jardin secret de Frances H. Burnett

J’ai lu Le jardin secret de Frances H. Burnett (éd. Gallimard Jeunesse, coll. Folio Junior, rééd. 2010, 319 pages), un roman jeunesse à partir de 10 ans avec jolies illustrations en noir et blanc de Monique Gaudriault et Jacques Rozier. Orpheline renfermée et solitaire de 10 ans, Mary Lennox part des Indes britanniques, après le décès de ses parents pour être confié à son oncle, Archibald Craven, un vieil homme riche, bossu et malheureux depuis le décès de sa femme dix ans auparavant et qui vit dans un manoir en Angleterre, dans la lande du Yorkshire. La jeune fille va s’éveiller au contact de la Nature (et des amitiés qu’elle engendre) en arrivant à vivre pleinement son enfance et à s’épanouir à l’instar de la Nature au printemps, en s’ouvrant aux autres, en se laissant aimer et aimer en retour, que ce soit auprès de son ami Dickon ou de son cousin Colin. Un très bon moment de lecture avec ce roman d’apprentissage, ode à la Nature et à l’enfance!

  • (BD jeunesse) Le jardin secret de Maud Begon, d’après Frances H. Burnett (T1)

J’ai lu le tome 1 du Jardin secret de Maud Begon, d’après Frances H. Burnett (éd. Dargaud, 2021), une BD jeunesse adaptant le roman éponyme, lu l’année dernière et dont un second tome paraîtra le 2 septembre 2022. Sous le coup de crayon de Maud Begon, Mary Lennox se métamorphose à l’instar du jardin abandonné qui reprend vie avec l’arrivée du printemps. Comme dans le roman, la Nature est omniprésente. Une jolie adaptation réussie et fidèle de la première partie du roman!

  • (Album jeunesse) Le jardin secret de Brigitte Barrager, d’après Frances H. Burnett

Nous avons aussi lu Le jardin secret de Brigitte Barrager, d’après Frances H. Burnett (éd. Deux Coqs d’Or, 2019), un album jeunesse à  partir de 3 ans et qui adapte pour les plus jeunes lecteurs le roman éponyme avec la recherche du jardin abandonné par Mary, sa rencontre avec Dickon, l’ami des animaux puis de son cousin Colin… Un bien joli moment de lecture pour découvrir l’histoire de Mary Lennox!

Participation #4 au Mois Anglais 2022 de Lou et Titine #Garden

Participation #7 Challenge 2022 en classiques de Blandine et Nathalie #Classique anglais

Participation #3 Challenge Cottagecore 2022 de MissyCornish #Les propriétés et jardins dissimulés

challenge lecture les 50 livres recommandé par Hayao Miyazaki

Challenge des 50 livres recommandés par Miyazaki – Bidib (6)

Au fil des pages avec Le réveil des sorcières

Au hasard des romans mis en avant à la médiathèque, j’avais lu début février 2021 Le réveil des sorcières de Stéphanie Janicot (éd. Albin Michel, 2020), un roman policier sous fond de sorcellerie sur les terres bretonnes, du côté de Brocéliande.

Alors qu’elle se rendait au petit matin, sur une route verglacée, auprès d’un vieux couple dont le mari était souffrant, Diane le Goff meurt, victime d’un accident de la circulation. Elle laisse derrière elle deux filles, Viviane âgée de 19 ans et Anne-Sophie surnommée Soann, une adolescente de 13 ans. Les deux sœurs font appel à l’amie d’enfance de leur mère décédée qui vient habiter avec elles. Cette amie – la narratrice – se remémore alors son amitié avec la défunte qu’elle n’avait pas revu depuis un certain temps, depuis son départ pour Paris pour être romancière. Comment faire son deuil?

L’autrice utilise le même procédé que Daphné du Maurier dans Rebecca, le prénom de la narratrice étant occultée contrairement à l’identité omniprésente de la défunte Diane et malgré les années passées et la distance, celle-ci est encore très marquée par la personnalité de son amie (pensant même être à l’origine de son décès après avoir écrit un début de roman sur la magie noire s’ouvrant sur un drame similaire).

L’ambiance des terres bretonnes apportent une dimension magique à une enquête plus classique pour déterminer si la mort de Diane était accidentelle ou criminelle. On retrouve dans ce roman des légendes celtes et arthuriennes, des secrets de famille et des non-dits qui rappellent des temps anciens où la figure de la guérisseuse pouvait être mal vue voire même condamnée pour sorcellerie. Il y est également question de deuil, de maternité, de relations parent/enfant, de transmission intergénérationnelle et aussi du pouvoir de l’écriture.

J’ai apprécié le personnage de Soann, la fille cadette de la défunte en quête de sens et d’identité, qui découvre qu’elle pourrait avoir le même don que sa mère et qui tente de gérer comme elle peut le deuil de sa mère en menant sa propre enquête, d’une façon différente de Viviane qui lui apparaît plus détachée, à vouloir jouer la grande avec son petit ami. Un bon moment de lecture qui me donne surtout envie de me replonger dans les légendes et mystères de Brocéliande!

Pour un autre avis sur ce roman: Fondant qui a bien plus apprécié que moi.

Participation #23 au Challenge Halloween 2021 de Hilde et Lou #Sorcière guérisseuse

Participation #68 au Challenge Lire au féminin de Tiphanya #Autrice française

Challenge Petit Bac d’Enna #13 Catégorie Objet: « Réveil »

Participation #64 au Challenge Contes & Légendes 2021 de Bidib #Légendes celtes et arthuriennes

Au fil des pages avec le tome 1 de Magic Charly

Cet été, j’avais lu le tome 1 de la trilogie Magic Charly, L’apprenti d’Audrey Alwett (éd. Gallimard Jeunesse, 2019, 416 pages), un roman jeunesse fantasy à partir de 12 ans et avec une magnifique illustration de couverture de Stan Manoukian. C’est aussi une lecture commune (T1 et/ou T2) dans le cadre du Challenge Halloween 2021.

Charly Vernier, un adolescent noir de 14 ans vit seul avec sa mère à Aix-en-Provence, cette dernière étant la directrice de son école, L’école des Allumettes Hurluberlu et son chat blanc. Mais après 5 ans d’absence, sa grand-mère maternelle, Dame Mélisse vient habiter chez eux bien affaiblie, ayant complètement perdu la mémoire. Le monde de Charly s’en trouve alors totalement chamboulé, ce dernier découvrant tout un pan de son passé depuis longtemps enfoui: il fait partie d’une famille de Magiciers.  Sa grand-mère n’est pas devenue sénile mais ses souvenirs lui ont été volés. Il décide donc d’apprendre la magie et devient un apprenti magicier auprès de Maître Lin qui a bien connu Dame Mélisse. Cela sera-t-il suffisant pour sauver sa grand-mère? Heureusement, il pourra compter sur deux élèves de son école, sa meilleure amie June qui n’a pas sa langue dans la poche et qui passe son temps à rechercher la meilleure bêtise à faire sans craindre les conséquences contrairement à Charly, plus posé et qui fait tout pour éviter les conflits et aussi la très sérieuse et mystérieuse Sapotille.

Comme dans tout tome introductif, Audrey Alwett prend le temps de poser le décor très riche et détaillé en emmenant le lecteur dans un monde magique à la fois drôle et fantaisiste, même si on sent déjà un côté sombre et inquiétant. Avec une imagination foisonnante couplée à un vocabulaire déjanté fait de mots inventés et de mots-valises, l’autrice fourmille d’idées magiques farfelues comme par exemple, Pépouze, une serpillière animée qu’on voudrait bien aussi adopter, des grimoires volants ou des citrolles pour se déplacer ou bien encore des gourmandises magiques qu’on dégusterait bien comme des beignets de prédiction avec beaucoup de sucrétincelle, des apocachips, des croissoleils ou même des madeleines de réconfort. On retrouve certes des allusions plus ou moins prononcées à Harry Potter ou au Disque-Monde mais Audrey Alwett a su créer un univers bien à elle, ce qu’elle avait déjà fait en tant que scénariste de Princesse Sara, une BD jeunesse. 

Puis  l’histoire s’accélère et j’enchaîne alors les chapitres, découvrant comme Charly avec enthousiasme ou inquiétude le monde bien codifié des Magiciers comme peut l’être celui des quiétons (ceux qui vivent sans magie et sans même connaître son existence). Il est ainsi question de quête initiatique, d’amitié, de secrets de famille et de complots. D’autre part, au-delà de la dimension magique, ce premier tome aborde des questions sociétales comme par exemple les dérives du pouvoir politico-judiciaire, le marché parallèle de magie qui est présentée comme une ressource rare, les inégalités de classe ou bien encore la mort, la vieillesse…

Un très bon moment de lecture en compagnie d’un trio d’adolescents attachants et qui se termine en plein suspense! Au passage, je coche la case 12 « French touch » du bingo puisque l’histoire se passe dans la ville revisitée d’Aix-en-Provence et dans une ville fictive de Bretagne, Thadam. Le troisième et dernier tome, Après tout, le déluge est prévu pour septembre 2022. Mais avant cela, je consacrerai, dimanche prochain, un billet au tome 2, Bienvenue à Saint-Fouettard lu ce mois-ci. 

Pour d’autres avis sur le tome 1: Chicky Poo, Tiphanya (IG), Hilde, Blandine (et son trio) et Lou.

Participation #15 au Challenge Halloween 2021 de Hilde et Lou #Roman jeunesse et case 12 du bingo

Participation #65 au Challenge Lire au féminin de Tiphanya #Autrice française

Participation #69 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant #Gourmandises magiques

Nos lectures « Jack et le Haricot magique »

Pour la journée du 9 juin 2021 du Mois Anglais, « Littérature jeunesse/Album jeunesse », j’ai choisi de rédiger un billet thématique autour de nos lectures de Jack et le Haricot magique, ce conte populaire étant d’origine anglaise. On retrouve différentes versions écrites de ce conte dans lequel Jack, un jeune garçon pauvre et vivant avec sa mère échange la vache qu’il devait vendre au marché contre des haricots magiques qui lui permettent d’accéder au royaume d’un riche géant dont il vole les biens et qui finit tuer. Parmi les plus connues, on peut noter celle de Benjamin Tabart en 1807 qui est une version moralisée avec la présence d’une fée (le géant ayant dérobé les biens du père de Jack) ou encore celle de Joseph Jacobs, en 1890 sans la morale.

  • Jacques et le haricot magique de Richard Walker et Niamh Sharkey

Mon mini lutin a lu et étudié à l’école Jacques et le haricot magique de Richard Walker et Niamh Sharkey (éd. Flammarion Jeunesse, coll. Père Castor, 2000), un album jeunesse à partir de 4 ans.

Alors que sa mère avait envoyé Jacques vendre leur vache Daisy pour éviter de mourir de faim, le jeune garçon l’échange contre des haricots magiques. Pendant la nuit, les haricots poussent tellement que le lendemain matin, Jacques grimpe dessus jusqu’au royaume des nuages où vit un ogre et sa femme. La richesse sera-t-elle au rendez-vous?

Nous retrouvons les différentes péripéties du conte traditionnel, Jacques arrivant à faire fortune aux dépens d’un riche ogre.  Dans cette version, le conte est raconté par un vieil homme qui aurait rencontré Jacques et sa mère, ce qui tend à rendre, si l’on peut dire, crédibles les incroyables aventures du petit garçon pour surmonter avec sa mère la famine. Le narrateur ponctue son récit de jugement de valeur sur Jacques et sa mère, leur pauvreté étant due à leur fainéantise. Pourtant, Jacques se révèle courageux et audacieux en acceptant un surprenant échange puis en allant à trois reprises dans le château de l’ogre, amadouant par deux fois sa femme. Les illustrations complètent le texte dans sa dimension magique et onirique.

Pour prolonger la lecture pendant la semaine de l’école à la maison en avril 2021, mon mini lutin avait également dû planter des graines pour une « expérience scientifique ». Trois graines ont d’ailleurs germé et formé des petits plants qui ont rejoint notre jardinière. Et pour des idées d’exploitation pédagogique en maternelle sur le blog de Chez Lulu. Cette histoire lui a tellement plu qu’elle a été pendant plusieurs semaines lue en journée ou comme histoire du soir (dans ce cas, plus souvent la version que je présente ensuite).

  • Jack et le haricot magique d’Agnès Cathala et Marion Girerd

Nous lisons également Jack et le haricot magique d’Agnès Cathala et Marion Girerd (éd. Milan Jeunesse, coll. Mes p’tits contes, 2014, rééd. 2020), un album jeunesse petit format cartonné pour les 3/6 ans. L’histoire se rapproche beaucoup de la première avec les trois vols de Jack (sac d’or, poule d’or et harpe magique), sans le jugement de valeur d’un narrateur et en reprenant la trame narrative traditionnelle d’un conte « il était une fois… ». 

Les illustrations sont rondes et colorées, plus lumineuses et dans un décor british. Le petit garçon apparaît plus espiègle et dégourdi face à un ogre plus terrifiant. Une bien jolie version illustrée pour les jeunes lecteurs!

  • Mickey et le haricot magique de Disney

J’emprunte enfin à la médiathèque un version revisitée avec Mickey et ses amis que nous lisons début mai après les précédents albums jeunesse: Mickey et le haricot magique de Disney (éd. Hachette, 2001), un album jeunesse à partir de 3 ans, d’après le court métrage d’animation éponyme de Walt Disney de 1947.

Une harpe chantante rend prospère et pleine de joie la vallée enchantée où habitent trois fermiers, Mickey, Donald et Dingo. Mais un jour, la harpe est volée. La vallée sombre dans la désolation et la famine. Affamés, les trois fermiers décident de vendre leur vache. Mickey est chargé de la vente mais au lieu de ramener de la nourriture, il revient avec des haricots magiques, ce qui provoque la colère de Donald. Les trois fermiers vont se coucher le ventre vide. A leur réveil, les haricots ont poussé. Après avoir grimpé tout en haut des tiges, les trois amis découvrent le château de Willy le géant où règne l’opulence, le trio ne pouvant s’empêcher de manger la nourriture présente. Mais cet ogre ne serait-il pas l’auteur du vol?

Revisitant le conte de Jack et le haricot magique, l’histoire n’en retient que quelques éléments, Mickey incarnant Jacques, Willy le géant étant un ogre cupide à l’origine du déclin de la vallée enchantée et l’affrontement qui s’ensuit entre les trois fermiers et le géant. Les illustrations reprennent celle du court métrage.

  • Dans les poches d’Alice, Pinocchio, Cendrillon et les autres… d’Isabelle Simler

Pour finir, nous devinons les poches de Jack dans Dans les poches d’Alice, Pinocchio, Cendrillon et les autres… d’Isabelle Simler (éd. courtes et longues, 2015), un album jeunesse dans lequel l’autrice s’est amusée à imaginer ce que pouvait contenir les poches des personnages principaux des contes populaires traditionnels.

Participation #7 au Mois Anglais de Lou, Titine et Cryssilda #Album jeunesse

Participation #24 Challenge A year in England pour les 10 ans du Mois Anglais de Lou, Titine et Cryssilda #Album jeunesse

Participation #46 au Challenge Contes & Légendes 2021 de Bidib #Conte traditionnel

Participation #19 au challenge 2021, cette année sera classique de Blandine et Nathalie #Conte populaire anglais

challenge 2021 lire au féminin

Participation #41 au Challenge Lire au féminin de Tiphanya #Autrice/illustratrice française

Challenge Petit Bac d’Enna #9 et 10 Catégorie Aliment/Boisson: « Haricot »

Au fil des pages avec De l’autre côté du pont

J’ai lu hier soir De l’autre côté du pont de Padma Venkatraman (éd. L’école des loisirs, coll. Médium, 2020, 239 pages), un roman jeunesse à partir de 11 ans se déroulant à Chennai, en Inde. Pour fuir des violences domestiques, deux jeunes sœurs – Viji âgée de 12 ans et Rukku, son aînée d’un an et handicapée mentale – s’enfuient de chez elles. Leur père violent bat régulièrement leur mère et a fini par leur porter des coups. Arrivées dans la grande ville, Viji est bien décidée à trouver un emploi et qui sait peut-être devenir plus tard enseignante et s’occuper de Rukku.

Mais la réalité n’est pas si simple. Vite perdues dans la grande ville et sans argent, elles doivent d’abord se trouver un refuge pour la nuit. Sur un pont en ruine, elles voient un abri de fortune mais qui appartient à deux jeunes garçons sans-abris, Muthu et Arul, tout aussi démunis qu’elles mais qui ont dû apprendre à survivre dans les rues de Chennai. Les quatre enfants s’unissent pour former une nouvelle famille, Viji devenant « Akka », grande sœur et recueillent un petit chien errant, Kutti. Dans une liberté précaire, ils doivent, chaque jour, trouver de quoi se nourrir en évitant les dangers, les mauvaises rencontres et les maladies. Viji a-t-elle fait le bon choix en fuguant avec sa sœur?

Découpée en chapitres courts, l’histoire est racontée par Viji dans une longue lettre qu’elle écrit à sa sœur Rukku, dans un style empathique, interpellant et englobant le jeune lecteur (« tu », « nous »). La jeune fille revient sur leur fuite pour un avenir meilleur, revenant sur leur parcours partagé avec les deux garçons, entre souffrances et lueurs d’espoir. Arul et Muthu ont également un lourd passé qui les a conduit dans la rue.

Les thèmes abordés sont durs, touchants et révoltants avec la difficile et misérable (sur)vie des enfants des rues en Inde, très jeunes et pourtant si débrouillards pour ne pas finir morts dans l’indifférence générale. Comme il s’agit d’une lecture jeunesse, les quatre enfants font heureusement de bonnes rencontres comme la femme d’un vendeur de thés qui donne à Rukku des perles pour faire des colliers ou le jardinier qui leur jette une orange, mais pas tout le temps.

Il y est question des inégalités sociales en Inde, de misère et de violences subies par les enfants des rues: mendicité, travail des enfants (dans les ateliers clandestins ou dans des décharges pour récupérer des déchets recyclables comme le verre en échange de quelques roupies), recherche de restes de nourriture et d’eau, rivalités entre bandes, peur d’être enlevés… Mais aussi de religion et de handicap.

D’autre part, la relation entre les deux soeurs, Viji et Rukku est très joliment décrite. Viji porte sa grande sœur handicapée tout autant que Rukku qui, avec son insouciance et son regard particulier sur le monde, est aussi un des piliers du groupe.

Le message porté par ce roman est aussi lumineux et bienveillant que la magnifique illustration de couverture de  Jennifer Bricking. Les quatre enfants sont forts, dignes, courageux et recherchant toujours la meilleure conduite à tenir et de faire le bien. Un moment de lecture très émouvant (mais pas larmoyant) et basée sur des faits réels, l’autrice ayant repris des témoignages d’enfants défavorisés en Inde!

Mise à jour du 31 juillet 2021: d’autres avis lors d’une LC sur ce roman jeunesse: Blandine, Hilde, Bidib, Agathocroustie (IG) et Inde en livres.

Participation #2 Les Étapes Indiennes 2021 de Hilde et Blandine #6 Jeunesse indienne

challenge 2021 lire au féminin

Participation #35 au Challenge Lire au féminin de Tiphanya #Autrice indo-américaine

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