Je participe, pour la première fois cette année, au Mois Américain proposé par Titine du blog « Plaisir à cultiver » tout au long du mois de septembre 2020. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur son blog, sur le groupe Facebook du Mois Américain ou sur le compte Instagram avec Mélanie alias le Shérif @lemoisamericain. Un programme facultatif est prévu:
Ce billet sera actualisé au fil du mois tout en faisant un billet séparé pour chaque participation.
Mais avant de commencer mes lectures, j’ai sélection des romans dans ma bibliothèque, entre lectures et relectures pour un début de PAL: The Expanse 1, L’Éveil du Léviathan de James S.A. Corey (éd. Actes Sud, 2014), La servante écarlate de Margaret Atwood (éd. Robert Laffont, coll. Pavillons Poche, rééd.2019), Le Maître du Haut Château de Philip K. Dick (éd. J’ai lu, 2013), La reine du bal de Mary Higgins Clark et Alafair Burke (éd. Le livre de poche, 2019) et Beloved de Toni Morrison (éd. 10/18, rééd. 2009).
Le 1er septembre 2020, je reprends ma lecture du tome 1 de The Expanse, L’éveil du Léviathan de James S.A. Corey commencé la veille. J’avais commencé à lire quelques années auparavant, juste après avoir vu la saison 1 de la série éponyme qui reprend vraiment la trame du roman. Cette fois-ci, la lecture est plus plaisante puisque je suis beaucoup moins imprégnée par la série. Je m’arrête pour ce soir au chapitre 7. Je laisse Jim Holden et l’inspecteur Miller après la destruction du Canterbury, un transporteur de glace.
Puis le 3 septembre 2020, je complète ma PAL par un passage en médiathèque. Je suis repartie avec de nombreux romans dont certains sur les conseils de la bibliothécaire: Mille femmes blanches de Jim Fergus (éd. Le cherche midi, rééd.2007), Conflits de famille d’Alison Lurie (éd. Rivages, 1990), La femme au miroir d’Éric-Emmanuel Schmitt (éd. Albin Michel, 2011), Le piège de la belle au bois dormant de Mary Higgins Clark et Alafair Burke (éd. Le livre de poche, 2018) et un roman jeunesse, L’arbre à souhaits de Katherine Applegate (éd. Bayard Jeunesse, 2018).
En soirée, je lis un peu plus de la moitié de L’arbre à souhaits de Katherine Applegate, un roman jeunesse à partir de 8 ans et qui raconte la vie de Rouge, un chêne rouge qui tente d’exaucer le vœu d’une petite fille, Samar qui voudrait avoir un ami. Je termine ce roman le lendemain.
Le 4 septembre 2020, je retourne à la médiathèque, mais dans une autre annexe, pour compléter une nouvelle fois ma PAL : deux albums jeunesse, Blues Bayou de Benjamin Lacombe et Daniela Cytryn (éd. Milan Jeunesse, 2009) et Petit Lièvre et l’Étranger de Vanessa Hié (éd. Nathan, 2011) ainsi que Là où chantent les écrevisses de Delia Owens (éd. du Seuil, 2020), un premier roman que je commence dans l’après-midi et poursuis en soirée jusqu’au chapitre 4. L’histoire débute par le décès mystérieux d’un jeune homme, Chase Andrews, en 1969 au pied d’une tour de guet dans les marais, à côté de la ville ségrégationniste de Barkley Cove. Puis retour dans le passé, en 1952 où je suis l’histoire d’une jeune enfant de 6 ans, Kya abandonnée par sa mère et laissée à son père Pa, un homme alcoolique et violent, dans une cabane insalubre au fonds des marais. Y a-t-il un lien entre cette toute jeune fille abandonnée dans les marais et ce décès survenu des années plus tard et qui a tout l’air d’être un meurtre?
Le 6 septembre 2020, je continue un peu dans la journée Là où chantent les écrevisses que je termine tard dans la soirée, un peu après 1h du matin, tant la lecture de ce premier roman est prenante, oscillant entre la vie de Kya, « la fille des marais » et l’enquête sur le décès de Chase. Coup de cœur pour ce roman mélangeant roman policier, roman initiatique et roman naturaliste! Je comprends les critiques élogieuses que j’ai pu voir, notamment le lendemain en lisant les billets d’autres participantes.
Le 7 septembre 2020, je commence la lecture, en fin d’après-midi, d’un roman à suspense, Le piège de la belle au bois dormant de Mary Higgins Clark et Alafair Burke, retrouvant avec plaisir Laurie et son émission Suspicion pour quelques chapitres.
Je retourne l’après-midi à la médiathèque pour chercher deux albums jeunesse: Les Sœurs Ramdam de Françoise de Guibert et Ronan Badel (éd. Thierry Magnier, 2015), Rosa Parks de Lisbeth et Marta Antelo (éd. Kimane, 2018) ainsi qu’un roman jeunesse, Les aventures de Huckleberry Finn de Mark Twain (éd. Flammarion, rééd. 1994).
Le 8 septembre 2020, après le petit déjeuner, nous lisons Les Sœurs Ramdam de Françoise de Guibert et Ronan Badel et Petit Lièvre et l’Étranger illustré par Vanessa Hié (éd. Nathan, 2011). En journée, je continue un peu Le piège de la belle au bois dormant. En fin d’après-midi, pour la journée « Cowboy », nous relisons Wanted, Un crime insoutenable d’Olivier Dupin et Séverine Duchesne et lors des histoires du soir, Les Sœurs Ramdam. Un autre album jeunesse me vient aussi en tête que nous avions lu cet été, Le bison de Catharina Valckx (une aventure de Billy le hamster et de son meilleur ami Jean-Claude le ver de terre).
Fin septembre 2020, je relis Les chemins secrets de la liberté de Barbara Smucker et illustré par Yves Beaujard (éd. Castor Poche Flammarion, 1982, rééd. 1991), un roman jeunesse à partir de 10 ans et qui relate le périple de deux jeunes esclaves fugitives vers le Canada.
- 2 septembre / « Nature »: Le jardin voyageur de Peter Brown (éd. NordSud, 2010)
- 4 septembre / « Ladies first (auteure/féminisme/héroïne): Beloved de Toni Morrison (éd. 10/18, 1986, rééd. 2009)
- 6 septembre / « Album Jeunesse »: Blues Bayou de Benjamin Lacombe et Daniela Cytryn (éd. Milan Jeunesse, 2009)
- 8 septembre / « la figure du Cowboy »: Les Sœurs Ramdam de Françoise de Guibert et Ronan Badel (éd. Thierry Magnier, 2015)
Et hors thème: Le Magicien d’Oz de Sébastien Perez et Benjamin Lacombe, d’après Lyman Frank Baum (éd. Albin Michel Jeunesse, 2018) - 10 septembre / « Série TV »:
- Là où chantent les écrevisses de Delia Owens (éd. du Seuil, 2020)
- 12 septembre / Roman XIXe siècle:
- Petit Lièvre et l’Étranger de Jacqueline Guillemin et Vanessa Hié (éd. Nathan, coll. Musicontes, 2011)
- Les chemins secrets de la liberté de Barbara Smucker et illustré par Yves Beaujard (éd. Castor Poche Flammarion, 1982, rééd. 1991)
- 30 septembre / « Essai/documentaire »: Rosa Parks de Lisbeth Kaiser et Marta Antelo (éd. Kimane, coll. Petite & Grande, 2018)
Oh tiens je viens de voir que tu lis aussi le maitre du chateau…je regarde la serie lala…;) en plus de The Expanse
J’ai aussi regardé et apprécié les deux séries, ce sera une relecture si j’ai le temps…