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Billet de suivi: Un mois au Japon 2022

Après une Quinzaine British Mysteries le mois dernier, Hilde et Lou organisent au mois d’avril 2022 Un mois au Japon. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur leurs blogs. Il est notamment prévu trois lectures communes avec un titre au choix d’Aki Shimazaki pour le 8 avril 2022, d’Yoko Ogawa pour le 15 avril 2022 et d’Hiro Arikawa pour le 25 avril 2022.

Ce billet sera actualisé au fil du mois en tenant compte uniquement de nos lectures sur le Japon tout en faisant un billet séparé pour chaque participation.

Semaine 1 du Mois au Japon:

Nous avons déjà commencé en début de semaine notre escale au Japon en lisant deux albums jeunesse d’Ayano Imai, Pendant qu’il dort… (éd. Minedition, 2013) et Songe dans la forêt (éd. Minedition, 2018) et dans lesquels nous retrouvons une même thématique avec la protection de l’environnement.

Semaine 2 du Mois au Japon:

Mardi 5 avril 2022, je suis allée à la médiathèque et ai pris deux nouvelles lectures pour le Mois au Japon: un album jeunesse rigolo sur la filiation avec Mon papa et moi de Tadao Miyamoto (éd. Mango, 1995) – un petit ours demandant à son père, lors d’une partie de pêche à la ligne, comment il peut être sûr qu’il est son père et une nouvelle pour adulte avec L’étrange bibliothèque d’Haruki Murakami et illustré par Kat Menschik (éd. Belfond, coll. 10/18, n°5134, 2005, rééd. 2016, 73 pages). L’album jeunesse a été lu comme histoire du soir dès le soir même.

Samedi 9 avril 2022, j’ai lu dans la matinée Tsubaki d’Aki Shimazaki emprunté la veille à la médiathèque avec d’autres romans japonais comme La Marche de Mina d’Yoko Ogawa (éd. Actes Sud, 2008, 318 pages) pour la LC du 15 avril 2022, Le Dévouement du suspect X de Keigo Higashino (éd. Actes Sud, 2011, 316 pages), un roman policier et qui se passe avant Un café maison que j’avais lu l’année dernière et 4 des 5 romans du cycle 3 d’Aki Shimazaki, L’ombre du chardon.

  • (Album jeunesse) Mon papa et moi de Tadao Miyamoto (éd. Mango, 1995), un album jeunesse à partir de 3 ans qui aborde avec humour et tendresse la question de la filiation lors d’une partie de pêche à la ligne de Papa Ours et son fils
  • (Roman adulte) 8 avril 2022/LC autour d’un livre d’Aki Shimazaki: Tsubaki (éd. Actes Sud, coll. Babel, n°712, 1999, rééd. 2016, 115 pages), un roman court constituant le premier tome de la première pentalogie Le poids des secrets de cette autrice japonaise avec l’histoire familiale d’Yukiko, une survivante de la bombe atomique tombée sur la ville de Nagasaki et qui cache un lourd secret familial qu’elle révèle à sa fille dans une lettre-testament à son décès.

Cette semaine, Hilde et Lou ont proposé deux check-lists pour pimenter le challenge de quelques défis, et ce de façon facultative.

Semaine 3 du Mois au Japon:

En cette semaine de vacances, je vais essayer de chroniquer d’anciennes lectures et visionnages de films qui nous avait plu les années précédentes et dont j’avais pu parler très brièvement au détour d’un RAT, d’un billet de suivi ou d’un point lecture. J’ai également emprunté des romans japonais à la médiathèque la semaine dernière.

  • (Film d’animation) Le conte de la princesse Kaguya d’Isao Takahata, film d’animation japonais de 2013 du Studio Ghibli, à partir de 10 ans et s’inspirant d’un conte traditionnel japonais, Le conte du coupeur de bambou datant sans doute du IXe ou Xe siècle
  • (Album jeunesse) La neige en été de Régine Joséphine et Bing Liu (éd. Anna Chanel, 2010), un album jeunesse à partir de 6 ans avec la rencontre avec d’un cerisier et d’une princesse qui se déroule en Chine mais qui aurait pu l’être au Japon.
  • (Roman adulte) Les Terriens de Sayaka Murata (éd. Denoël, 2021, 242 pages), un roman japonais bien plus sombre et noir que ne le laisse supposer le hérisson tout mignon de la couverture avec la promesse de deux cousins, Natsuki et Yû faite lorsqu’ils étaient enfants de survivre, quoi qu’il arrive comme ne pas finir Terrien dans la grande Fabrique à humain et rejoindre la planète, Pohapipinpobopia.
  • (Album jeunesse) Le cerf-volant de Toshiro de Ghislaine Roman et Stéphane Nicolet (éd. Nathan Jeunesse, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans et qui a fait partie de la sélection CE1 du 31e Prix des Incos en 2020, avec la bienveillante et complice relation entre un jeune garçon mutique et son grand-père âgé et au dos voûté au fil des saisons.
  • (Roman adulte) 15 avril 2022/LC autour d’un livre d’Yoko Ogawa: La Marche de Mina (éd. Actes Sud, 2008, 318 pages), un roman se déroulant dans les années 70 au Japon avec l’histoire de Tomoko, une petite fille de 12 ans qui au décès de son père va vivre pour un an chez son oncle et sa tante.

Ce week-end, outre des (re)lectures de Pâques, nous avons relu Le pique-nique de la famille Souris de Kazuo Iwamura (éd. L’école des loisirs, 1988, rééd. 2021), un album jeunesse à partir de 3 ans tout mignon et aux jolies illustrations dans lequel nous suivons la famille Souris partir en pique-nique.

Semaine 4 du Mois au Japon:

Ce 20 avril 2022, nous allons à la médiathèque en début d’après-midi et après plusieurs parties de jeux de société (puzzles et dobble), nous rentrons non sans emprunter trois albums jeunesse d’auteurs japonais ou se déroulant au Japon: Kimiko et le botaniste d’Hideko Ise (éd. Seuil Jeunesse, 2009), L’Arbre de Sobo de Marie Sellier et Charlotte Gastaut (éd. de la Réunion des musées nationaux – Grand Palais, 2018) et La formidable aventure du chat de Maître Kuniyoshi de l’Atelier SAJE à savoir Emma Giuliani et Ariane Grenet, d’après les estampes d’Utagawa Kuniyoshi (éd. Paris Musées, 2015).

  • (Album jeunesse) Le pique-nique de la famille Souris de Kazuo Iwamura (éd. L’école des loisirs, 1988, rééd. 2021), un album jeunesse à partir de 3 ans que nous relisons régulièrement depuis que nous l’avons découvert à la médiathèque il y a trois ans.
  • (Manga) le tome 1 de Kamisama, La mélodie du vent de Keisuke Kotobuki (éd. Ki-oon, 2014, rééd. 2021, 136 pages), un manga entièrement en couleurs à partir de 6 ans et que j’ai repéré chez Pativore.
  • (Roman jeunesse) le tome 4 de Charlock, Attaque chez les Chats-Mouraïs de Sébastien Perez et Benjamin Lacombe (éd. Flammarion Jeunesse, 2021, 77 pages), un roman jeunesse pour les 8/10 ans et qui est pour le moment de le dernier paru de cette série livresque. Cette fois-ci, Charlock enquête en 2020 à Tokyo sur d’étranges chats.

Pendant le week-end, je lis Azami (éd. Actes Sud, 2015, 134 pages), Suisen (éd. Actes Sud, 2017, 162 pages) et Fuki-no-tô (éd. Actes Sud, 2018, 146 pages) à savoir 3 des 5 romans courts composant la troisième pentalogie d’Aki Shimazaki, L’Ombre du chardon, ayant pu en emprunter 4 à la médiathèque à l’exception du deuxième, Hôzuki. Je commence également dimanche soir le dernier tome de cette pentalogie: Maïmaï. Ces courts romans abordent la famille, la relation de couple, la sexualité au Japon encore bien régi par le poids des traditions familiales.

Semaine 5 du Mois au Japon:

Le 25 avril 2022, je continue et finis de lire Maïmaï d’Aki Shimazaki (éd. Actes Sud, 2019, 174 pages), un roman court qui se focalise cette fois sur Tarô, désormais âgé de 26 ans, sa mère, Mitsuko venant de décéder. Pour l’une des histoires du soir, nous lisons L’Arbre de Sobo de Marie Sellier et Charlotte Gastaut.

Ce 26 avril 2022, j’emprunte à la médiathèque des albums jeunesse: des petits contes zen avec Akiko et Takiji d’Antoine Guilloppé (Akiko la courageuse, Akiko la voyageuse et Takiji l’audacieux, éd. Picquier Jeunesse), L’Odyssée de Kumiko L’Odyssée de Kumiko de Nancy Guilbert et Marie-Alice Harel (éd. Gautier-Languereau, 2018) et (avec retard pour la LC) Les mémoires d’un chat d’Hiro Arikawa (éd. Actes Sud, rééd. 2019, 324 pages).

  • (Roman adulte) 25 avril 2022/LC autour d’un livre d’Hiro Arikawa: Les mémoires d’un chat (éd. Actes Sud, rééd. 2019, 324 pages), un roman que j’avais emprunté à la médiathèque l’année dernière mais que je n’avais finalement pas lu.
  • (Album jeunesse) L’Arbre de Sobo de Marie Sellier et Charlotte Gastaut (éd. de la Réunion des musées nationaux – Grand Palais, 2018), un album jeunesse grand format à partir de 6 ans.
  • (Album jeunesse) L’Odyssée de Kumiko de Nancy Guilbert et Marie-Alice Harel (éd. Gautier-Languereau, 2018), un album jeunesse que j’avais repéré lors de l’édition de l’année dernière d’Un Mois au Japon chez Fondant et Blandine.
  • (Roman adulte) Les Délices de Tokyo de Durian Sukegawa (éd. Albin Michel, 2016), un roman que j’ai lu l’année dernière et qui a fait l’objet d’une adaptation cinématographique que je n’ai pas encore vu.
  • (Album jeunesse) Noa et ses origamis de Céline Lavignette-Ammoun et Baptistine Mésange (éd. Akinomé, 2020), un album jeunesse à partir de 4 ans que nous avions déjà lu les années précédentes. Après la lecture, nous avions même essayé de faire des origamis à partir des explications fournies à la fin de l’histoire.
  • (Album jeunesse) C’est peut-être une pomme de Shinsuke Yoshitake (éd. Kaléidoscope, diff. L’école des loisirs, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans qui nous a bien fait rire avec un petit garçon qui procrastine devant une pomme.  Un très bon moment de lecture complètement loufoque, absurde autour de l’imagination débordante d’un petit garçon ou bien plus philosophe et scientifique qu’il n’y paraît, ne se fiant pas à ses sens et aux apparences, mettant alors en pratique le doute cartésien!

Le 27 avril 2022, à peine emprunté, nous lisons et relisons C’est peut-être une pomme de Shinsuke Yoshitake (éd. Kaléidoscope, diff. L’école des loisirs, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans. Je commence également à lire, avec retard pour la LC du 15 avril, La Marche de Mina d’Yoko Ogawa (éd. Actes Sud, 2008, 318 pages).

Petit bilan de cette édition du Mois au Japon: encore une jolie évasion livresque au Japon cette année! Merci encore à Hilde et Lou pour l’organisation! Comme Le mois au Japon se poursuit en mai comme l’année dernière, je poursuis mon escale le mois prochain avec nos dernières lectures et billets. J’espère aussi prendre le temps de visionner quelques films… À l’année prochaine!

Un mois au Japon 2022 de Lou et Hilde

Au fil des pages avec Le restaurant de l’amour retrouvé

Début mai 2021, pour prolonger le Mois au Japon, je lis Le restaurant de l’amour retrouvé d’Ito Ogawa (éd. Picquier, 2015, 254 pages), un court roman japonais. Rinco, une jeune femme de 25 ans retourne, après une rupture amoureuse, dans son village natal où vit sa mère qu’elle n’a pas revu depuis 10 ans. Le choc de la rupture lui en a fait perdre de la voix, son ex petit-ami ayant vidé tout l’appartement, y compris les ustensiles de cuisine et à l’exception de la jatte de saumure héritée de sa grand-mère maternelle.

Sa mère accepte qu’elle reste à condition de s’occuper de son cochon femelle apprivoisé, Hermès. Aidé d’un ami de la famille Kuma, Rinco se reconstruit petit à petit en faisant le métier qu’elle aime, cuisiner dans son propre restaurant, « L’Escargot ». Les relations avec sa mère restent tendues, entre non-dits, rancunes et secret familial. Parviendra-t-elle à se remettre de son chagrin amoureux et à renouer avec sa mère grâce à son art culinaire?

Ce roman court au style simple est porté par la cuisine gastronomique de Rinco qui vit délicatement et lentement au rythme des saisons et des plats qu’elle prépare minutieusement et avec beaucoup d’amour, avec des ingrédients locaux et de saison et de générosité aux personnes qui viennent manger dans son restaurant. Sa cuisine, héritée de sa grand-mère maternelle, devient thérapie et réconfort pour elle et pour les autres. Ses plats deviennent sa voix. Chaque plat qu’elle prépare est en effet unique et raffiné et contribue à rendre heureux celui ou celle qui le savoure; ce qui fait bientôt la réputation du restaurant de Rinco.

S’éloignant des rapports conflictuels mère/fille, le texte est un vrai plaisir pour les papilles jusqu’à ce que la mère de Rinco reprenne une place dramatique dans l’histoire (la fin étant un peu abrupte avec en particulier le sort réservé au cochon et (trop) longuement décrit mais qui fait sens dans la reconstruction de Rinco). Avec une touche toute personnelle, la jeune femme crée des plats japonais qui donne envie d’être savourés.

Il y est ainsi question de cuisine comme art-thérapie, de générosité, d’amitié, d’amour (filial, maternel et envers soi-même), de partage mais aussi de Nature avec une montagne généreuse et accueillante au bord d’une source thermale. Un bon moment de lecture feel good dans une atmosphère typiquement japonaise (avec les plats japonais ou les statues de jizô au bord des routes)!

Pour un autre avis: Katell.

Participation #25 Un mois au Japon 2021 de Hilde et Lou #Roman

Participation #3 au Challenge Cottagecore 2021 de MissyCornish #Retour aux sources

challenge 2021 lire au féminin

Participation #36 au Challenge Lire au féminin de Tiphanya #Autrice japonaise

Participation #55 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant #Cuisine japonaise

Au fil des pages avec Le Japon d’Anno

En vue de la journée dédiée à un livre ou photos sur le Japon, j’ai emprunté à la médiathèque Le Japon d’Anno d’Anno Mitsumana (éd. L’école des loisirs, 2014), un album jeunesse à partir de 8 ans. Mais après sa lecture, je préfère le présenter ce jour, pour la journée « Hommage aux victimes de Fukushima ». En effet, l’album jeunesse se décompose en trois parties:

  • une première partie d’illustrations dans un Japon ancien. L’histoire sans textes se déroule au fil des saisons, du printemps à l’automne: des pêcheurs au bord de l’eau, des cerisiers en fleurs, des paysans faisant les moissons ou bien encore participant aux fêtes qui ponctuent les différentes saisons (fanfares, parades, tournois de go…), etc. A l’image de la couverture pleine page, nous nous arrêtons sur les illustrations pour découvrir les nombreux détails: des enfants qui jouent, un train à vapeur, une maison en train d’être construite… Il est d’ailleurs possible de ne montrer que cette première partie aux plus jeunes lecteurs.
  • une deuxième partie intitulée « Quand il n’y avait pas d’électricité », une réflexion philosophique d’Anno Mitsumana (1926/2020) sur le bonheur et le progrès à partir de ses souvenirs d’enfance dans un Japon rural et dans lequel l’utilisation de l’énergie nucléaire n’avait pas pris temps d’importance et bien avant la catastrophe nucléaire de Fukushima du 11 mars 2011.  Avec la nostalgie du monde d’avant, l’auteur fait le plaidoyer d’un monde sans nucléaire et défend l’idée d’un retour à une vie simple, plus respectueuse de la Nature et sans technologies et qui lui apparaît comme une source de plus grand bonheur que notre monde actuel.
  • et enfin une troisième partie, les explications de l’auteur sur le choix des planches avec quelques anecdotes personnelles comme par exemple la raison pour laquelle Anno Mitsumina a dessiné un enfant dans un arbre à la page 25. Cela donne une autre portée aux illustrations avec un Japon rural empreint de nostalgie et idéalisé par le prisme de l’enfance de l’auteur. Les êtres humains et la Nature semblent vivre en harmonie et en toute simplicité, dans une douceur tranquille.

Cet album jeunesse offre ainsi plusieurs grilles de lecture, une évocation d’un Japon ancien et rural avec ses rites et coutumes qui entraînera les jeunes lecteurs dans la découverte d’un autre pays ou encore pour les plus grand une réflexion philosophique sur le monde de demain que nous souhaitons en revenant sur l’opposition classique Nature/Progrès ou en allant plus loin à celle tout aussi classique et pourtant si prégnante Libertés/Sécurité ou bien encore Avantages/Risques. Un bon moment de lecture!

Participation #9 Un mois au Japon 2021 de Hilde et Lou #Album jeunesse

Challenge Petit Bac d’Enna #7 Catégorie Prénom: « Anno »

Notre PAL pour Un Mois au Japon 2021

Pour ce premier jour d’Un Mois au Japon 2021, Hilde et Lou nous proposent de présenter notre PAL (pile à lire) pour le mois d’avril.  C’est le moment idéal de pouvoir lire quelques mangas que je n’ai pas encore pu aller emprunter à la médiathèque. Heureusement, contrairement à l’année dernière, les médiathèques restent ouvertes. J’ai prévu essentiellement des albums jeunesse, que ce soit d’auteurs japonais ou des histoires se déroulant au Japon et aussi un roman policier japonais.

Des albums jeunesse:

  • Mercredi, c’est raviolis! de Makato Tachibana et Setsuko Hasegawa (éd. L’école des loisirs, 2008), un album jeunesse à partir de 3 ans et se finissant sur une recette de raviolis japonais, des gyôzas qui peuvent être bouillis ou frits (LU ET RELU)
  • Les amants papillons de Benjamin Lacombe (éd. Seuil Jeunesse, 2007), un album jeunesse grand format pour les 6/9 ans selon l’éditeur mais voire plutôt pour les adolescents, une histoire d’amour tragique magnifiquement illustrée et inspirée d’une ancienne légende (LU)
  • Le cerf-volant de Toshiro de Ghislaine Roman et Stéphane Nicolet (éd. Nathan Jeunesse, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans selon l’éditeur (DÉJÀ LU)
  • Le maître des estampes de Thierry Dedieu (éd. Seuil Jeunesse, 2010), un album jeunesse pour les 6/9 ans selon l’éditeur(LU)
  • La balade de Koïshi d’Agnès Domergue et Cécile Hudrisier (éd. Grasset Jeunesse, 2019), un album jeunesse à partir de 3 ans en forme de livre-accordéon (LU)
  • Le Neige Express de Naokata Mase (éd. Seuil Jeunesse, 2013), un album jeunesse à partir de 3 ans (LU ET RELU)
  • Pique-nique sous la pluie de Naokata Mase (éd. Seuil Jeunesse, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans et avec des découpes (LU ET RELU)
  • Tu rentres quand? de Nagako Suzuki (éd. Nobi Nobi!, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans. Après avoir préparé un gâteau d’anniversaire pour son père, une petite fille attend avec impatience son retour. Coup de cœur pour cet histoire toute mignonne et gourmande avec des illustrations douces et aux couleurs automnales! (LU ET RELU)
  • Le voyage de Pippo de Satoe Tone (éd. Nobi Nobi!, 2014), un album jeunesse à partir de 3 ans (DÉJÀ LU)
  • Où est mon étoile? de Satoe Tone (éd. Nobi Nobi!, 2015), un album jeunesse grand format partir de 3 ans et qui aborde avec poésie, douceur et délicatesse le thème du deuil (LU)
  • Le portrait de Nounours de Mari Kasai et Chiaki Okada (éd. Nobi Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans (LU ET RELU)
  • La fête de la tomate de Satomi Ichikawa (éd. L’école des loisirs, 2012), un album jeunesse à partir de 3 ans, avec Hana, une petite fille qui cultive des plants de tomates dans le potager de sa grand-mère (DÉJÀ LU)
  • Le poisson rouge de Nanami de Yuichi Kasano (éd. L’école des loisirs, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans (LU)
  • Quand il fait nuit d’Akiko Miyakoshi (éd. Syros, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans, une histoire douce et poétique (LU)

De la poésie avec les haïkus:

Des légendes et des contes japonais:

  • Issunbôshi, le petit samouraï d’Alice Brière-Haquet et Sanoe (éd. Nobi Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de 6 ans, une version japonaise de Tom Pouce ou du Petit Poucet (LU)
  • Urashima de Margaret Mayo et Jane Ray (éd. Hatier Jeunesse, coll. Ribambelle, 1993, rééd. 2005), un conte traditionnel japonais à partir de 4 ans (LU)
  • le recueil 1 de Mukashi Mukashi, Contes du Japon d’Alexandre Bonnefoy (éd. Issekinicho, 2019), un recueil de contes à partir de 5 ans
  • le recueil 2 de Mukashi Mukashi, Contes du Japon de Delphine Vaufrey (éd. Issekinicho, 2019), un recueil de contes à partir de 5 ans
  • Yōkai! Le monde étrange des monstres japonais de Fleur Daugey et Sandrine Thommen (éd. Actes Sud Junior, 2017), un album jeunesse regroupant de nombreuses légendes japonaises à partir de 6 ans

Des mangas:

  • le tome 1 des Pounipounis de Mashiro Minamino (éd. Nobi Nobi!, 2019), un manga kawaï à partir de 8 ans selon l’éditeur mais classé à partir de 3 ans à notre médiathèque (LU)
  • le tome 2 des Pounipounis de Mashiro Minamino (éd. Nobi Nobi!, 2019), un manga kawaï à partir de 8 ans selon l’éditeur mais classé à partir de 3 ans à notre médiathèque (LU)

Des romans jeunesse:

  • le tome 1 des Chroniques de l’érable et du cerisier, Le masque de Nô de Camille Monceaux (éd. Gallimard Jeunesse, 2020), un roman jeunesse à partir de 12 ans selon l’éditeur
  • L’Amour, le Japon, les sushis et moi de N. M. Zimmermann (éd. Albin Michel Jeunesse, 2016), un roman jeunesse à partir de 13 ans et qui suit le déménagement de Lucrèce, une adolescente de 15 ans et de sa famille au Japon (LU)

Des romans adulte:

  • Un café maison de Keigo Higashino (éd. Actes Sud, coll. Actes noirs, 2012), un roman policier (LU)
  • Nagori, La nostalgie de la saison qui vient de nous quitter de Ryoko Sekiguchi (éd. P.O.L., 2018), un essai sur le mot japonais « Nagori » et plus largement les saisons et leur temporalité cyclique, à travers les fruits et les légumes notamment (LU)
  • Seins et Œufs de Mieko Kawakami (éd. Actes Sud, 2012), un roman court (LU)
  • Les mémoires d’un chat d’Hiro Arikawa (éd. Actes Sud, 2019), un roman ayant pour narrateur un chat de gouttière

Participation #1 Un mois au Japon 2021 de Hilde et Lou #PAL

Billet de suivi: Un mois au Japon 2021

Après un British Mysteries Month le mois dernier, Hilde et Lou organisent au mois d’avril 2021 Un mois au Japon. Nos deux coorganisatrices ont prévu un programme facultatif que je vais essayer de suivre le plus possible. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur leurs blogs.

Ce billet sera actualisé au fil du mois en tenant compte uniquement de nos lectures sur le Japon tout en faisant un billet séparé pour chaque participation.

Semaine 1 du Mois au Japon:

Ce 1er avril 2021, nous avons fabriqué des poissons d’avril avec de rouleaux de papier toilette et des feutres Posca. Nous avons donné à certains l’aspect de poissons japonais.

Nous avons également commencé à lire quelques-uns des albums jeunesse à partir de 3 ans de notre PAL. La veille, après avoir passé l’après-midi à aller récupérer les livres dans trois annexes de la médiathèque, nous avons lu pour l’une des histoires du soir Mercredi, c’est raviolis! de Makato Tachibana et Setsuko Hasegawa (éd. L’école des loisirs, 2008). Le 1er avril, dans l’après-midi, nous avons lu Tu rentres quand? de Nagako Suzuki (éd. Nobi Nobi!, 2018) et Où est mon étoile? de Satoe Tone (éd. Nobi Nobi!, 2015) puis pour les histoires du soir : Le portrait de Nounours de Mari Kasai et Chiaki Okada (éd. Nobi Nobi!, 2016) et une relecture avec Pique-nique sous la pluie de Naokata Mase (éd. Seuil Jeunesse, 2016).

Le 2 avril, charmée par le titre poétique de ce livre, j’ai lu ce que je pensais être un roman court mais qui est plus exactement un essai sur le mot japonais « Nagori » et plus largement les saisons et leur temporalité cyclique confronté à la temporalité linéaire des êtres humains, à travers les fruits et les légumes notamment: Nagori, La nostalgie de la saison qui vient de nous quitter de Ryoko Sekiguchi (éd. P.O.L., 2018, 137 pages). L’autrice est à la fois poète et critique gastronomique. Je ne sais trop quoi en penser si ce n’est une immersion dans la culture japonaise à travers la richesse de ses mots saupoudrée de gourmandises culinaires.

Côté lecture jeunesse, nous avons relu pour l’une des histoires du soir Tu rentres quand? de Nagako Suzuki qui avait donné l’idée à mon mini lutin hier de faire un gâteau aux yaourts à son père, ce que nous avons finalement cet après-midi après l’école. L’histoire est toute mignonne et gourmande avec des illustrations douces et aux couleurs automnales. Après avoir préparé un gâteau d’anniversaire pour son père, une petite fille attend avec impatience son retour. 

  • 1er avril/présentation de notre PAL
  • 2 avril: un roman court ou une nouvelle: Konbini également paru sous le titre La fille de la supérette de Sayaka Murata (éd. Denoël, 2018), un roman court que j’avais lu l’été dernier
  • 3 avril: atelier bricolage/loisirs créatifs (carte, origami, kokeshi…): des poissons d’avril japonais  DIY
  • Album jeunesse: Réveillés les premiers! de Komako Sakaï (éd. L’école des loisirs, 2013), un album jeunesse à partir de 3 ans
  • 4 avril: gourmandises/livre gourmand (roman, BD, livre de recettes): Tu rentres quand? de Nagako Suzuki (éd. Nobi Nobi!, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans

En ce 3 avril, pour le repas du soir, nous faisons un ramen, plat typiquement japonais que nous faisons régulièrement, surtout en hiver et avec des nouilles, des œufs, de la coriandre fraîche, de la ciboulette fraîche, des raviolis frits, de la sauce soja, un bouillon de cube, de l’huile de sésame…

Semaine 2 du Mois au Japon:

En ce  5 avril, je débute la deuxième semaine d’Un Mois au Japon avec un album jeunesse pour un lectorat plutôt adolescent avec Les amants papillons de Benjamin Lacombe (éd. Seuil Jeunesse, 2007), un album jeunesse grand format pour les 6/9 ans selon l’éditeur mais classé dans la section Ado de notre médiathèque. Il s’agit d’une histoire d’amour tragique magnifiquement illustrée et inspirée d’une ancienne légende chinoise.

Le 6 avril, pour l’une des histoires du soir, nous relisons un douce et tendre histoire d’un auteur japonais, À table! de Kazuo Iwamura (éd. Mijade, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans. Il s’agit de la rencontre printanière des trois écureuils Nic, Nac et Noc avec un oisillon affamé qui attend le retour de sa mère.

Le 9 avril, nous lisons des albums jeunesse: Quand il fait nuit d’Akiko Miyakoshi (éd. Syros, 2016), à partir de 3 ans et Le Japon d’Anno d’Anno Mitsumana (éd. L’école des loisirs, 2014), à partir de 8 ans.

  • 5 avril: un titre publié aux éditions Actes Sud
  • 6 avril: un roman jeunesse au choix
  • Album jeunesse: Les amants papillons de Benjamin Lacombe (éd. Seuil Jeunesse, 2007), un album jeunesse grand format
  • 7 avril : manga/BD ou album jeunesse au choix: Pique-nique sous la pluie de Naokata Mase (éd. Seuil Jeunesse, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans et avec des découpes
  • 8 avril  : atelier bricolage/loisirs créatifs (carte, origami, kokeshi…): des Kokeshi DIY
  • 9 avril : livre ou photos sur le Japon (régions, villes, jardins japonais…)

Le 10 avril 2021, je commence à lire un roman policier japonais, Un café maison de Keigo Higashino (éd. Actes Sud, coll. Actes noirs, 2012) jusqu’au chapitre 11. Il s’agit d’une enquête policière diligentée après le décès d’un homme qui été empoisonné à l’arsenic. Pour les histoires du soir, nous relisons Tu rentres quand? et Le portrait de Nounours. Puis en soirée, je regarde pour la Journée dédiée à Isao Takahata, le cofondateur des studios Ghibli avec Hayao Miyazaki, Le conte de la princesse Kaguya, film d’animation japonais de 2013 et s’inspirant d’un conte traditionnel japonais, le conte du coupeur de bambou.

  • 10 avril  : un film d’Isao Takahata: Le conte de la princesse Kaguya
  • 11 avril  : gourmandise/livre gourmand (roman, BD, livre de recettes) comme par exemple le mochi: des gyôzas avec Mercredi, c’est raviolis! de Makato Tachibana et Setsuko Hasegawa (éd. L’école des loisirs, 2008), un album jeunesse à partir de 3 ans et qui contient à la fin une recette de gyôzas – des raviolis japonais

Ce 11 avril 2021, nous finissons cette deuxième semaine du Mois au Japon sur une note gourmande en relisant Mercredi, c’est raviolis et en faisant des gyôzas bouillis et frits en suivant la recette de l’album. Pendant que nous laissons reposer la pâte, nous regardons Mon voisin Totoro de Hayao Miyazaki, un film d’animation japonais conseillé à partir de 4 ans. Nous lisons également, lors des histoires du soir, Le poisson rouge de Nanami de Yuichi Kasano (éd. L’école des loisirs, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans dans lequel nous suivons un petit poisson rouge, Léo de sa naissance dans une ferme piscicole japonaise jusqu’à son arrivée dans la famille d’une petite fille, Nanami.

Semaine 3 du Mois au Japon:

Pour débuter cette semaine 3 du Mois au Japon, je continue la lecture du roman policier Un café maison de Keigo Higashino et je prends le temps de chroniquer mes lectures et visionnages.

Le 13 avril 2021, en fin d’après-midi, je découvre deux contes japonais avec Issunbôshi, le petit samouraï d’Alice Brière-Haquet et Sanoe (éd. Nobi Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de 6 ans, une version japonaise de Tom Pouce et Urashima de Margaret Mayo et Jane Ray (éd. Hatier Jeunesse, coll. Ribambelle, 1993, rééd. 2005), un conte traditionnel japonais à partir de 4 ans. Dans le premier conte, c’est l’occasion de croiser des démons, en la figure des onis, pour le thème de ce mois-ci du Challenge Contes et Légendes de Bidib. Puis une des histoires du soir est une relecture du Portrait de Nounours.

  • 12 avril/Hommage aux victimes de Fukushima :  Le Japon d’Anno d’Anno Mitsumana (éd. L’école des loisirs, 2014), un album jeunesse à partir de 8 ans
  • Film d’animation japonais: Mon voisin Totoro de Hayao Miyazaki (sorti au Japon en 1988 et en France en 1999), un film d’animation japonais du studio Ghibli et conseillé à partir de 4 ans
  • 13 avril  : un roman jeunesse au choix

Ce 14  avril 2021, nous lisons dans l’après-midi un manga kawaï en deux tomes, Les Pounipounis de Mashiro Minamino (éd. Nobi Nobi!, coll. Kawaï Kids, 2019) pour les plus jeunes lecteurs, à partir de 8 ans selon l’éditeur mais classé à partir de 3 ans à notre médiathèque. Ce manga se lit dans le sens occidental et est entièrement en couleurs. Ce sont de courtes histoires qui s’enchaînent avec le quotidien d’une bande de joyeux animaux amis tout mignons, ronds et rigolos comme leurs prénoms. Il y a par exemple Nicolapin, un lapin blanc ailé, Pinjamin, un manchot jamais loin de ses livres ou encore Gasthon un poisson volant.

C’est aussi l’annonce par les deux coorganisatrices, Lou et Hilde, d’un read-a-thon (marathon de lectures) ce week-end. Et c’est donc avec beaucoup de plaisir et de convivialité que je vais y participer, d’autant que de nouvelles réservations pour le Mois au Japon nous attendent à la médiathèque.

  • 14 avril  : manga / BD ou album jeunesse au choix: Le portrait de Nounours de Mari Kasai et Chiaki Okada (éd. Nobi! Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans.
  • 16 avril  : atelier bricolage/loisirs créatifs (carte, origami, kokeshi…): des lanternes japonaises DIY
  • Album jeunesse: Le maître des estampes de Thierry Dedieu (éd. Seuil Jeunesse, 2010), un album jeunesse pour les 6/9 ans selon l’éditeur
  • 17 avril : un titre publié par les éditions Nobi Nobi: Où est mon étoile? de Satoe Tone (éd. Nobi Nobi!, 2015), un album jeunesse grand format partir de 3 ans et qui aborde avec poésie, douceur et délicatesse le thème du deuil
  • 18 avril  : gourmandise/livre gourmand (roman, BD, livre de recettes) comme par exemple un atelier makis et/ou sushis

Cette troisième semaine du Mois au Japon se finit à la croisée d’un journal de bord et d’un marathon de lectures, comme l’a écrit Lou. Sur cette période, j’actualiserai moins ce billet puisqu’un autre est dédié à ce RAT, dès le 15 avril 2021. Je ne rajouterai que les liens pour les billets prévus les 16, 17 et 18 avril si j’ai le temps de les écrire.

Semaine 4 du Mois au Japon:

Pour débuter cette quatrième semaine du Mois au Japon et après un RAT riche en lectures, je vais essayer de chroniquer mes lectures japonaises des jours passés. Ce 19 avril 2021, je continue à lire le roman jeunesse commencé hier, L’Amour, le Japon, les sushis et moi de N. M. Zimmermann (éd. Albin Michel Jeunesse, 2016), l’histoire suivant les grandes fêtes traditionnelles japonaises que je retrouve également, de façon plus détaillée, dans Madame Mô, Les fêtes japonaises d’Agnès Lafaye et Pascale Moteki (éd. Picquier Jeunesse, 2013). Je lis, ensuite, dans l’après-midi, Kaguya, Princesse au clair de lune d’Alice Brière-Haquet et Shiitake (éd. Nobi Nobi!, 2011), un album jeunesse à partir de 6 ans.

Le 20 avril 2021, nous avons essayé de faire à deux des origamis en forme de chat et de papillon en suivant les tutos mis à la fin de l’album jeunesse, Noa et ses origamis de Céline Lavignette-Ammoun et Baptistine Mésange (éd. Akinomé, 2020), mais ce n’était pas si facile à réaliser les pliages. Mais je retenterai plus tard, seule. En soirée, je finis de lire L’Amour, le Japon, les sushis et moi. en compagnie de Lucrèce avec sa nouvelle vie dans un lycée japonais, entre nouvelles habitudes de vie, difficulté d’intégration pour se faire de nouveaux amis, sans oublier ses premiers émois amoureux.

  • 19 avril  : un polar ou un roman fantastique: Un café maison de Keigo Higashino (éd. Actes Sud, coll. Actes noirs, 2012), un roman policier japonais que j’ai fini de lire pendant le RAT.
  • Album jeunesse: Issunbôshi, le petit samouraï d’Alice Brière-Haquet et Sanoe (éd. Nobi Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de 6 ans, une version japonaise très ancienne de Tom Pouce ou du Petit Poucet puisque datant du Japon médiéval (XVe/XVIe siècle).
  • Album jeunesse: Le voyage de Pippo de Satoe Tone (éd. Nobi Nobi!, 2014), un album jeunesse à partir de 3 ans
  • 20 avril  : atelier bricolage/loisirs créatifs (carte, origami, kokeshi…): des origamis
  • 21 avril  : manga / BD ou album jeunesse au choix: Quand il fait nuit d’Akiko Miyakoshi (éd. Syros, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans avec une balade nocturne rassurante, poétique et mystérieuse en ville.

Le 22 avril 2021, c’est une journée que je passe avec de la poésie japonaise, les haïkus en relisant La balade de Koïshi et Entre Neige et Loup.

  • 22 avril  : un titre publié par les éditions Picquier: J’écris des haïkus de Véronique Brindeau et Sandrine Thommen (éd. Picquier Jeunesse, 2016), un livre documentaire jeunesse à partir de 9 ans
  • Lecture jeunesse: Nos lectures en haïkus
  • Album jeunesse: La balade de Koïshi d’Agnès Domergue et Cécile Hudrisier (éd. Grasset Jeunesse, 2019), un album jeunesse à partir de 3 ans en forme de livre-accordéon
  • BD jeunesse: Entre Neige et Loup d’Agnès Domergue et Hélène Canac (éd. Jungle, 2019), une BD jeunesse à partir de 7 ans
  • 24 avril  : un film d’animation japonais
  • 25 avril : gourmandise/livre gourmand (roman, BD, livre de recettes)

Dimanche soir, nous mangeons à nouveau des gyôzas en dégelant le reste de la farce de la fois précédente et en faisant une nouvelle pâte avec la recette de Mercredi, c’est raviolis. C’était tout aussi bon que la fois précédente.

Semaine 5 du Mois au Japon:

En ce 26 avril 2021 débute la dernière semaine de l’édition 2021 du Mois au Japon. Il me reste encore quelques lectures en attente et surtout de nombreux avis à écrire. Ces derniers jours, j’ai laissé un peu de côté ma PAL japonaise pour celle anglo-saxonne.

  • 26 avril : documentaire (tous formats)
  • Album jeunesse: Qu’est-ce que vous faites Monsieur l’architecte? de Kunihiko Aoyama (éd. Nobi! Nobi!, 2016), un album jeunesse à partir de  3 ans
  • 27 avril  : un titre publié par les éditions Issekinicho: les deux premiers recueils de Mukashi Mukashi, Contes du Japon, le premier d’Alexandre Bonnefoy et le deuxième de Delphine Vaufrey (éd. Issekinicho, 2019), à partir de 5 ans
  • 28 avril  : manga / BD ou album jeunesse au choix: les deux tomes des Pounipounis de Mashiro Minamino (éd. Nobi Nobi!, 2019), un manga kawaï à partir de 8 ans
  • 29 avril : un film japonais
  • 30 avril  : Bilan du mois ou envies de lectures à partager

Petit bilan de cette édition du Mois au Japon: ce mois d’avril 2021 a été une jolie évasion livresque au Japon avec beaucoup de lecture jeunesse empreinte de douceur et d’onirisme et aussi des romans qui m’ont permis de découvrir un peu plus sur la culture japonaise. Et aussi des loisirs créatifs et des films sans oublier, bien sûr, de nombreux échanges dans la convivialité avec les autres participants. Encore merci à Hilde et Lou pour leur organisation encore une fois au top. Le mois au Japon se poursuivant aussi en mai, je continuerai encore ce voyage bloguesque en lisant et chroniquant mes dernières lectures et celles qui nous restent encore dans notre PAL (surtout des romans) comme par exemple Les mémoires d’un chat d’Hiro Arikawa (éd. Actes Sud, 2019) ou Les Délices de Tokyo de Durian Sukegawa (éd. Albin Michel, 2016). A l’année prochaine!

Un mois au Japon 2021 de Hilde et Lou

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