Pour la semaine 20 du Projet 52-2020 de Du côté de chez Ma’, le thème est « Moyen de transport« . Voici une photo du train des Pignes avec sa locomotive à vapeur au départ de la gare d’Entrevaux, en octobre 2019. Il est possible d’y monter l’été entre Puget-Théniers et Annot.
Étiquette : arrière-pays niçois (Page 2 of 3)
Pour la semaine 7 du Projet 52-2020 de Du côté de chez Ma’, le thème est « Porte« , ce qui me fait penser aux portes peintes de Roubion, petit village à flanc de falaise dans l’arrière-pays niçois, sur la route du Col de la Couillole dans la vallée de la Tinée et qui fait partie du parc national du Mercantour. Ces anciennes portes en bois, une vingtaine que l’on peut retrouver dans les ruelles du village, ont été peintes par Imelda Bassanello, une artiste-peintre italienne. Ces peintures représentent des métiers d’antan ou des scènes agricoles ou pastorales de la vie quotidienne d’autrefois des villageois. En voici quelques-unes.
Ce 8 décembre 2019, nous sommes allés voir le circuit des crèches de Lucéram. Nous avons ainsi pu croiser au détour des ruelles Saint-Nicolas et le Père Fouettard. Mais surtout, nous avons pu observer de nombreuses décorations de Noël: kitsch diront certains ou dans l’esprit de Noël pour d’autres.
D’ailleurs, j’en profite pour faire ma photo pour la semaine 49 du Projet 52-2019 de Du côté de chez Ma’, le thème étant « Kitsch », ce qui m’a fait tout de suite penser aux décorations ou vêtements de Noël. Mais finalement, je choisirai une photo kitsch d’une autre sortie.
En tout état de cause, nous n’étions pas les seuls à apprécier notre visite, surtout les paniers automnaux, sapins de Noël et Père Noël accrochés ici ou là. Je prends d’autres photos qui rentrent également dans le thème de ce jour du challenge « Il était 7 fois Noël », les décorations étant à l’honneur.
Nous continuons à déambuler dans le village, suivant ou non un petit escalier sous une arche, en repérant de nouvelles décorations. Nous retrouvons d’ailleurs des décorations que nous avions déjà vues les années précédentes mais placées à d’autres endroits. Puis nous retournons à notre voiture, le soleil déclinant et le brouillard étant de plus en plus prégnant. Une bien agréable sortie familiale en attendant la venue du Père Noël!
Ce 23 décembre 2018, nous partons à Lucéram, village médiéval et perché dans le Haut Paillon, sur la route du Col de Turini. Au programme du jour, déambulations, sous les rayons du soleil, dans les ruelles de ce charmant village dans le cadre du vingt-et-unième circuit des crèches. Nous commençons notre visite par le marché de Noël puis nous descendons vers les premières crèches installées de façon plus ou moins visible du tout-venant.
Après une courte pause déjeuner, nous reprenons nos déambulations en direction du vieux village. Nous passons devant la Porte Ouest et commençons notre ascension en scrutant tout autour de nous à la recherche de la moindre décoration. Nous sommes nombreux mais sans être les uns sur les autres, toute génération confondue, à arpenter ainsi les ruelles, les voûtes et les caves de ce village.
Nous montons ensuite jusqu’à la placette avec son lavoir. Les décorations sont de tout style: du bois, des pommes de pin, des fèves, des santons, des cougourdons…
Au détour d’une ruelle, nous faisons une petite pause devant des agneaux et des brebis en train de manger du foin.
Nous revenons, ensuite, sur nos pas, pour gagner l’arrière de la Tour à la gorge fendue et son rempart au Nord-Ouest. Cette tour fut construite au XVième siècle. Sa forme est toute particulière: en fer cheval et ouverte de toute sa hauteur, ce qui facilitait le ravitaillement et protégeait le village en cas de prise par l’ennemi.
Nous passons la Porte suivante, ici une crèche, là des sapins de Noël ou des Pères Noël. Chaque décoration contribue à la magie du lieu.
Nous allons ensuite jusqu’à l’église Sainte-Marguerite, guidés par les chansons de Noël jouées par un lutin accordéoniste. La mélodie de « Vive le vent » et de « Petit papa Noël » se propage dans les ruelles et entraîne les enfants dans la danse.
Nous redescendons par une autre ruelle nous ramenant à la Placette. Mais nous bifurquons ensuite en empruntant des passages voûtés et remplis de crèches nichées ça et là dont une tricotée, une autre en argile…
Nous finissons par revenir sur le marché de Noël en empruntant un autre chemin et découvrant ainsi de nouvelles décorations. Une bien agréable journée représentative des fêtes de fin d’année!
Ce 19 octobre 2018, nous montons au Col de Turini en passant par Lantosque et la Bollène-Vésubie. Après avoir garé la voiture sur une des places de parking du col (stationnement interdit du 30 novembre au 30 avril de chaque année), nous nous dirigeons vers la balise n°184. Le sentier permet de gagner la Baisse de Patronel.
Après une petite montée le long d’un large sentier sous les chants des oiseaux, nous arrivons au niveau de la balise n°32 et tournons à gauche, ce qui permet de gagner les balises n° 33 puis plus tard n°181. En face de nous, cachés dans la végétation, se trouvent les murs d’une ancienne maison ou peut-être d’un ancien hôtel-restaurant.
Au sol, de nombreux troncs d’arbres ont été coupés et rassemblés, la forêt de Turini étant exploitée pour son bois, notamment des épicéas et des sapins. Sur le sentier, nous passons également à côté de plusieurs tables de pique-nique. L’une d’elles fut bien agréable pour une petite pause goûter. Nous ne sommes pas les seuls, une mésange noire grignotant des baies d’un sorbier des oiseleurs au-dessus de nos têtes. Nous poursuivons notre balade en évitant d’écraser par endroits les nombreux champignons, de taille et de forme variées, mais que nous ne cueillons pas, ignorant s’ils sont comestibles ou non. Puis nous retournons à notre voiture. Pour le trajet de retour, nous ne redescendons pas par la vallée de la Vésubie mais par la D21 en passant par Peïra Cava et Lucéram.
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